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mouh M.
5 abonnés
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1,5
Publiée le 6 janvier 2020
Comme prévu, on se trouve avec un film gros budget, parc d'attraction, pompeux et américano-centré. Les musiques d'orchestre permanentes sont d'une lourdeur affligeante. Un film commercial, sans âme ....
Plus sombre que le premier opus de cette nouvelle trilogie, Into Darkness sort des entiers battus et se permet quelques entorses façon "Stargate". L'intrigue tient la route et les acteurs ont clairement pris leurs marques. Du très bon Star Trek
Star Trek Into Darkness, second long métrage de la Saga de J.J Abrams m'a littéralement captivé ! Le film à du rythme et laisse à son scénario une grande place pour y infiltrer une multitudes de référence et de pistes en tout genres. Le rendu stylistique est une nouvelle fois avec J.J Abrams très impressionnant, les images et effets spéciaux transportent. Je conserve un souvenir similaire du premier vu il y'a deux mois ... Comme pour celui-ci je constate un réel soucis au niveau des personnages. Touts ce petit monde est bien en place et récite sa partition avec entrain mais personne ne sort jamais du cadre. Benedict Cumberbatch s'en sort je dois bien le dire très bien sous les traits de Khan. Un divertissement de haute volée.
Aussi bien que le premier. La scene d'introduction est géniale autant dans la musique que dans l'ambiance et ce départ avec elle est trés bien fiscellé. Le méchant est géniale car il y a une surprise surprenante à 2coups. Le tout est servi avec Benedict Cumberbatch et ça change tout tellement il est fort. Inscrit dans Star Trek cela colle parfaitement à l'univers
Ce film m'est resté en travers de la gorge ! Découvrant Star Trek avec la suite de film de J.J Abrams, ce second film la déçu. Bon, la première partie du film est très bien réalisé et la mise en scène est aux petits oignons. Le méchant est super bien introduit, comme tout les personnages déjà présent dans le film précédent. MAIS... À partir de la deuxième moitié du film, tout part en vrille. Plus le temps passe et plus le scénario devient bateau et se devine à l'avance ! Et pourtant, en général je n'accorde pas beaucoup d'importance au scénario. Mais là le reste n'est pas mieux. Le thème musical de nos héros est redondant et ça le rend vraiment très fade. Côté éclairage il y a toujours ces reflets des rayons du soleil qui passe par les hublots dans le cadre. Et j'aime ça ! Mais pas sur une planète !!! C'est complètement absurde ! Mais pas plus absurde que la sortie dans l'espace de James et Khan où Abrams nous lance dans une ambiance sonore réaliste, donc aucun bruit, le silence, le néant ET un plan plus tard vla le son du vent et de leur propulseurs venir casser l'immersion. Déjà que les scènes d'actions ne sont pas intéressantes. Le léger "happy end" ne me plaît pas. Enfin surtout les dialogues nian nian entre les membres de l'équipage. Globalement on ne sait pas trop si les personnages ont évolués ou non (Pour Spocke c'est bien fait). Ce film conviendra certainement aux fans de la saga mais pour moi c'est une grande déception...
Comme d'habitude pour la plupart des blockbusters SF le cahier des charges est rempli. Il y a de l'action - beaucoup -, les effets spéciaux sont magnifiques (dommage qu'on ne se promène pas plus dans ces villes futuristes), mais - comme très souvent - le scénario et les personnages laissent vraiment à désirer. Ici c'est un véritable point noir : on a véritablement du mal à comprendre les motivations des personnages et les solutions mises en œuvre pour les atteindre frisent l'incohérence et le ridicule.
Le meilleur épisode depuis le retour de la saga au cinéma depuis 2009, voir le meilleur depuis 1979. C'est superbement mis en scène, les scènes d'action sont grandioses et les acteurs bien dirigés. Le scénario est bien écrit avec un vrai sens du suspens et bon travail sur le traitement des personnages. La direction artistique est très soignée. Un très bon film de SF.
Sur le coup ayant été fan de Star Trek j'avais adoré... Maintenant je ne sais pas. Ce n'est pas le genre de film qui nous fait cultiver car il est loin d'être culte comme tous les autres films de Star Trek donc il est dispensable d'aller le voir. Il ne s'agit qu'un reboot des films anciens avec un Kirk et un Spock tous deux méconnaissables comme le reste de l'équipage de l'Entreprise. Contrairement aux anciens Star Trek il y a plus d'action et c'est moderne donc un peu plus visé aux jeunes d'aujourd'hui. Il paraît que John Harrison (Khan) n'est pas vraiment une version du Khan du deuxième film mais un autre ennemi d'après une source. Pour moi c'est une mauvaise idée. Méconnu du grand public je ne regarderais plus un seul Star Trek !!!
Aucun souvenir de ce film vu au cinéma ne me viens à l’esprit, en cause, chaque séquence des caméras d’angle dans la mise en scène est banale, ne révélant rien de marquante. La mémoire s’efface tellement que l’intrigue est profondément ennuyeuse, mis à part les bruits de vaisseau qui fait sursauter, très sonoriser comme film d’action, de science-fiction. La bande au capitaine Kirk, un tragédien qui s’enlise dans le jeu larmoyant pour passer tout de suite revigoré miraculeusement par la potion rouge magique, que c’est mauvais, l’air de déjà-vu du confinement carcéral se clôture. Une série TV originale réalisé par une personnalité du même milieu ne me surprend guère pour son manque de punch et de novation. Une réalisation bien formatée, verrouillée à clé double tour, élevée au rend de blockbuster spectacle populaire, le design kitch de l’univers, une carte postale de l’espace-temps pour la route de l’horizon du trou de ver.
On ergotera sans doute longtemps (d'autres que moi le font) sur le respect plus ou moins grand de l'univers Star Trek par JJ Abrams et ses acolytes. Force est de constater que ce deuxième volet, s'il n'est pas spécialement révolutionnaire dans sa démarche, est un spectacle de haute volée, aux effets spéciaux fluides et limpides, et avec un casting toujours aussi cohérent. Le récit paraît mieux équilibré que le premier et, s'il n'y a guère de surprises côté scénario, la maestria technique rattrape les imperfections et permet au spectateur de passer un bon moment. Le film pèche surtout dans ses tentatives d'introduire des notes d'humour qui, malheureusement, sonnent trop artificiel. On en prend plein les mirettes en tout cas, et ça reste du bel ouvrage, pas aussi mémorable que d'autres mais qui joue son rôle de film intermédiaire ouvrant le champ des possibles pour la suite de la saga.
Ce deuxième Star Trek de J.J Abrams est construit sur un scénario original prenant, qui refuse la redite. Surtout, il jouit d'une réalisation absolument virtuose qui plonge au coeur de l'action, trépidante. Comme dans tout Star Trek, les gentils et les vilains le sont vraiment et on a le plaisir de s'attacher à de vrais héros et de trembler devant un méchant absolu.
septiemeartetdemi.com - J.J. Abrams a vraiment un truc pour la SF. S'il continue comme ça, il pourrait très bien s'octroyer une place parmi les plus grands réalisateurs du genre. Ses univers sont trépidants, et palpitants dans tous les sens du terme. Il est un homme d'ambiance, qu'il sait super bien constituer à partir de détails ; un blob tentaculeux sur une branche d'arbre, des glaçons ronds, la gestion militaire centrée sur la hiérarchie, si typique de la franchise, qui donne lieu à de si beaux arguments, bien rédigés et parfois vraiment drôles... Autant de petits délires qui semblent courir dans les veines des fans de la première heure de Star Wars sans qu'ils aient semblé si prégnants jusqu'ici dans les œuvres de SF.
Les personnages sont toujours aussi forts. En ça, ils ont l'avantage des racines de Star Trek qui remontent elles aussi très loin dans le terreau science-fictionnel, mais il n'y a vraiment rien à dire sur la direction des acteurs. Le génie de cette franchise tient en ce qu'elle définit ses propres frontières pour le jeu de ses comédiens, ce qui lui offre une sorti de garantie « anti surjeu » même si cela n'empêche pas Zoe Saldaña de se démarquer, voire d'éclipser le reste de la troupe par moments (Zachary Quinto s'en sort bien aussi pour selon qu'il est coincé dans le carcan émotionnel de Spock gradué de « 0 » à « Keanu Reeves »).
Le style est quasiment réformateur, sauf pour les ficelles utilisées ; au global, le schéma est le même, et le scénario fait cette fois appel au coup déplaisant d'une confrontation initiale qu'il va falloir dénouer. C'est un peu trop démodé pour jouer au jeu révolutionnaire, mais c'est sans gravité (artificielle). De la bonne SF.