Somewhere
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796 critiques spectateurs

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gabdias
gabdias

92 abonnés 1 827 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 14 janvier 2011
Hollywood s'ennuie et perd de sa splendeur en tout cas c'est l'envers du décor que nous montre Sofia Coppola au travers de cet acteur pommé, le trop rare et impressionnant Stephen Dorf. Avec une mise en scène sobre et minimal, Somewhere s'impose comme un vrai film de sentiments et de simplicité.
NicoMyers
NicoMyers

62 abonnés 302 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 13 janvier 2011
La vie banale et les tourments quotidiens d'un jeune, riche et bel acteur qui s'ennuit. Voilà à quoi peut se résumer Somewhere de Sofia Coppola. Expérimentant de manière jusqu'au boutiste son cinéma de l'inaction, du petit questionnement, qu'elle avait déjà mise en scène de manière légèrement plus rythmée ou "ludique" dans Lost in translation, Sofia Coppola réalise ici un film singulier qui ne peut que diviser ses spectateurs ou en laisser de nombreux indécis.

Arnaque prétentieuse et vide ? Oeuvre unique sur l'absurdité de nos vies ? Difficile de trancher, en effet. Si l'on prend au sérieux la première proposition, il est évident que l'indécision et l'ennui du héros, un acteur hollywoodien de films d'actions, n'est réservé qu'à une certaine couche social. Difficile, pour certains, de s'attacher aux tourments psychologiques d'un personnage qui a tout, confort, argent, conquêtes féminines. Or ce serait une erreur de condamner le film pour cela (certains critiques s'en sont donné à coeur joie, rapprochant le sujet du film à la vie personnelle de Sofia Coppola, qui se voit affublée d'un nouveau surnom, la "pauvre petite fille riche" du cinéma). Car la réalisatrice montre un certain recul, étonnant compte tenu de la part autobiographique du film, et qu'il est important de bien saisir. Coppola est bien consciente de la nullité de son personnage, Johnny, qui se goinfre, se vautre dans son lit, s'enfonce dans un train-train jusqu'à se vider de tous sentiments. Au fur et à mesure du film, au cours des différentes rencontres qu'il peut faire, lui-même constate qu'il est un adolescent attardé qui gâche le peu de temps qui lui est offert par la vie. A la toute fin, il décide de sortir de sa Porsche, et de marcher vers de nouveaux horizons. Johnny devient enfin adulte, décide de se prendre en main, et probablement ses problèmes ne seront plus des petits questionnements existentiels bourgeois. C'est ce que semble dire la toute fin, malheureusement trop symbolique, trop attendue et surfaite pour conclure en beauté le film. Sofia Coppola fait également le choix de ne pas nous livrer clairement quel est le chemin que Johnny s'est décidé à prendre : celui d'une paternité enfin assumée ? On peut le deviner, ainsi peut-être qu'une ouverture aux autres, mais il s'agit là d'élucubrations somme toute personnelles. Peut-être ne le sait-il pas lui même, bien que décidé à changer de vie.

Somewhere, tout comme l'existence de son personnage principal, n'est donc pas aussi vain qu'il en a l'air, il mène "quelque part" : derrière les longs plans silencieux de Stephen Dorff les yeux perdus dans le vague, il y a aussi un parcours qui se dessine tranquillement. Cela étant dit, il est évident que l'essentiel du travail de Sofia Coppola s'applique à retranscrire l'intime et le quotidien, ici souvent jusqu'à l'absurde. Comme dans la vie, on ne sait jamais trop ce qui peut nous arriver (Johnny voit, en sortant de son appartement, une voiture accidentée), mais généralement rien ne se produit d'exceptionnel - si ce n'est, au pire, un masseur qui se déshabille dans votre chambre d'hôtel. Cette lenteur, ce flottement qu'on trouve dans les films de la jeune réalisatrice peuvent rappeler le style de Jim Jarmusch (le lien stylistique est évident entre Lost in Translation ou Somewhere et Broken Flowers). Certains détails, comme l'auteur des SMS anonymes et le mystérieux conducteur du 4x4 noir, resteront inexpliqués et finalement sans importance. Ce choix artistique met en valeur l'humain et les relations entre les personnages, qui, perdus dans l'absurdité de la vie, se retrouvent grâce aux autres. "A deux, on va forcement quelque part" disait Madeleine dans Vertigo. L'amour mène quelque part (somewhere), qu'il soit homme-femme (amour apparemment impossible pour Johnny, trop volage pour maintenir un couple en équilibre), ou bien père-fille, comme c'est le cas ici. Johnny se décide progressivement à aller quelque part, hésitant, s'offrant des allées et venues. Somewhere peut se voir comme un film initiatique experimental, un road-movie éclaté. En Italie, face à l'absurdité des remises de prix auxquelles il ne comprend rien ("remake" du tournage de la publicité Japonaise dans Lost in translation), il désobéit aux conventions et part plus tôt que prévu. C'est tardivement qu'il part effectivement rejoindre ce "quelque part", sans trop savoir s'il l'atteindra, ni quel chemin il devra parcourir pour y parvenir. Encore une fois, il est regrettable que cette fin, scène majeure du film, soit traitée de manière caricaturale, avec pathos et musique qui s'amplifie, tuant le réalisme et la profondeur du film. Un silence, peut-être, aurait mieux convenu. Le reste du film est quant à lui est plus cohérent, semblant parfois abscond car moins poétique dans la description du banal que Lost in translation, mais assez envoûtant et élevé par sa très belle photographie (...), ainsi que par les performances de Stephen Dorff et Elle Fanning, remarquables.
nestor13
nestor13

62 abonnés 1 222 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 16 janvier 2011
Sofia Coppola n'a pas réellement fait dans l'originalité avec ce "Somewhere". La ressurection mentale et morale d'un homme blasé, qui possède tout ce qu'il veut mais redécouvre ce que sont les vraies choses au contact de quelqu'un qui lui est cher, ça ne me semble pas franchement neuf comme sujet. C'était d'ailleurs vaguement le thème de ce qui reste à l'heure actuelle son film référence, à savoir "Lost in translation" (tu m'étonnes, Bill Murray quand même). Toutefois, les aventures de cet homme qui tourne en rond au début mais qui va au final se remettre dans le sens de la marche ne m'ont pas tout à fait laissé insensible. Je ne dis pas cela forcément eu égard aux quelques jolies meufs qui aguichent le héros et le spectateur et dont certaines nous montrent quelques fermes paires de seins. Mais surtout parce que Stephen Dorff et Elle Fanning (soeur de Dakota), qui est une fort belle révélation, arrivent à créer une réelle étincelle de malice et de tendresse. Cette production familiale à tous les sens du terme (Roman et Francis Ford ont apporté leur écot) arrive ainsi à être parfois touchante, même si sa portée me semble assez pauvre. Bref, ailleurs c'est toujours quelque part...
WardStradlater
WardStradlater

59 abonnés 469 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 10 mai 2011
Comme la plupart des films de Sofia Coppola, Somewhere est un film minimaliste, et ne se regarde qu'une seule fois. Le rythme, très lent et voulu, veut mettre en évidence le mode de vie de ces "stars" hollywoodien, nouveaux totems ou dieux du XXe siècle. Cela parle de l'abondance et de l’accessibilité de chaque chose, dans un univers complètement déconnecté des réalités. Sur simple demande, tout est à portée de main. Alors on s'ennuie, et la liberté devient une illusion, puisque la personne est prisonnière de son contexte matérialiste.
jeremie747
jeremie747

45 abonnés 484 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 14 février 2011
A mesure que son oeuvre s'agrandit, il semble de plus en plus évident que Sofia Coppola se fait une spécialité de filmer l'ennui. Dans "Somewhere", on suit une star hollywoodienne, un acteur en promo qui ne fait absolument rien d'autre que s'ennuyer. Rien ne semble jamais le tirer de cet état un peu second dans lequel il est perpétuellement plongé : qu'il soit en train de faire l'amour, de regarder des jumelles faire du pole dance, de faire la promotion de son film, de recevoir un prix,... il ne quitte jamais sa mine triste et désintéressée de tout. On imaginerait que l'irruption de sa fille, qu'il voit très rarement et avec qui il a l'occasion de passer plusieurs jours, marquerait une rupture, un retour à la vie et au plaisir ; mais si le film oscille parfois dans cette direction, il refuse finalement cette respiration à son personnage. Très similaire, "Lost in Translation" était réussi car il proposait la rencontre de deux consciences et qu'il construisait de la matière, une relation, à partir du vide existentiel dans lequel évoluaient les personnages. C'est ce qui manque à "Somewhere" où les relations entre le père et la fille se résument à la mise en parallèle de deux ennuis qui n'arrivent jamais à se rencontrer. Il manque aussi cette touche d'humour que "Lost in Translation" devait sans doute plus à son casting (Bill Murray et Scarlett Johansson) qu'à son écriture. "Somewhere", filmé avec beaucoup d'élégance et enrobé par une bande originale aérienne, confirme certes le talent esthétique de sa réalisatrice mais le risque pour un film dont l'unique sujet est le vide et l'ennui, c'est, très vite, de devenir lui-même vide et ennuyeux. En définitive, on a le sentiment que Sofia Coppola dissimule l'absolue vacuité de son propos derrière un authentique savoir-faire pop, et ce film finalement sans scénario ni dialogues ressemble fort à une vaste fumisterie.
Charles G
Charles G

34 abonnés 627 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 9 janvier 2011
Épurer. Le maître mot de Sofia est là. Pas de parole ni d'actions superflues. Étirer. Les plans, les séquences, les cadrages. Pour renforcer la solitude, l'ennui. Répéter. Les scènes, toutes semblables, pour renforcer la futilité, l'absurdité. Le tout dans un style trop académique (la première et la dernière scène en écho trop évident). Et puis à trop épurer, on se risque à proposer une œuvre un tantinet vide. Mais, cependant, le film touche du doigt la perfection à certains moments, comme lorsque Sofia parvient à filmer le regard incroyable d'Elle Fanning lorsque celle-ci tente de faire comprendre à son père que leur intimité a été violée par une jeune femme frivole.
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 26 janvier 2011
Malgré un scénario qui en apparence peux paraitre sans grand intérêt, le film devient intéressant asses rapidement même si le début du film est confus, car on ne voit pas bien ou la réalisatrice veut en venir, le principal atout de Somewhere est que l'histoire est simple mais trés efficaces car il n'y aucun superflus malgré le scénario qui pourrait paraitre superficiel, certaines scènes entre le pére et la fille sont émouvantes par leurs simplicités et par la qualités d'interprétations des deux acteurs.
anonyme
Un visiteur
3,5
Publiée le 18 mai 2013
La forme donne le fond, c'est long, un peu trop mais il y a ce qu'il faut par moments pour ne pas en faire un film d'auteur pompeux et trop chiant. Les deux acteurs sont charmants et attachants, d'ailleurs tout tourne autour d'eux. L'art de filmer l'ennui, sans être un chef d'oeuvre, Sofia Coppola prend des risques ici et ça ne plaira pas à tout le monde.
GodMonsters
GodMonsters

1 325 abonnés 2 645 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 29 décembre 2011
'Somewhere' est un bon film, Sofia Coppola reste une bonne réalisatrice, mais je suis beaucoup déçu car ça ne vaut pas 'Marie-Antoinette' (son meilleur film à mes yeux), 'Lost in Translation' ou encore 'Virgin suicides'... en clair, c'est son plus mauvais film (mais ça reste quand même bon) !! Certes, les acteurs sont bons, la réalisation est soignée et s'embellit encore plus grâce à une belle photographie et de beaux décors... mais le film est un peu trop monotone je trouve, je me suis ennuyé du début à la fin. Les autres films de la réalisatrice avait eux aussi un rythme lent, mais ils étaient beaucoup plus passionnants et efficaces !!
Julien D
Julien D

1 228 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 6 septembre 2012
Outre le fait que rouler tout droit est plus productif que tourner en rond, ce film semble être totalement vide de sens... Sans doute Sofia Coppola s’inspire t-elle d’un drame familial inspiré de souvenirs personnels (mais alors est-ce elle ou papa Francis qu'elle représente à travers cet alcoolique antipathique dépressif aux mœurs tendancieuses?) ou une critique de l'univers hollywoodien, qu’elle connait visiblement mieux que la culture pop nipponne, pour nous plongé dans le quotidien de cet hôtel californien où les rapports non payés semblent impossibles. Dans un cas comme dans l'autre, l'absence totale d'émotions et d'actions quelconques (outre de longs strip-teases ne servant que de clips aux chansons de Phoenix et une partie de Wii-fi pleine de suspense) en font un pauvre moment d'ennui et surtout une grande déception de la part de la jeune réalisatrice.
Christoblog
Christoblog

848 abonnés 1 696 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 6 janvier 2011
Sofia Coppola filme très bien l'ennui. Si bien qu'on finit par s'ennuyer ferme en regardant son film.

Résumons nous : un acteur hollywoodien qui a tout (Ferrari, alcool et blondasses a gogo) ne trouve pas beaucoup de sens à sa vie. Sa fille de 11 ans avec qui il va vivre quelque temps lui fait sentir ce qu'il a raté. Voilà. C'est tout. (Ici baillez).

On a connu Sofia Coppola (un peu) plus subtile que dans ce film. Illustration : premier plan fixe sur un circuit de voiture, la Ferrari noire sort et entre dans le champ une dizaine de fois. Baillez. Encore plus lourd : pour illustrer l'incommunicabilité entre le père et sa fille, le film fait crier au père "Excuse moi de ne pas avoir été là" alors que ce dernier se trouve sous un hélicoptère qui envoie les décibels comme 10 groupes de heavy metal. Et tout est à l'avenant. Autre tic insupportable : les répétitions de scène (je joue à la Wii, puis je rejoue, je me douche, puis je me redouche, je me trompe de nom en baisant une fois, puis deux, je reçois un message d'insultes, puis un deuxième, puis un troisième). Re-baillez.

Allez. Je lance la vacherie attendue (je ne serai pas le seul) : il fallait probablement avoir couché avec le président du jury (Tarantino) pour avoir le Lion d'Or cette année. C'est d'autant plus triste que ces dernières années Venise s'était distingué par la sûreté de ces choix (par exemple le magnifique The Wrestler en 2008).

Finalement, Sofia Coppola filme le milieu qu'elle connaît avec les moyens de ce même milieu : le résultat n'est pas dérangeant (comme peuvent l'être les romans de Bret Easton Ellis par exemple), il est simplement vain et auto-parodique, comme un collage raté de ses trois films précédents.

Bien sûr, certains esthètes pugnaces aimeront. Je peux deviner ce qu'ils écrireront. Ca ressemblera à ça :
Sofia Coppola réussit parfaitement à donner cette sensation de vide qui emplit petit à petit l'esprit du personnage principal par une succession de vignettes originales et poétiques, qui flottent dans le temps comme autant de bulles irisées. La jeune Cléo apporte une gravité virevoltante dans ce vide abyssal et le remplit comme elle remplit l'espace de la patinoire par ses arabesques et celui de la piscine par ses singeries expressives, et bla, et bla... je pourrais continuer comme ça pendant une heure.

Mais au final (l'homme gare sa Ferrari en plein désert et part, seul, marchant sur la route tel un lonesome cow-boy post-moderne) croyez moi : vous re-re-baillerez !
D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666.blogs.allocine.fr/
anonyme
Un visiteur
3,5
Publiée le 10 août 2012
Pas le meilleur film de Sofia Coppola mais bien dans son style (lenteur, errance et vide). Le portrait d'une star de cinéma qui s'ennui (malgré qu'il soit entouré de filles superbes, qu'il ait de l'argent et qu'il soit célèbre) et qui revit le temps que sa fille de 11 ans viennent lui rendre visite. Stephen Dorff et Elle Fanning sont très nature, cela fait plaisir aussi de voir Chris Pontius joué dans un film sérieux.
Parkko
Parkko

164 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 6 janvier 2011
Le film est terriblement vain. L'émotion ne passe pas, contrairement à un Lost in Translation. Sofia Coppola recycle les principaux aspects de ses trois films mais en fait quelque chose de moins bien.

C'est dommage, car il y a des scènes où la réalisatrice semble en état de grâce, l'espace de quelques secondes, voire quelques minutes, on retrouve tout d'un coup la magie qui faisait son cinéma.
Ce n'est pas mauvais en soi, mais le rendu est terriblement décevant pour ceux qui, comme moi, aiment le cinéma de la réalisatrice.

A noter que le casting est tout de même réussi. La BO, par contre déçoit, pas qu'elle soit mauvaise, au contraire, mais l'emploi de la musique se fait, à mon avis, bien trop rare.
Rotten Tomatoes
Rotten Tomatoes

105 abonnés 695 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 9 janvier 2012
Miss Coppola a trop de confiance en soi pour oser sortir un navet pareil. Premier plan : caméra fixe qui film une auto tournant en rond. Pourtant grand fan de ses précédents films, j'attendais. Quelque chose... Et rien n'est venu. Voila le problème des grands d'Hollywood : ils se permettent de sortir un film inutile qui n'apporte rien, si ce n'est du vide et une perte de temps et d'argent. Je ne critique pas la musique, je ne critique ni les acteurs ni les décors, je suis juste déçu que cette mise en scène de la vacuité qui n'apporte ni questionnement, ni réponse. Notons néanmoins une Elle Fanning prometteuse.
Uncertainregard
Uncertainregard

121 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 11 avril 2011
Elle nous a déjà offert du très bon mais je dois dire qu'ici Sofia Coppola prend du galon. Superbe! Comment a-t'elle imaginé une mise en scène pareille avec si peu de matière? C'est d'une telle simplicité et d'une telle beauté que je le qualifirais presque de comtemplatif. J'ai été complètement absorbé et je pense ne pas avoir beaucoup cligné des yeux tant ils étaient écarquillés. Elle va pas tarder à rattraper le papa...
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