Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ramin Bahrani fait rugir le cinéma indien loin des paillettes de Bollywood.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par La Rédaction
Une réflexion sur le déterminisme aux atours de conte moral. L’acteur indien Adarsh Gourav est une révélation.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
LCI
par Rania Hoballah
Un film à la fois dérangeant et jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Figaro
par La Rédaction
Des appartements de luxe de Delhi à leurs sordides garages éclairés de néons blafards, Ramin Bahrani passe de la satire au thriller psychologique. Et emprunte autant à Scorsese qu'à Wong Kar-wai pour mettre à vif, comme dans 99 Homes, les plaies de cette société si hiérarchisée.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Philippe Ridet
Un film noir et décapant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Avec ce huitième film, le sous-estimé Rahmin Bahrani livre une fable aussi cinglante que grinçante : souvent drôle, parfois tragique, cette satire à l’acide sulfurique de la société indienne montre, du point de vue des laissés-pour-compte, les ravages du capitalisme et de la mondialisation, et les mirages qu’ils provoquent.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Christian Viviani
Comédie ? Drame ? Cette indécision fait tout le prix du Tigre blanc, dérobant le sol sous les pieds chaque fois que le spectateur croit être en terrain familier.
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
Une épopée narrée non sans humour noir, et doublée d'un portrait au vitriol d'une Inde résolument scindée en deux : l'opulence clinquante d'un côté, l'extrême misère de l'autre.
Télérama
par Cécile Mury
Si ce long film palpitant échappe pourtant à toute lourdeur démonstrative, c’est grâce à une mise en scène nerveuse, au service d’une étude de caractères de plus en plus cruelle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
"Le Tigre blanc" n'est certainement pas une grande oeuvre de cinéma, mais il a le mérite de servilement mettre en image un récit dont les subtilités marqueront ceux qui n'ont pas lu le livre.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Parisien
par Catherine Balle
Cette production indo-américaine est en réalité une dénonciation féroce de la société indienne, qui vire au thriller.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Sans retrouver toute la force de "99 Homes", le cinéaste américain poursuit son étude des rapports de dominations. "Le Tigre blanc" a (également) le mérite de restituer une Inde que le cinéma américain mainstream a si peu filmé, ou souvent appesantie d’un regard occidental désolé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Bien que souffrant de longueurs, Le Tigre blanc séduit par son ton, cet humour noir qui se joue des clichés, sa manière de raconter comment la naïveté de son héros (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Du cinéma vérité [...] aux antipodes du kitsch de Bollywood.
20 Minutes
Ramin Bahrani fait rugir le cinéma indien loin des paillettes de Bollywood.
CinemaTeaser
Une réflexion sur le déterminisme aux atours de conte moral. L’acteur indien Adarsh Gourav est une révélation.
LCI
Un film à la fois dérangeant et jubilatoire.
Le Figaro
Des appartements de luxe de Delhi à leurs sordides garages éclairés de néons blafards, Ramin Bahrani passe de la satire au thriller psychologique. Et emprunte autant à Scorsese qu'à Wong Kar-wai pour mettre à vif, comme dans 99 Homes, les plaies de cette société si hiérarchisée.
Le Monde
Un film noir et décapant.
Les Fiches du Cinéma
Avec ce huitième film, le sous-estimé Rahmin Bahrani livre une fable aussi cinglante que grinçante : souvent drôle, parfois tragique, cette satire à l’acide sulfurique de la société indienne montre, du point de vue des laissés-pour-compte, les ravages du capitalisme et de la mondialisation, et les mirages qu’ils provoquent.
Positif
Comédie ? Drame ? Cette indécision fait tout le prix du Tigre blanc, dérobant le sol sous les pieds chaque fois que le spectateur croit être en terrain familier.
Télé Loisirs
Une épopée narrée non sans humour noir, et doublée d'un portrait au vitriol d'une Inde résolument scindée en deux : l'opulence clinquante d'un côté, l'extrême misère de l'autre.
Télérama
Si ce long film palpitant échappe pourtant à toute lourdeur démonstrative, c’est grâce à une mise en scène nerveuse, au service d’une étude de caractères de plus en plus cruelle.
Ecran Large
"Le Tigre blanc" n'est certainement pas une grande oeuvre de cinéma, mais il a le mérite de servilement mettre en image un récit dont les subtilités marqueront ceux qui n'ont pas lu le livre.
Le Parisien
Cette production indo-américaine est en réalité une dénonciation féroce de la société indienne, qui vire au thriller.
Les Inrockuptibles
Sans retrouver toute la force de "99 Homes", le cinéaste américain poursuit son étude des rapports de dominations. "Le Tigre blanc" a (également) le mérite de restituer une Inde que le cinéma américain mainstream a si peu filmé, ou souvent appesantie d’un regard occidental désolé.
Première
Bien que souffrant de longueurs, Le Tigre blanc séduit par son ton, cet humour noir qui se joue des clichés, sa manière de raconter comment la naïveté de son héros (...).
Télé 7 Jours
Du cinéma vérité [...] aux antipodes du kitsch de Bollywood.