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yeuce
30 abonnés
913 critiques
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2,0
Publiée le 8 juin 2010
film psychologique avec le jeu d'echec en toile de fond, bien morbide pour la dernière partie mais ce putain d'accent quebecois c'est difficile pour nous français
Un thriller psychologique intense, qui nous emmène loin dans les méandres de la folie… L’histoire est inimaginable, voir inconcevable. On est attiré par le côté obscure des personnages, qui sont joués à merveille par ces acteurs québécois : Marc-André Grondin, Normand d'Amour, Sonia Vachon… On stress, on angoisse mais on rit aussi, devant le décalage entre la réalité et la morale de Jacques Beaulieu… Bref un film A VOIR ABSOLUMENT, qui vous transportera au-delà de tout ce que vous pouviez imaginer, tabarnak !!!
L'excellente surprise de Gérardmer de cette année ! On connaissait le travail soigné des réalisateurs québécois, notamment pour les comédies et leur travail sur les dialogues. Là il s'agit d'un film d'horreur (mais drôle) formidablement bien réalisé : les personnages sont cuisinés aux petits oignons, caustiques, crédibles voire même touchants. L'histoire est prenante, originale et vraiment bien pensée. Bref, une très bonne comédie horrifique crédible !
Eric Tessier adapte le roman de Patrick Senécal et en restitue une oeuvre oscillant entre le thriller et le fantastique. Si dans un premier temps, le film nous fait penser à Mum & Dad (2009), l'oeuvre de Eric Tessier change radicalement en court de route, privilégiant les scènes à répétition et sans grand intérêt, ajoutez à cela, des séquences non pas oniriques mais fantastiques, peu réussies. La présence de Marc-André Grondin dans le rôle titre ne sauve pas les meubles, plus habitués aux comédies ou drames familiaux, le retrouver ici dans la peau d'un jeune adulte séquestré par un psychopathe, il peine à être crédible. 5150, Rue des Ormes (2009) est un drame pseudo horrifique, divertissant mais sans réel intérêt majeur, puisque ce dernier ne révolutionne pas le genre.