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    Somewhere
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    796 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 6 janvier 2011
    Un long metrage tres bien realise, qui nous mene justement un peu nulle part comme le titre voudrait le faire comprendre.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 15 janvier 2011
    Je pense que Sofia Coppola est la réalisatrice préférée des critiques intellos qui voient plein de choses dans rien du moment que ce rien est fait par elle. Parce que perso, je trouve ce film super vide. Et pourtant le sujet était fait pour que ça me touche. J'ai une petite fille depuis un peu plus d'un an et depuis dès que je vois un film où t'as un daron et un gosse, je pleure ou déprime! Biutiful m'avait fait chié mais m'avait ruiné pendant 4 jours. Même Bébé mode d'emploi, sur certains passages, m'avait fait quelque chose... C'est pour vous dire! Donc là Somewhere, avec un daron et une gamine et une musique de Phoenix (bon en fait t'entends 2 chansons dans le film et rien d'autre!), je me disais que ça allait me foutre le bourdon pendant 2 semaines. Eh bien rien!!! Le personnage principal est donc une star hollywoodienne avec une vie de star hollywoodienne. C'est à dire beaucoup d'ennui, de vacuité et donc de rien! Le truc compliqué c'est d'arriver à aller au-delà du rien. Et franchement, je ne trouve pas qu'elle soit allé au-delà de quoi que ce soit! C'est limite un reportage sur un gars qui se fait chier! Dans l'emission Strip-Tease, ça aurait été bien. Pas dans un film de Sofia Coppola!! Il ne se passe vraiment rien! Dans Lost In Translation aussi vous me direz mais y'avait quand même une tension amoureuse bien foutue et surtout Bill Murray! J'ai rien contre Stefen Dorff qui est vraiment bien dedans (tout comme la petite Fanning) mais quand on a pas écrit un vrai scénario, on fait pas un vrai film!! On ne s'ennuie pas devant ce film bizarrement mais j'ai pas été touché!! ca manquait vraiment de magie et de grâce malgré ce que peuvent dire les critiques!
    DestroyGunner
    DestroyGunner

    24 abonnés 883 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 juin 2013
    Indéniablement un excellent film, avec cette touche si particulière qui marque l'empreinte de S. Coppola pour adapter des scénarios où d'autres se seraient cassé les dents. Le scénario repose sur une oisiveté et une certaine absence d'action, descriptive du récit mais l'ennui gagne un peu le spectateur sur la seconde partie du film. C'est une relative déception au regard des précédentes oeuvres de la réalisatrice. Les acteurs sont cependant formidables.
    Hallyne de Cinéglobe
    Hallyne de Cinéglobe

    22 abonnés 376 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 janvier 2011
    Le vide et la solitude que la réalisatrice cherche à transcrire par des scènes monotones et interminables deviennent très vite insoutenables pour le spectateur. On est typiquement dans le genre "je fais des longueurs et j'ai du style". Certes, l'atmosphère sobre et intimiste donne une image intéressante aux dessous du show-biz hollywoodien, mais ça ne suffit pas pour faire un film regardable. Les qualités artistiques de la photographie sont trop détachées. A l'arrivée, le résultat trop personnel n'est pas vraiment touchant. La bande-annonce fait passer plus d'émotion que le film. Heureusement, Stephen Dorff et Elle Fanning donnent à l'histoire tout son côté attendrissant de simplicité et son charme.

    http://cineglobe.canalblog.com
    toka59
    toka59

    22 abonnés 269 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 janvier 2011
    Dire que c'est nul parceque c'est lent serait aussi idiot que de dire qu'un film d'action est nul parcequ'il y a de l'action.... Non sens. On nous montre la vacuité d'une vie que beaucoup pourtant envient : le but est réussi. Ferrari , look de clochard avec t-shirt improbable et chiffonné, alcool, b...e , numéro ridicule de pole dance, superficialité des relations (en dehors de l'ami d'enfance ). Une scène marrante : le massage. Je n'ai pas trouvé la photo extraordinaire mais c'était voulu je crois pour épurer le film au maximum. La fille est superbe et heureusement on n'a pas eu droit en plus à une gamine odieuse et imbue de sa personne. Elle est adorable et touchante. Ce film m'a touché à plusieurs moment. Le père se rend compte de l'erreur d'avoir été trop absent (ne sait pas que sa fille patine depuis l'âge de 3 ans et elle en a 11) et je pense que c'est le cas de nombreuses stars. Ce n'est donc pas un film qui restera dans les annales mais il me parait atteindre le but recherché. En espérant que les minettes écervelées et baveuses aillent voir ce film pour voir un peu l'envers du décor de ce qu'elles voient dans la presse people. Même si ce n'est pas très creusé, c'est déja ça.
    tixou0
    tixou0

    697 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 janvier 2011
    "Somewhere" ? Nowhere plutôt, à l'image de la vie personnelle (sa vie professionnelle parait mieux remplie) de Johnny Marco. Sofia Coppola prend le parti de traiter de ce "rien" permanent avec une vacuité à l'unisson à l'image. Du coup l'ennui existentiel du "héros" se communique au spectateur qui, entre deux bâillements, se prend quand même à admirer la façon dont la cinéaste (primée ici à Venise ?!) arrive à élever le foutage de gueule au rang d'un des Beaux-Arts. Un zéro pointé pour l'héritière indigne de Francis Ford.
    framboise32
    framboise32

    149 abonnés 1 289 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 janvier 2011
    Dès les premières images, Sofia Coppola nous donne le ton du film. Une voiture de luxe, une ferrari, tournant en rond sur un circuit fermé et rien d’autre que l’ennui. La réalisatrice a filmé la vie d’un célèbre acteur qui vit à l’année dans le légendaire Hotel Marmont à Los Angeles. Sofia Coppola a du gagner une suite à vie dans cet hotel !!

    Johnny Marco, interprété par Stephen Dorff, est très entouré, mais seul, paumé, entre alcool, jolies filles à gogo, cigarettes et coups de téléphone de son agent qui lui dicte ce qu’il doit faire. Une existence vide !

    Seules les visites de sa fille, interprétée par la jeune actrice Elle Fanning, semble le rendre « vivant ». Sofia Coppola filme lentement, longuement chaque scène pour marquer l’ennui du personnage principal. Le duo père / fille est touchant. La sensibilité de l’acteur est très joliment filmée. Les images tout au long du film sont très belles.

    Sofia Coppola a filmé sans compassion l’envers du décor et l’existence des acteurs à Los Angeles. Un portrait ironique et mélancolique dans un univers qui ne semble pas avoir de notion du temps.
    Thierry M
    Thierry M

    159 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 janvier 2011
    franchement, quand j'ai vu la b .a je m'attendait au moins a une pointe d'emotion.resultat, rien de bien interressant, ce film est d'un ennuit a mourir. hyper deçu.
    Jonathan M
    Jonathan M

    130 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mai 2016
    C'est l'antichambre du star-système hollywoodien qui est visité ici par Sofia Coppola. Très intelligemment, on y voit une vie de promotion, une vie d'acteur vide et qui semble peu alléchante. Moins métaphysique que le Maps to the Stars de Cronenberg, il n'en demeure pas moins plus efficace. C'est un film sur la solitude, la notoriété et la mégalomanie. Bien que d'auteur, on sent le vécu dans un récit que se veut lent et joue l'effet de la répétition. On pourrait n'en avoir rien à faire mais pourtant çà nous suspend.
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 octobre 2013
    Eh bien, moi qui m'attendais à une purge en bonne et due forme, je dois pour une fois aller dans le sens contraire des critiques, ce qui constitue un cas de jurisprudence pour un film de Sofia Coppola, dont je regarde en général les œuvres du même oeil que l'ensemble des cinéphages. Les 20 premières minutes m'ont pourtant fait regretter mon choix de me farcir malgré mes réticences initiales un film qui me semblait tout droit se diriger vers le schéma décrit par à peu près tout le monde : c'est à dire celui d'un film vide, sur le vide. Certes, le tout était amené avec l'habituelle subtilité de Madame Coppola, et la sobriété qu'elle s'impose faisait des premières séquences de Somewhere un morceau de cinéma encore plus vaporeux et éthéré qu'à l'ordinaire, renforçant d'autant l'impression d'inconséquence de la vie de star hollywoodienne. Mais tout de même, supporter une peinture de l'ennui, du vide, de la déresponsabilisation pendant 1h 30 aurait été au-dessus de mes forces. Fort heureusement, l'arrivée de la très juste Elle Fanning en fille d'un Stephen Dorff lui-aussi parfait en homme sans but et à la vie sans substance sauve ce qui semblait se diriger vers une impasse. La relation père-fille qui se dévoile à nous est présentée avec tant de finesse que j'ai vraiment de la peine à sanctionner Coppola pour sa narration si proche de celle de Lost in Translation. La vérité et la solidité de ces rapports est renforcée, comme d'habitude, sans effusions superflues, par la saisie si précise - en opposition - d'un Los Angles irréel, où les heures ne semblent plus exister. A ce titre, la photographie solaire de Somewhere joue un rôle primordial. Tout de même, le talent de la réalisatrice pour saisir l'intimité grâce à l'artificiel, le profond grâce au superficiel, m'impressionne, et son jeu des contrastes est d'une justesse toujours étonnante. Un récit d'autant plus touchant qu'on pourrait bien y voir quelques notes autobiographiques. Certes, quelques plans trop longs ne manquent tout de même pas d'agacer, mais Somewhere demeure une surprise plutôt agréable quand je n'en attendais rien d'autre qu'une quasi-perte de temps. Voilà qui me confortera sans aucun doute dans mes bonnes habitudes de ne pas considérer l'avis général comme vérité établie.
    totoro35
    totoro35

    102 abonnés 1 787 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 novembre 2011
    Soffia Coppola s'intéresse une fois de plus à l'ennui et à la superficialité d'un monde qu'elle connait bien et délaisse l'atmosphère planante de ses précédents films pour une mise en scène plus épurée, ce qui ne l'empêche malheureusement pas de tourner en rond (comme son personnage, tiens) et de peiner à procurer la moindre émotion, excepté peut-être lors de quelques échanges complices entre Stephen Dorff et Elle Fanning, tous deux parfaits.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 décembre 2010
    Mise en scène toute en sobriété...
    Lire mon article ici:http://tristanleguillou.blogs.allocine.fr/
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    56 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 mai 2012
    pas extraordinaire, juste regardable
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 janvier 2011
    C'est l'histoire d'une petite fille riche. Son papa fait des films. Un jour elle décide d'en faire elle aussi. Après tout, pourquoi pas ? Elle a le droit. Comme elle est plutôt futée et qu'elle possède un bon sens visuel et musical, elle réussit à se créer un univers à elle le temps de trois films, l'un bon, les autres agréables.
    Somewhere est l'histoire d'un type qui fait des tours de piste avec sa Ferrari dans le désert. Eh oui, pour la petite fille riche, quand on a une voiture, on a une Ferrari. En dehors de ça, le héros qui est aussi une star de cinéma (enfin, c'est ce qu'on croit comprendre), passe ses journées au Château Marmont, vieille bicoque affreuse pourtant très prisée des stars. D'où la question : les stars ont-elles bon goût ? Mais ça, c'est une autre histoire. Bref, entre beuveries, baisades et shows dansés livrés à domicile, le gars s'embête un peu. En fait, il s'emmerde grave. Il faut dire qu'il ne sait ni ouvrir un livre, ni discuter avec des amis, ni faire une promenade à pied, ni cuisiner, ni rien. On se demande comment il a réussi à être une star. Enfin non, en fait on s'en fout. Ah oui, un jour il y a sa fille de onze ans qui débarque puis fait du patin (et non du tapin, ce qui aurait pu être rigolo), puis repart, puis re-débarque avant qu'il ne l'emmène en colonie de vacances (la mère, elle, s'est barrée pour une durée "indéterminée"). Là on se dit : soit ça bouge enfin, soit on va nous infliger un truc genre conflit de générations, petite fille riche abandonnée, etc. Eh bien non. ÇA continue. Bon, on aura bien le coup de la petite fille riche abandonnée, mais plus loin, entre la Ferrari et l'hélicoptère qui l'emmène en colonie (Quoi ? Quel est le problème ?). Ah oui, le "ça" de "ça continue", c'est quoi ? L'ennui madame ! L'ennui ! Terrible et profond, à tel point qu'on en finit par se demander si Sofia Coppola ne vient pas d'inventer le cinéma en 4D ou 5D en nous proposant une si parfaite immersion dans l'atmosphère du film... A ce point-là de la réflexion, on se dit qu'elle mérite 4 étoiles. Nous verrons plus loin que non. Et sinon, à part ça ? A part ça, quoi ? Ben, à part ça ? Ben, rien. Rien ? Non, rien. Pas de belles images, à peine un beau plan. La musique de Monsieur (Phoenix) est plaquée comme sur un reportage d'M6, pas d'ambiance, pas d'épaisseur, rien. Allez, quelques saynettes amusantes (les danseuses, le masseur, la conf. de presse, la pute italienne et la fille au petit déj.). Bien peu de choses en réalité. Et quand, en fin (et non "enfin", enfin si d'une certaine manière), une fois la gamine partie, non sans avoir pleuré, le père pleure à son tour puis s'en va sur les routes sur son cheval cabré (c'est comme ça qu'on appelle les Ferrari), puis délaisse sa monture pour marcher vers son destin, on a envie de crier NON ! Non, mademoiselle Coppola, ça suffit maintenant, allez vous asseoir ! Et si vous vous ennuyez, faites du tricot !
    christelle2a
    christelle2a

    55 abonnés 217 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 novembre 2011
    Regarder un film de Sofia Coppola est toujours un bonheur pour moi. Même si je trouve que celui ci est légèrement moins bien que ses prédécesseurs (en particulier le magnifique Marie Antoinette), je me suis tout de même laissée encore une fois transporter par son joli univers. Comme pour les autres, ce long métrage a pour thème principal la solitude. Ici, celle d'un acteur hollywoodien, à réputation sulfureuse, mais qui derrière toutes ses soirées de fête et de beuverie s'ennuie terriblement. Gardant pendant quelques jours sa fille de 11 ans qu'il ne connait que trop peu, il va se découvrir une complicité avec cette préadolescente très intelligente et gentille. Stephen Dorff et Elle Fanning (que j'adore) sont aussi parfaits l'un que l'autre. Les scènes entre les deux acteurs sont des petits moments de ravissement sublimés par la toujours excellente BO de Phoenix. Un petite chose me turlupine tout de même: l'apparition éclaire de Michelle Monaghan inscrite dans le générique comme un des rôle principale. Bref, un film qu'apprécieront les amateurs de Sofia Coppola, mais que les autres trouveront peut être un peu trop ennuyeux...
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