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Un visiteur
2,0
Publiée le 5 février 2014
Bonne histoire mais peu divertissant . Un film qui me rappelle un mélange de charmed et de buffy contre les vampires . Déçu par rapport à l'extrait apporté.
Des effets spéciaux limite, un scénario assez plat-plat et quelques incohérence, un doublage limite et des maquillage qui frôle le cosplay font de placard...
Sentant avoir fait le tour de toutes les possibilités de la franchise Underworld, Deux de ses producteurs ont décidés d'adapter une autre bande dessinée de son créateur Kevin Grevioux. Une nouveau conflit millénaire mettant en scène cette fois ci Gargouilles contre Démons pour lequel la créature créée par Viktor Frankenstein est au centre de tous les intérêts.
Débarrassé du créateur qui s'était mis en tête de le détruire, la créature de Frankenstein se fait attaquer par des démons. L'intervention bénéfique des Gargouilles va lui sauver la vie. Leur Reine décide de le nommer désormais Adam et elle aimerait bien en faire un puissant allié. Plutôt du genre solitaire, il préfère s'isoler pendant deux cents ans. Mais lorsqu'il se rend compte que les démons sont encore après lui, il décide de leur régler leur compte une bonne fois pour toute en trouvant leur chef Naberius.
Il ne faudra qu'environ deux minutes au réalisateur Stuart Beattie pour nous résumer à l'arrache de Frankenstein au début du film. Un temps très court pour nous expliquer la genèse du monstre et la fin de l'histoire telle que l'avait imaginée Mary Shelley et dont on se souvient tous. Issu de l'imagination de Kevin Grevioux (créateur, scénariste, producteur et acteur) la suite de cette histoire risque fortement de surprendre voir choquer les fans de cette créature d'anthologie. D'autant plus lorsqu'une vulgaire guerrière gargouille se permettra de reprendre LA célèbre réplique "It's Alive" en guise de clin d’œil lourdingue.
Quelle mouche a donc bien pu le piquer pour aller transformer le Monstre de Frankenstein en héros d'un film d'action décérébré ? et pourquoi donc le place à nouveau dans un improbable conflit aussi dénué d’intérêt que la guerre entre Vampires et Lycans de la saga Underworld ? C'est un peu prendre les spectateurs pour des imbéciles d'oser leur servir quasiment la même intrigue sous un autre nom ! d'autant plus que le chef des démons est une nouvelle fois interprété par Bill Nighy, déjà à la tête des vampires d'Underworld. Cela sent sérieusement le réchauffé.
Et pourquoi avoir donné le rôle de ce monstre à Aaron Eckhart ? Certes l'acteur a joué brillamment l'un des plus célèbres ennemis de Batman mais il est loin d'avoir la carrure d'un Boris Karloff pour oser se frotter au mythe ! D'autant plus que dans cette histoire, la créature semble rapidement développer un don quasi naturel pour la castagne avec des bâtons. En plus en dehors de quelques cicatrices on a pas vraiment l'impression de voir un monstre vraiment effrayant constitué de morceaux de cadavres. Du grand n'importe quoi qui nous fera regretter très rapidement d’être aller voir ce film.
L'imposant budget du long métrage permet de nous en mettre plein la vue avec des décors réussis et des effets spéciaux numériques qui tiennent bien la route. Quelle idée en revanche d'affubler les démons de ridicules masques en caoutchouc qui semble être sorti tout droit d'une vulgaire boutique de déguisements ou d'un épisode de Buffy Contre Les Vampires. Au lieu de faire peur, c'est plutot des éclats de rires qui risquent de s'échapper de la salle à chaque transformation. Et pourquoi les gargouilles du film garde toujours un aspect pierre lorsqu'elles s'animent alors qu'elles ne sont justement pas des statues ?
I, Frankenstein fait surtout de la peine pour ses acteurs. On a du mal à les imaginer croire vraiment à ce qu'ils disent ou font tant cette histoire est d'une débilité sans bornes. On a un peu l'impression qu'ils sont là parce qu'ils ont besoin de manger. Des comédiens dont on sait plus trop quoi faire comme Miranda Otto (Le Seigneur Des Anneaux) en Reine des Gargouilles ou Jai Courtney, fils de John McLane dans Die Hard 5 en guerrier Gargouille, et des actrices sexy et inconnus pour faire jolie comme Caitlin Stasey ou Ivonne Strahovski (Dexter).
Le premier mot pour résumer ce film est Pourquoi ? Le film de Stuart Beattie fera effectivement se poser beaucoup de question face à un tel ratage. Même avec des clins d'oeils appuyés au film de 1931, Mary Shelley doit elle se retourner dans sa tombe de voir son personnage ainsi maltraité.
On ne peut pas s'attendre à grand chose avec ce type de film et ça tombe bien, puisqu'on n'a pas droit à grand chose.
Après c'est fun, stupide, régressif, déjà vu, plaisant, sans surprise, sans ennui. Bref sans envergure même si certaines scènes sont bien heavy.
Aaron Eckhart n'y est pas très bon, les autres acteurs non plus, Bill Nighy à part (toujours un cran au-dessus même dans les nanars ce cher Bill).
Les atermoiements de la créature agacent en allongeant artificiellement le film et ne font que souligner l'absence d'idées, de scénario et de souffle. Les effets spéciaux sont parfois très réussis, les maquillages non. Mention spéciale au design des gargouilles. Ratage complet des démons. Au final, ça divertit mais ça n'enrichit pas. Du coup, on ressort l'esprit vide, pas qu'il y avait grand chose non plus avant :p 2/5
Se vendant comme une sorte de relecture moderne de « Frankenstein », ce « film » se contente en réalité d'un pauvre résumé assez grossier du classique de Mary Shelley torché en cinq minutes pour arriver à ce qui l'intéresse : un blockbuster pour ados cherchant uniquement à mettre leur cerveau en « off » pendant cent minutes. Je vais faire court : moi qui me passionne pour le roman d'origine et ses déclinaisons cinématographiques, celle-ci est juste un gros bras d'honneur au mythe originel, un bousin sans âme ni talent où les effets numériques pleuvent avec une certaine constance dans la laideur, la créature devenant ici une sorte de pseudo anti-héros sans substance ni subtilité dont l' « évolution » est aussi inintéressante que prévisible, à l'image d'un Aaron Eckhart aux choix de carrière de plus en plus douteux. Et « Frankenstein », dans tout ça ? Quelques vagues références dans l'intrigue histoire de justifier son utilisation au milieu d'un script d'une confondante indigence. Le pire, c'est que je ne me suis même pas vraiment ennuyé, simplement consterné par l'indescriptible ineptie d'un bousin ayant peu d'égal ces dernières années (et pourtant la concurrence est rude). En un mot : nul.
Après avoir enterré le baron Frankenstein, sa créature se retrouve prise dans une guerre entre des démons et des gargouilles angéliques, et survit jusqu'à notre époque. Au delà de ses airs de déjà-vu, le scénario de "I, Frankenstein" est inintéressant au possible. Les personnages sont stéréotypés, les dialogues particulièrement navrants, l'intrigue est ultra prévisible. Par ailleurs, la réalisation, abusant de CGI anodins, n'a aucune âme (un comble au vu du sujet du film, qui traite de l'humanité derrière la créature !). Sans compter des acteurs transparents. Entre un Bill Nighty complètement sous-employé, et un Aaron Eckhart qui arbore en permanence un visage crispé et une voix grave, les seconds rôles sont inexistants. "I, Frankenstein" est donc une vraie purge.
Mais qu'est-ce-que c'est que ce truc là. Il pioche des influences dans tout un tas de films fantastiques et contes célèbres et du coup il en sort un truc mélangé, sans grand intérêt ni grande réalisation. Se voulant d'envergure, il ne dépasse pas, loin de là, une série B moyenne. A oublier...
Mais qu'est venu faire Aaron Eckhart dans cette série b cheap à l'esthétisme gothique datée ? Stuart Beattie réalise un sous-"Underwold" (allant même jusqu'à recyclé Bill Nighy en méchant) et échoue complètement à créer et décrire son univers fantastique qui s'avère bien pauvre.
"I, Frankenstein" (pourquoi "Moi, Frankenstein" comme titre au lieu de Frankenstein tout court ?) s'est révélé être plaisant à voir. Je n'attendais pas cela, alors je rehausse la moyenne du site. Après avoir vu Aaron Eckhart à moitié défiguré dans The Dark Night, le voici en tant qu'assemblage de morceaux humains. Finalement moins monstrueux que dans Batman. De l'action, des démons ressemblants à des Unas (cf Stargate SG-1), des gentilles gargouilles (c'te blague), du suspens... pas mal, mas mal. Mais ce n'est pas un film d'horreur, contrairement à ce qu'indique Allociné pour décrire le genre.
Depuis quelque temps Hollywood se complaît (parce que c’est à peu près sûr que ça va rapporter) dans la production de films issus de trois filons : les blockbusters de super-héros, les reboot de saga ou la remise à jour de mythes universels (types loups-garous ou vampires), ici il parie sur sur la résurrection d’un mythe de la littérature gothique maintes fois adapté, j’ai nommé la créature de Frankenstein de Mary Shelley. Autant vous dire, mais je pense que tout le monde l’aura anticipé, qu’on est très loin du roman original. En fait on a une histoire simpliste aux péripéties cousues de fils blancs avec des personnages très archétypaux (pour ne pas dire simplement caricaturaux) qui se meuvent dans une histoire où s’affronte les forces du bien conte celles du mal et où notre héros va devoir se choisir un destin en choisissant un des deux camps le tout avec en filigrane un esquisse d’histoire d’amour. Tout ça servant, de façon peu subtile, à nous fourguer le maximum de scènes d’action, c’est-à-dire ici de combats, enrobées d’un maximum d’effets spéciaux ; pas trop mauvais cela dit, mais bon vu que c’est le seul point positif du film, il n’aurait pas fallu en plus qu’ils soient ratés sous peine de naufrager un film qui n’a pas besoin de ça pour figurer dans la liste des navets à budget confortable (65 millions tout de même !). L’histoire est si évidente, les personnages si transparents et les dialogues si inintéressants que le film en arrive à n’être que passablement distrayant, un comble quand c’est au minimum ce qu’on lui demande. Une pâle adaptation des recettes qui ont fait le succès de la saga “Underworld” (c’était également une autre adaptation cinématographique d’un roman graphique du même auteur que ce film), qui nous montre qu’il ne suffit pas de bégayer les mêmes gimmicks de scénarios et de réalisations pour accoucher d’un bon film, même pas d’une série B malicieuse. À éviter même quand on cherche un film uniquement pour se distraire.
Ca parle avec une voix baroque, ça court de rue désertes en ruelles assombrie par les déchets. Et puis ça n'a ni queue ni tête. On aurait bien ri parfois, mais ça ne veut pas se casser le crâne cinq minutes. Le pire dans le Nanar, qui dépasse tout ce qu'on aurait pu imaginer !
Le scénario n'est pas original et la lutte du bien contre le mal on a donné pas mal mais étant une inconditionnelle des effets spéciaux et des créatures fantastiques, je suis ressortie contente de ma séance. Ajoutez à cela que Frankenstein, malgré toutes ses cicatrices, est un bien bel homme ;-)
Ce n'est pas le film du siècle, mais ça se laisse voir. Les effets ne sont pas plus mauvais que dans certains films : du fond vert, des doubles images... Un mix entre Underworld, Van Helsing, La ligue des gentlemen extraordinaires... Je ne me suis pas ennuyé, mais aussitôt vu aussitôt oublié...