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Victor A.
66 abonnés
388 critiques
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3,5
Publiée le 27 janvier 2021
Très rythmé, suivre l'ascension du personnage principal est très plaisant. Le fait que l'histoire se déroule en Inde offre une autre qualité et une singularité au long métrage. Dommage que parfois le scénario ne soit pas fin du tout et que la dernière partie soit assez bâclée. On sent que Netflix a donné les moyens à son réalisateur de raconter l'histoire qu'il souhaitait raconter avec les budget qu'il souhaitait.
C'est pas mal mais vraiment déçue par rapport à toutes les excellentes critiques qui étaient parues.. au final film assez long et extrêmement prévisible, la voix off est un peu barbante . Pas exceptionnel.. presque déjà vu en fait
De base je suis pas tres film bolywood etc... Pas que je n'aime pas, mais parce que je m'y connais absolument pas, Le tigre blanc avait attiré mon attention sur Netflix et je ne le regrette absolument pas, chouette film, j'ai passé un bon moment. L'acteur principale est tres bon et l'histoire pas mal du tout ;)
L'inde, la plus grande démocratie ..... mais également, parmi les plus corrompues. Très joli film, cynique et instructif qui se laisse regarder sans temps morts. Une réussite...
Nous voilà en Indes !!! Le suivi de cette aventure d un indien qui veut survivre puis décide de sortir de son pauvre statut d esclave moderne est bien mené. On découvre tout ce qui sépare ces castes modernes ... réaliste ? Je ne sais pas jusqu'à quel point, mais ce parcours est dépaysant et on se laisse porter par cette victime qui devient un cynique personnage. Netflix nous sert un bon film.
L engouement pour ce film est lié au fait que Netflix fait habituellement de grosses daubes et que la..... c est médiocre malgré l acteur principal que j ai trouvé bon. Ça manque de profondeur, souvent dans le cliché et c est long beaucoup trop long pour ce scénario plutôt simpliste.
Une petite pépite à découvrir absolument ! Les acteurs sont très bons, l'histoire est parfaitement écrite, du drame, de l'action, un peu de comédie. Des scènes marquantes et efficaces. Une tranche de vie captivante, intense et prenante. Je n'ai pas décroché du film une seule seconde, le tout accompagné de magnifiques décors. A voir ! $)
Si le film peut sembler un peu long à un moment, il parvient vite à se dégager de la tourmente en proposant un final convainquant. Découvrir une petite part de la société indienne joue forcément dans ce qu'on peut en penser. La réussite majeure du métrage est sans conteste son personnage, Balram. Absolument touchant, on constate dans sa façon d'agir une constante progression. Du jeune homme, on arrive à l'homme, mais le tout en passant par d'innombrables états. Des Etats proches de cette insouciance de la jeunesse, qui ne le quitte qu'après un électrochoc. C'est beau, émouvant prenant. Rien à reprocher.
Ce film a deux côtés bien distincts, l'un drôle, plein d'humour avec des dialogues décapants, l'autre pathétique, qui nous montre une Inde tout en contraste, la richesse qui côtoie la pauvreté et la lutte des classes. Triste à pleurer. Les derniers dialogues du film font réfléchir...!
Devenu chef d'entreprise brillant qui prend sa revanche sur sa condition d'indien misérable. On découvre l'Inde d'aujourd'hui dans le siècle des marrons et des jaunes. C'est la lutte des castes. Le domestique s'émancipe, passant d'un extrême à l'autre. Le jeune Rahman est brillantissime
Cette adaptation du roman récompensé de l’écrivain indien Aravind Adiga, The white tiger, se donne d’emblée l’ambition de montrer la « vérité de l’Inde », une vérité duelle entre lumière et ténèbres (light and darkness). L’oeuvre entend dresser un portrait réaliste et désabusé d’une Inde contemporaine tiraillée par ses contradictions : la survivance de la mentalité millénaire issue du système des castes dans l’Inde républicaine, le choc de la société traditionnelle et du modèle capitaliste, la coexistence de religions et superstitions diverses. Mais, plutôt que de se livrer à une vaste fresque aux multiples personnages, elle le fait en suivant le seul destin et le point de vue d’un jeune homme appelé Balram, remarquablement interprété par l’acteur (jusque-là inconnu mais très bien trouvé) Adarsh Gourav. Issu d’un milieu modeste et très humble, il parvient à se faire embaucher comme chauffeur. La scène centrale de l’oeuvre et son point de bascule, présentée dès le prologue, est un accident de voiture qui renverse un enfant, alors que Balram est assis à l’arrière du véhicule, sa maîtresse américaine ayant décidé de prendre le volant en état d’ébriété. Il convainc alors ses maîtres de prendre la fuite, sans aucune mauvaise conscience. Ensuite, il se voit contraint d’assumer la responsabilité de l’homicide, qu’il accepte en raison de sa servitude volontaire (dont parlait le jeune LaBoétie pour dénoncer, à une autre époque, les méfaits de la monarchie). Cela enclenchera chez lui une prise de conscience et un sentiment de révolte contre les injustices sociales. Mais loin d’être un héros modélique dont raffole le grand cinéma de Bollywood, il n’est pas exempt d’immoralité et de bassesse. Netflix s’en est remis au réalisateur américano-iranien Ramin Bahrani (grand prix du festival de Deauville pour 99 homes) qui s’est acquitté d’une tâche assez ardue avec beaucoup d’application et de sobriété. Il est parvenu à trouver une intensité qui fait parfois défaut aux adaptations de romans, dont le rythme est souvent trop lent pour le cinéma. En revanche, il a un peu peiné à octroyer de l’émotion à une oeuvre essentiellement intellectuelle, qui impressionne surtout par l’acuité de sa réflexion sur l’Inde, très caractéristique de l’intelligentsia indienne (Pavan Darma par exemple) dans sa lucidité auto-critique d’une ironie un peu acerbe. Cela ne correspond pas au tendre (et charmant) idéalisme qui prévaut à Bollywood, mais on pouvait rencontrer cela chez le plus grand réalisateur indien du XXème siècle, Satyajit Ray.
Balram Halwai, est un jeune indien ambitieux et curieux qui n’a pas eu la chance d’aller à l’école. Issue de la basse caste, il rêve d’un autre destin que celui de son père et de son frère ainé à savoir exploiter le charbon et fonder une famille. Contre l’avis de sa grand-mère, Balram saisit l’opportunité de devenir le chauffeur personnel d’Ashok le fils prodigue du notable du village qui revient des Etats-Unis avec sa jeune épouse Pinky. Au contraire des autres maîtres, Ashok et Pinky, aux idées modernes et novatrices, traitent bien leurs domestiques et Balram prend peu à peu confiance en lui. Jusqu’à une fameuse nuit, trahi, il s’aperçoit que ses maîtres ne sont pas différents des autres, il décide alors de se rebeller contre ce système injuste et cruel … Le tigre blanc est Inspiré d’un roman best-seller et lauréat du prix booker en 2008. Petite pépite remplie d’humour noir, le film traite habilement de la lutte des classes au milieu d’une Inde socialiste et pourtant gangrénée par la corruption. Une belle découverte d’un meilleur niveau que son glorieux ainé Slumdog Millionnaire !
une approche de l'Inde avec la différence des castes. l'intensité monte au fur et à mesure. . c'est bien amené, les acteurs sont bons. seul bémol pour moi, le film ne montre pas un bon visage du pays et la fin est un peu bâclée à mon goût. sinon cela reste un très bon film.
Film instructif sur la réalité de l'Inde. Je m'attendais à voir un deuxième slumdog millionaire mais il n'en est rien. L'histoire est tiré par les cheveux. Le film s'attarde sur des scenes sans intérêt. Mais le pire c'est la morale de l'histoire. Si tu es pauvre en inde, si tu veux t'élever socialement tu dois tuer ton parton...Ne mérite pas sa nomination aux oscars.