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Au fil d'un scénario brouillon et sans originalité, cette adaptation a l'idée saugrenue de confronter sa créature à une série de personnages fantastiques, tous plus caricaturaux les uns que les autres.
(...) L'australien Stuart Beattie emballe cette série z à 65 millions de dollars tirée d'un comic-book de l'acteur Kevin Grevioux avec un bel entrain (on n'a pas le temps de s'ennuyer tellement c'est bas de plafond, et les gargouilles volantes ont vraiment de la gueule) avant de lâcher l'affaire dans un dernier acte qui part droit dans le mur et le portnawak.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Le monstre de Frankenstein est sans doute plus vivant que ce blockbuster sans âme gonflé à l’action absurde. Ou comment prendre le spectateur pour un imbécile.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
"I, Frankenstein" est un nanar traversé par des moments de folie.
Le Parisien
Malgré un scénario peu subtil, Aaron Eckhart parvient à donner une consistance psychologique au héros.
L'Ecran Fantastique
Hélas, ici, on reste toujours en surface (...).
Les Fiches du Cinéma
Au fil d'un scénario brouillon et sans originalité, cette adaptation a l'idée saugrenue de confronter sa créature à une série de personnages fantastiques, tous plus caricaturaux les uns que les autres.
Mad Movies
(...) L'australien Stuart Beattie emballe cette série z à 65 millions de dollars tirée d'un comic-book de l'acteur Kevin Grevioux avec un bel entrain (on n'a pas le temps de s'ennuyer tellement c'est bas de plafond, et les gargouilles volantes ont vraiment de la gueule) avant de lâcher l'affaire dans un dernier acte qui part droit dans le mur et le portnawak.
Metro
"I Frankenstein", un produit SF peu digeste inspiré d'un comic book.
Critikat.com
Un vomissement coloré ininterrompu, immature et stupide.
Télérama
Moi, la créature de Frankenstein, je n'aurais jamais dû me laisser embarquer par Stuart Beattie, le réalisateur.
aVoir-aLire.com
Le monstre de Frankenstein est sans doute plus vivant que ce blockbuster sans âme gonflé à l’action absurde. Ou comment prendre le spectateur pour un imbécile.