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Caroline M
29 abonnés
152 critiques
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4,0
Publiée le 11 juin 2023
Génial. Enfin un film qui parle des troubles de l’humeur sans tomber dans le pathos ou la surenchère. De Niro et Cooper jouent des rôles à contremploi qui leurs vont hyper bien.
Je n'aurais jamais pensé noter ce genre de film, et en particulier aussi haut. En effet, cette comédie romantique est très plaisante, pleine d'émotion, et de sentiment. Nous nous laissons facilement emporter par les histoires et des personnages si atypiques qu'ils en deviennent resplendissant. Le tout est parfois niais, rageant mais surtout pénétrant. Bref, une très belle surprise avec des jeux d'acteurs efficace.
J'ai vite décroché, ça crie, ça s'engueule tout le long du film, de la musique qui casse les oreilles, une histoire qui n'a ni queue ni tête bref, encore un beau navet à l'américaine.
Happiness therapy sorti en 2012 est un film d’amour avec en tête Bradley Cooper, De Niro et surtout Jennifer Lawrence qui finira par remporter l’oscar de la meilleure actrice pour ce film.
C’est un film qui rend heureux, une belle petite histoire entre deux personnages qui se complètent à merveille. Effectivement, Lawrence joue très bien, on ressent cet amour qu’elle a pour Bradley Cooper. En comparaison, on ne ressent de la part de Cooper.
C’est vraiment un bon film mais le véritable problème c’est que l’on a l’impression que cet amour est unilatéral. Le final arrive un peu comme un cheveux sur la soupe. Cela reste un bon film.
Que dire sur ce film si ce n'est que ce n'est absolument pas une comédie ! Ça serait plutôt une tranche de vie dramatique sur l'égarement provisoire de deux paumés : un bipolaire et une veuve. Malgré tout on arrive à rentrer dans l'histoire et les seconds rôles sont fort sympathique : le psy Patel, le pote Tucker, le père, la mère et le frère .. Mais c'est vrai qu'on reste un peu sur notre faim par rapport au contenu du film .. on est plutôt sur une trame psychologique dans laquelle on explore la sensibilité des deux protagonistes tout en réalisant que l'entourage des malades est tout aussi barré avec leurs Toc et leurs petites manies construites au fil des traumatismes qu'ils ont eux aussi traversé dans leur vie. Il en ressort un bon traitement du sujet sur les maladies mentale avec un Cooper au poil .. et Lawrence qui joue une veuve nympho est absolument mystérieuse et délicieuse à regarder ^^ Le bon point c'est qu'on ressent vraiment la bonne entente entre les acteurs et la bonne humeur dans lequel ce film à été tourné :)
Ce film n'est qu'une succession de niaiseries et de bons sentiments bien américains, plus cliché tu meurs. Le scénario n'a rien d'original, quelques gags lourdaud parsèment l'ensemble. De Niro, pourtant présent, a l'air de n'être là que dans un but purement alimentaire. C'est bien dommage sachant à quel point l'acteur enchaînait les chefs d'oeuvre les uns après les autres dans un passé pas si lointain, les divorces coûtent cher...
Très bon moment en compagnie de très bons acteurs qui apportent énormément au film. Certes l'histoire est un peu cousue de fil blanc mais ça se laisse regarder avec beaucoup de plaisir.
Un chef d'oeuvre. Un film qui te scotch depuis le début jusqu'a la fin. une très bon casting ... un Robert de Niro comme d'habitude excellent, Jennifer Lawrence qui était sublime et Bradley a qui le rôle va comme un gant. La fin était prévisible mais ça reste de l'excellent art.
Avec Happiness Therapy, David O. Russel nous offre une jolie comédie dramatique. L'histoire nous fait suivre le destin de Pat, un homme sortant tout juste de huit mois passés en hôpital psychiatrique et qui va tenter de reconquérir sa femme qui est la raison de son internement. Ce récit traite de la santé mentale avec justesse à travers des personnages touchants et attachants interprétés par un joli casting. Bradley Cooper incarne un homme fragile avec un côté presque adolescent par moment dans son comportement du à ses troubles. Il pique des crises le rendant agressif qu'il essaie de contrôler. Lucide sur son état il tente de chasser ses démons en positivant malgré les obstacles. Son entourage tente de prendre soin de lui qui est sans filtre dans ses propos, très spontané il pense à voix haute, pouvant ainsi blesser et heurter ceux qui l'aime. Jennifer Lawrence elle interprète Tiffany une jeune veuve séduisante ayant offert son corps à beaucoup de monde pour soigner son désespoir et qui va tomber amoureuse de lui. Ces deux personnages au cœur de cette romance sont entourés par une famille et des amis bienveillants. Robert De Niro joue le rôle du père, à la fois superstitieux et accro aux paris sportifs il aime son fils mais s'en sert un peu comme d'un grigri. Jacki Weaver pour sa part est une maman plus en retrait, forcément son mari prend beaucoup de place vu l'acteur. Chris Tucker trouve lui un rôle particulièrement appréciable, celui de l'ami gentil et drôle qui met du baume au cœur. Même l'agent de police interprété par Dash Mihok à son importance. Les relations entre ces différents protagonistes sont d'une belle sincérité, mêlant les émotions notamment grâce à des dialogues d'une grande authenticité. L'alchimie entre Lawrence et Cooper est belle et le triangle amoureux avec cette Nikki dont en entend régulièrement le nom mais qu'on aperçoit très peu amène certains doutes. Si dans le fond cette histoire est une réussite c'est au niveau de la forme qu'apparaissent quelques défauts. La réalisation est assez classique bien que qualitative mais manque de personnalité. De plus les couleurs sont assez fades dû aux environnements de ce Philadelphie bien terne. Les scènes sur les routes vides sont un peu étranges. Malgré ces critiques, le film reste joli à voir visuellement mais il manque de ce truc en plus afin de le faire basculer dans l'excellence même si ce décor est en adéquation avec son sujet. La b.o. pour sa part se veut très douce dans la première partie avant d'être plus entrainante par la suite perdant un peu en qualité au passage. Cependant elle colle parfaitement aux différentes séquences. Reste une fin plutôt attendue mais satisfaisante qui vient conclure Happiness Therapy, qui s'avère être un beau film méritant d'être vu.
On a là tous les ingrédients habituels de la comédie romantique, avec deux personnes qui au début ne s'apprécient pas vraiment mais qui vont finir par s'apprécier et se rendre compte que sous leurs chamailleries se cache un amour profond et sincère. On a le canevas habituel, avec la rencontre de deux personnes très belles et charismatiques, diverses péripéties, une crise qui semble tout remettre en question et une fin cousue de fil blanc. Les bons sentiments sont à l'honneur. J'aime bien ce genre de film, y compris le scénario archi prévisible, en raison de la morale, très positive, qui s'en dégage. Ici, on a une originalité, les deux protagonistes souffrent de bipolarité (en tout cas au moins pour l'homme; pour la femme je n'ai pas très bien compris). La maladie est bien mise en scène, avec la prise de médicaments (avec l'observance parfois aléatoire), les séances de psychothérapie, les troubles du comportement etc...La relation entre ces deux personnes semble être une part de la thérapie; en tout cas elle finit par faire se sentir mieux les deux protagonistes. Donc au final on a un film très bien, très intéressant, même si parfois les comportements des personnages sont un peu bizarres, avec une excentricité que je trouve parfois excessive (mais c'est voulu...).
Remarquable jeu d'acteur de Bradley Cooper (Pat) qui fait évoluer son personnage de la quasi folie à la normalité. Animé par une quête vaine de reconstruction de son mariage, Pat fait tout pour se battre contre sa bipolarité. Certes il est malade et pourtant il se méfie des médicaments qu'on lui impose de prendre. Le duo qu'il forme avec Tiffany (Jennifer Lawrence), est bringuebalant au départ, puis trouve son équilibre. Leurs familles respectives montrent une Amérique moyenne passionnée de football américain et bien déjantée. Robert de Niro est excellent dans son rôle secondaire de père du héros. Au-delà de la maladie, le film montre ainsi une société américaine de base, loin du rêve. On découvre aussi au passage les origines de l'expression OK, initiales de Old Kinderhook, surnom de Martin Van Buren, huitième président des États-Unis. La mise en scène illustre l'évolution du personnage principal, chaotique voire hachée au début, puis de plus en plus stable, jusqu'à une scène de concours de danse qui a du demander un travail considérable aux héros. À voir pour découvrir d'autres thérapies que celles des substances chimiques.
J'ai rarement autant eu l'impression de perdre mon temps devant un film. 2h de cacophonie où tout le monde hurle en même temps sur fond de comédie romantique (qui n'a pas grand chose de comique) inintéressante entre deux cinglés. Insupportable.