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    Somewhere
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    796 critiques spectateurs

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    François C
    François C

    9 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 septembre 2014
    Intérêt numéro uno du film: on apprend que, bien que sa couleur officielle soit le jaune, une Ferrari n'est pas obligatoirement rouge. Elle peut être noire. Intérêt secondo du film: le V8 de la 360 Modena sonne vraiment très bien à tous les régimes.
    Raphaël P.
    Raphaël P.

    28 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 janvier 2015
    Le film le plus detesté de Sofia Coppola, et je peux comprendre. Déja que les films de celle-ci sont souvent moins appreciés par les spectateurs que par la presse, Somewhere ne pouvait que se ramasser auprès de ceux-ci. Sofia a un don. Montrer des gens qui s'ennuient, sans nous rendre le film chiant. Somewhere nous montre un mec qui s'ennuie. Et par moment, c'est chiant. Mais nécessaire ! Etant un grand fan de Gus Van Sant, et en particulier de sa trilogie Gerry, Elephant et Last Days, je ne pouvais qu'apprecier ces nombreuses scènes extremement lentes, et fatiguantes, ou l'on voit Stephen Dorff s'ennuyer comme un trou. Je trouve ces scènes particulierement belles. C'est à ce moment la que l'homme se découvre, et qu'il montre ce qu'il pense réellement. De plus, l'élement déclencheur "Elle Fanning" est incroyable. Toujours la pour egayer son pere, mais aussi pour nous egayer. Sur ce point, on ne peut que féliciter Sofia de nous faire monter au sommet ces jeunes actrices dans quasiment chacun de ses films (Kirsten Dunst, Scarlett Johansson, Elle Fanning ici etc..). Bref, rien que pour la scène finale, le film est à voir. Malgré sa lenteur, Somewhere restera peut etre le film qui m'a le plus fait pleurer dans la filmographie de la belle.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 juillet 2014
    C'est un film simple ,avec de long plan séquence ce n'est pas le meilleur de Sofia mais ça reste un des meilleur quand même .Les critiques mauvaises fusent disent que le film est nul est ne bouge pas depuis quand un film doit bouger pour être bon? Ce n'est pas un argument pour descendre un film .Bref ce père acteur ,qui ne voit jamais sa fille passe le voir ,on les regarde passer de bon moment ensemble et puis vient le moment ou elle doit partir et le père ressent un grand vide et pleure auprès de son ex-femme au téléphone .Comprend t'il ce qu'il y'a vraiment d'important il prend son véhicule l'arrête et continue a pied .De très bon acteurs ,et on prend plaisir a suivre ce père et cette fille au château Mormont de Los-Angeles
    Willus L
    Willus L

    13 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 octobre 2015
    Une remake "réaliste" de la série Californication, à la différence que c'est mou et qu'il ne se passe pas grand chose. La fin est vide de sens et d'intérêt à mon goût.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 18 mai 2014
    Inégale. Voilà comment on pourrait qualifier la filmographie de Sofia Coppola. Après les excellents Virgin Suicide et Marie-Antoinette, le bon Lost In Translation et le récemment quelconque The Bling Ring, la réalisatrice de New York ne finit plus de nous surprendre. Cette fois-ci, dans le mauvais sens du terme. Passionnée par le thème de la solitude, Sofia Coppola aime développer ce sujet sous tous les angles, comme on a pu l'observer au travers de se filmographie. Avec Somewhere, on retrouve un nouveau personnage confronté à la solitude, ici incarné par un jeune et riche acteur américain, qui ne sait plus quoi faire de sa vie. Traiter d'un sujet aussi complexe peut malheureusement créer l'ennui profond chez le spectateur. En effet, avec des plans beaucoup trop longs, l'absence de rythme, le vide constant, le film reflète un manque de maîtrise de la réalisatrice. Prendre du recul sur un tel sujet aurait pu éviter de tomber dans le piège du retournement de situation au préjudice du spectateur, victime de presque deux heures insurmontables. Le vide constant que le réalisatrice met en exergue chez le personnage principal ne suffit pas à créer la moindre empathie pour lui et reflète le manque cruel de profondeur du scénario. Lent, poussif et inintéressant. Voilà comment qualifier Somewhere. Peut-être apprendrez vous que célébrité et argent ne font pas le bonheur à travers un cours remord de l'acteur (ridicule) au pré-générique de fin. Merci pour cette enseignement madame Coppola.
    Zbrah
    Zbrah

    49 abonnés 365 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 septembre 2014
    « Somewhere » un titre vague pour un film qui parle d’un peu de tout et d’un peu de rien. Pour son quatrième long métrage, Sofia Coppola explore les travers du star-system en observant la relation naissante entre un père acteur paumé et sa parfaite fille de onze ans. La réalisatrice semble s’amuser de la banalité et de l’insignifiance du quotidien. Pas nous. Ce qui est montré est souvent vain. C’était aussi le cas dans « Marie-Antoinette » et « Virgin Suicides » en quelque sorte, mais ces deux œuvres là avaient pour mérite d’avoir un large fil conducteur : la vie de l’archiduchesse pour le premier, le suicide des jeunes filles pour le second. Dans « Somewhere », le fil conducteur se devine plus qu’il ne se ressent : le rapprochement d’un père et de sa fille. Hormis les dernières scènes accentuant l’évolution, les rapports entre Johnny et Cleo stagnent. Il y a malheureusement trop peu d’action, mais surtout de dialogues. Je parle de vrais dialogues, pas de simples échanges pour ne rien dire. Malheureusement, trop de banalité tue la banalité ; on s’ennuie. Pourtant les personnages sont finement écrits, ce sont des caractères profondément humains et réalistes. Le duo d’acteurs est correct. Stefen Dorff fait son job face à une Elle Fanning rayonnante. Leurs rencontres donnent lieu à de jolies scènes, plus ou moins drôles ou poétiques. Parce que Sofia Coppola, même dans son moins bon film, fait du Sofia Coppola, la mise en scène, la photographie et la direction des acteurs sont parfaites. Comme d’habitude, la réalisatrice choisit une très bonne bande-son qui colle à l’ambiance de son film. Parmi les groupes choisis on retient surtout Phœnix, Foo Fighters, Police, T-Rex et The Strokes. Une belle compilation de morceaux intemporels. « Somewhere » est intéressant sur de nombreux points, mais se révèle finalement n’être qu’une coquille vide de sens. Ce qui est dommage, c’est que l’on passe la totalité du film à attendre qu’il commence vraiment...
    Grandet C.
    Grandet C.

    102 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 mai 2014
    Derriere le façade glamour hollywoodienne, la solitude de l'acteur, toujours en représentation, la vacuité du show-business, les chambres d’hôtel, les groupies. Le personnage tente de s'occuper de sa fille et l’emmène dans cette errance. Sofia Coppola sait surement de quoi elle parle, du coup on a la son film le plus personnel. Je n'ai pas trouvé
    Dorff crédible dans son rôle d'acteur: Il est censé être très connu mais n'a aucune aura. La mise en scène est adaptée au sujet du coup on s’embête un peu ! quelques belles scènes: les jumelles en pole danse, la télé italienne, mais dans l'ensemble ça se traine.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 26 avril 2014
    Ennuyeux du début à la fin...Sauf pendant la page de publicité
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    401 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 avril 2014
    "Somewhere" n'est que le quatrième film de Sofia Coppola mais il marque déjà la rupture avec son cinéma, son "Virgin Suicides" était excellent, "Lost in Translation" un peu moins et "Marie-Antoinette" plutôt déroutant, mais alors celui là c'est la chute vertigineuse ... Au bout de 10 petites minutes je savais que ça n'allait pas me plaire, la réalisatrice part dans de longues séquences contemplatives, filmant le vide, en plus, mettre en scène des gens qui s'emmerdent ça m'a toujours intrigué, elle espérait qu'on trouve ça d'un quelquonque intérêt ? (Ou alors que tout reste maîtrisé, coucou Gus Van Sant !). Ses autres films étaient plus ou moins rythmés et créatifs, je ne sais vraiment pas ce qui a pu se passer la concernant ... Au final le film ne commence jamais vraiment, les scènes s'enchaînent sans véritable trame thématique, on alterne des passages de vie de famille père-fille, le tout filmé avec une paresse assez insupportable. Autant filmer une salle d'attente d'hôpital, au moins on verra une palette de personnages, même si ils restent plantés sur leur chaise à se regarder en chiens de faïence. Au bout d'une heure j'étais à deux doigts d'arrêter le film, mais je me suis dis "Non, reste discipliné, il va peut être se passer un truc" ... mon œil, ça ne s'arrête jamais, on a bien compris que Mademoiselle Coppola voulait montrer la complexité du lien paternel, raconte t-elle sa propre vie ? S'adresse t-elle a son père ? Quel est le public visé ? Moi ça ne m'a pas vraiment parlé et ça ne m'a pas du tout ému. Par contre si il y a bien une chose que j'ai en commun avec la réalisatrice depuis le début ce sont les goûts musicaux (Phoenix, Air, Sébastien Tellier ...), heureusement qu'à ce niveau je suis bien servis, et encore c'est plutôt discret dans ce film, mais bon c'est déjà ça. Et puis je dois reconnaître que la mise en scène est souvent bonne, la jeune Elle Fanning s'en sort très bien, mais ça ne sauve pas la lenteur monstrueuse du film, qui a un mal de chien à se terminer (genre le mec fait ses pâtes et bouffe tout seul, putain sérieux ...) et la dernière séquence est complètement cliché avec son message de pseudo quête existentielle, pfff. "Somewhere" aurait finalement dû s'appeler "Nowhere" ça aurait été plus cohérent tellement ce long métrage ne va nulle part ...
    olaola22
    olaola22

    3 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 mars 2014
    Des longueurs, peu de dialogues mais pas inintéressant. Nettement moins bien que les premiers films (Virgin suicides et Lost in translation) de la miss Coppola. On sent un manque d'inspiration.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 mars 2014
    Un chef d'oeuvre ! Sofia Coppola ! Elle nous entraine une fois de plus dans son univers de l'ennui mais elle le filme si bien ! Les personnages sont attachants mais c'est le château qui est la véritable star du film. Un bijou !!!
    romano31
    romano31

    284 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 janvier 2014
    Après Marie-Antoinette, Sofia Coppola revient avec son quatrième film, Somewhere, où un acteur américain, qui s'ennuie ferme dans sa vie, voit un matin débarquer sa fille de 11 ans, Cleo. Somewhere est sans aucun doute le film le plus calme et le plus posé de Sofia Coppola. Alors certes, vous allez me rétorquer (à juste titre d'ailleurs) que les films de Sofia Coppola le sont toujours mais celui-là l'est plus que les autres. La réalisation est, comme toujours, très soignée et Coppola utilise de long plans fixes, sans musique et sans dialogue. Les dialogues justement, Somewhere est le film le moins bavard de la réalisatrice privilégiant l'image et le cadre. Si en soit cela ne m'a pas posé problème, cela pourrait être le cas pour certaines personnes. Pour ce qui est des acteurs, le duo que forment Stephen Dorff et Elle Fanning fonctionne très bien et est très touchant. Ceci étant, le film souffre d'un scénario un peu vide et n'explore pas suffisamment la relation père/fille. C'est dommage car Somewhere est un film plutôt intéressant et est loin d'être aussi mauvais comme le prétendent certaines critiques. Pas le meilleur film de la réalisatrice mais il est très bien exécuté et plaisant à suivre.
    Stéphane D
    Stéphane D

    124 abonnés 2 137 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 mars 2016
    Le néant absolu, des plans à rallonge pour montrer l'ennui du personnage principal... ça marche aussi sur le spectateur (dommage pour le duo d'acteur dont Elle Fanning touchante par son naturel)
    Kloden
    Kloden

    129 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 octobre 2013
    Eh bien, moi qui m'attendais à une purge en bonne et due forme, je dois pour une fois aller dans le sens contraire des critiques, ce qui constitue un cas de jurisprudence pour un film de Sofia Coppola, dont je regarde en général les œuvres du même oeil que l'ensemble des cinéphages. Les 20 premières minutes m'ont pourtant fait regretter mon choix de me farcir malgré mes réticences initiales un film qui me semblait tout droit se diriger vers le schéma décrit par à peu près tout le monde : c'est à dire celui d'un film vide, sur le vide. Certes, le tout était amené avec l'habituelle subtilité de Madame Coppola, et la sobriété qu'elle s'impose faisait des premières séquences de Somewhere un morceau de cinéma encore plus vaporeux et éthéré qu'à l'ordinaire, renforçant d'autant l'impression d'inconséquence de la vie de star hollywoodienne. Mais tout de même, supporter une peinture de l'ennui, du vide, de la déresponsabilisation pendant 1h 30 aurait été au-dessus de mes forces. Fort heureusement, l'arrivée de la très juste Elle Fanning en fille d'un Stephen Dorff lui-aussi parfait en homme sans but et à la vie sans substance sauve ce qui semblait se diriger vers une impasse. La relation père-fille qui se dévoile à nous est présentée avec tant de finesse que j'ai vraiment de la peine à sanctionner Coppola pour sa narration si proche de celle de Lost in Translation. La vérité et la solidité de ces rapports est renforcée, comme d'habitude, sans effusions superflues, par la saisie si précise - en opposition - d'un Los Angles irréel, où les heures ne semblent plus exister. A ce titre, la photographie solaire de Somewhere joue un rôle primordial. Tout de même, le talent de la réalisatrice pour saisir l'intimité grâce à l'artificiel, le profond grâce au superficiel, m'impressionne, et son jeu des contrastes est d'une justesse toujours étonnante. Un récit d'autant plus touchant qu'on pourrait bien y voir quelques notes autobiographiques. Certes, quelques plans trop longs ne manquent tout de même pas d'agacer, mais Somewhere demeure une surprise plutôt agréable quand je n'en attendais rien d'autre qu'une quasi-perte de temps. Voilà qui me confortera sans aucun doute dans mes bonnes habitudes de ne pas considérer l'avis général comme vérité établie.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    274 abonnés 1 651 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 septembre 2013
    Luxe, vide et volupté. Sofia Coppola égrène les petits riens d'une vie de star de cinéma, pour en saisir la futilité, la superficialité. Une existence qui tourne en rond (symbolisée par les tours de circuit effectués par le personnage principal, à bord de son bolide, au début du film) et qui s'avère dépourvue de sens. Certaines scènes confinent ainsi à l'absurde (le moulage de la tête de l'acteur, le show promotionnel en Italie...). Entre ironie sur le monde du cinéma, drôlerie douce et mélancolie lancinante, la réalisatrice dresse le portrait d'un homme atone, sans personnalité marquée. Une présence-absence. Un père vaguement titillé par un sentiment de paternité au contact de sa fille, laquelle le renvoie finalement à sa solitude et à son vide existentiel.
    On retrouve dans ce quatrième long-métrage de Sofia Coppola sa finesse d'observation, sa sensibilité et un style bien à elle, évanescent, gracieux par moments. Il manque cependant à ce voyage au bout de l'ennui un traitement dramatique plus étoffé et approfondi (notamment de la relation père/fille) pour empêcher que l'ennui ne gagne aussi, parfois, le spectateur, pour dépasser le seuil de la captation répétitive du vide, et pour que naisse une vraie émotion. Par ailleurs, la fin, passe-partout, est un peu décevante. Comme si la réalisatrice n'avait pas su comment conclure...
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