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cindy33
32 abonnés
124 critiques
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1,0
Publiée le 17 janvier 2011
Je met une etoile, uniquement pour la relation pere fille qui est touchante. Mais sinon ce film ma beaucoup beaucoup ennuyé, avec tres peu de dialogues, encore moins d'action et de profondeur, pas d'interet particulier. J'ai pas aimé, le film ne m'a pas emporter, des le debut jusqua la fin ce sont des plans longs longs longs On s'attend a un revirement, quelque chose qui va bouger ces personnages trop mous, mais...rien!!!!
Johnny Marco, star de cinéma adulée, n’a plus goût à la vie. Ses journées se suivent et se ressemblent : à savoir fêtes, femmes et conduite de sa ferrari. Mais il va devoir pendant quelques jours faire face à son devoir parentale, en s’occupant de Chloé, sa fille de 11 ans. Si Sofia Coppola nous dépeint avec facilité le mal-être du personnage (la séquence d’ouverture nous annonce clairement le sentiment d’un homme perdu), il n’y a par contre aucune avancée majeure dans la suite de l’histoire. Car malheureusement, même avec l’arrivée de sa fille, le film ne décolle jamais. Là où on pouvait s’attendre à une renaissance du personnage, nous assistons, malgré nous, à une succession de scènes sans réels intérêts (les danseuses dans la chambre d’hôtel, la remise de prix…) et le film est traité avec une lenteur qui finit par nous envahir. Quant à la relation père–fille, le sujet n’est traité qu’en surface. Les seuls points positifs sont le plaisir de (re)découvrir les talents de Stephen Dorff et Elle Fanning qui portent sur leurs épaules un film au scénario bien vide.
Ce film nous apporte la conclusion de Sofia Coppola sur l'étrange sensation qu'éprouvent ses personnages depuis Virgin Suicides: celui de l'absurde, du passage du vide au plein, de la douloureuse séparation de l'homme avec le monde. En effet, c'est au travers du destin de cet acteur, en pleine confrontation avec ce malaise singulier, que Coppola nous offre ses réponses: oui, malgré le manque de cohésion et de sens à l'existence, il y a bel et bien une sérénité, une plénitude, une douceur de vivre, qui n'a besoin d'aucuns artifices supplémentaires et qui s'exprime dans la pure nécessité d'être "quelque part", dans la contemplation de cet absurde (c'est ce que cherche habilement la caméra de Coppola), et peut-être même dans le plaisir de partager ce sentiment avec "quelqu'un" (ici, la fille du personnage principal). La musique de Phoenix, Love is Like a Sunset résume parfaitement cet état d'esprit et cette philosophie. N'oubliez pas: l'Amour (au sens large, de celui d'être à celui d'aimer l'Autre) est comme un coucher de soleil...
Un film très prenant du début à la fin ; on suit l'acteur principal dans sa dérive, c'est un film déstabilisant, qui remue... J'ai vraiment apprécié. Un chef d'oeuvre.
Très déçu par le film. Certes il y a quelques belles images mais certaines scènes donnent envie de quitter la salle tellement elles sont longues et ennuyeuses (notamment celle du début où on voit la Ferrari de l'acteur tourner sans fin sur un circuit). Pour le reste, les rapports entre le père et la fille restent très superficiels. Enfin, personnellement, je n'ai pas compris la fin. Il va où après avoir abandonné sa voiture dans un grand geste rebelle? Elisabeth Quin a dit sur Paris Première que "Princesse Sofia" (sic) avait bien fait de s'installer à Paris. Au vu de ce film, permettez-moi d'en douter...
On retrouve bien le style de Sofia Coppola dans ce film. Il n'y a pas de réelle histoire mais plutôt des images qui traduisent l'état d'esprit des personnages à un moment de leur vie et surtout la relation de ce père et de sa fille. A ne pas voir si on aime les films avec un peu d'action et de mouvement...
Sofia Coppola n'a pas réellement fait dans l'originalité avec ce "Somewhere". La ressurection mentale et morale d'un homme blasé, qui possède tout ce qu'il veut mais redécouvre ce que sont les vraies choses au contact de quelqu'un qui lui est cher, ça ne me semble pas franchement neuf comme sujet. C'était d'ailleurs vaguement le thème de ce qui reste à l'heure actuelle son film référence, à savoir "Lost in translation" (tu m'étonnes, Bill Murray quand même). Toutefois, les aventures de cet homme qui tourne en rond au début mais qui va au final se remettre dans le sens de la marche ne m'ont pas tout à fait laissé insensible. Je ne dis pas cela forcément eu égard aux quelques jolies meufs qui aguichent le héros et le spectateur et dont certaines nous montrent quelques fermes paires de seins. Mais surtout parce que Stephen Dorff et Elle Fanning (soeur de Dakota), qui est une fort belle révélation, arrivent à créer une réelle étincelle de malice et de tendresse. Cette production familiale à tous les sens du terme (Roman et Francis Ford ont apporté leur écot) arrive ainsi à être parfois touchante, même si sa portée me semble assez pauvre. Bref, ailleurs c'est toujours quelque part...
Avec l'art du vide, on ne peut faire que du vide (principe physique). Le vide attire le vide. Dommage, car on a vraiment aimé tout ce qu'a fait Sofia Coppola jusque là. FAB
Ah Sofia Coppola...!!! film magique, éblouissant. Dès la première scène le ton du film est donné et ca va crescendo. On suit cet acteur dans son quotidien et on comprend comment au fur et a mesure il va changer ses priorités. Je ne me souviens pas trop de la musique, c et pour dire que a mes yeux elle était bien secondaire et que les acteurs suffisent à créer l ambiance... L'argent fait-il tout???? A voir!!!
Je n'ai rien compris au sens du film. C'est pour moi du déjà vu mille fois. Et à quoi bon faire des oeuvres cinématographiques si c'est pour refaire encore et encore ce que les autres ont déjà fait et en mieux ? J'ai eu l'impression d'un premier court métrage d'un jeune réalisateur pas spécialement doué ni franchement convaincant. Des scènes ennuyeuses et certaines beaucoup trop longues. Un peu comme si Sofia Coppola prenait plaisir à filmer pour elle-même sans finalement se rendre compte qu'elle filme pour que son oeuvre soit retransmise dans des salles de cinéma. De l’auto-contemplation de son oeuvre, en quelque sorte. Pour moi ce film ne vaut rien du tout. Juste une perte de temps.
De deux choses l'une: ou l'on vient voir ce film en quête d'une intrigue et l'on repartira forcément bredouille, ou l'on accepte ce film pour ce qu'il est, une réflexion sur le presque rien, sur le vide intérieur de cet acteur encensé par Hollywood, surestimé et réduit à son propre néant quand il ne joue pas le rôle d'autrui. Très fort et d'une esthétique très personnelle. Le pré-générique est une pure merveille et constitue une métaphore de tout le film.