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sophie p.
2 abonnés
46 critiques
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2,0
Publiée le 4 avril 2013
Beaucoup de bruit pour rien ... Je ne comprends pas le succès de ce film : des images triste, une histoire lente, il ne se passe rien, on attend, on attend ... pour une chute qui n'a rien d'exceptionnel, sinon prévu d'avance ! On attend la fin avec impatience
Happiness Therapy : Une comédie romantique/dramatique vraiment agréable et plaisante a regardé. On passe un très bon moment sur ce film qui donne le sourire grâce à ces personnages originaux et haut en couleur. Ce film est un bonne bouché d’air frai car le thème du film est pas souvent exploité ou sinon, il n’est pas aussi bien maitrisé. Alors que dans ce film, il arrive a mélangé humour et drame avec parcimonie et talent. Déjà, un des bon point du film, c’est son histoire tendre remplit de positif et ces personnages qui sont attachants et très amusantes a suivre. Car, c’est Pat Solatano qui est un peu dépressif et négatif et qui après une thérapie dans un hôpital psychiatrie va essayer de se reconstruire et de reconquérir son ex-femme. Mais ça va pas être facile vu son état et il va aussi faire la connaissance de Tiffany qui un peu comme lui et qui va essayer de l’aide à reconquérir sa femme en échange de l’aider pour un concours de danse. Donc voila, une belle histoire qui se forme remplit d’émotion (assez touchant des fois), riche aussi en humour et en romantisme. Car, il y a une belle histoire d’amour qui se forme entre les deux personnages mais assez complexe vu leur état et c’est assez intéressant de voir ça d’ailleurs. Donc voila, un bon scénario bien travaillé et bien écrit sur son histoire et ces personnages (leur psychologie) et c’est aussi un film riche en émotion, humour et optimiste. Et l’émotion est du a l’histoire et ces personnages mais aussi grâce aux acteurs qui sont vraiment talentueux et juste dans leur interprétation. Ils n’en vont pas des tonnes car ils sont très convaincants et donc très crédible. Bravo au magnifique duo : Bradley Cooper/Jennifer Lawrence qui sont très attachants et plaisant à voir a l’écran. Vraiment, leur interprétation est sublime. Mention aussi à Robert De Niro qui est comme a son habitude formidable ainsi qu’a Chris Tucker qui a le droit a un super rôle pour lui. Ensuite, les musiques sont vraiment super : c’est du Danny Elfman donc c’est du lourd. Et pour finir, la réalisation est très convaincante et la mise en scène est superbe signé David O. Russell qui a quand même fait : Fighter ou encore Les Rois du désert donc ce n’est pas rien (et deux excellents film au passage que je vous conseille). Voila, un film qui traite à merveille certains trouble de la personnalité mais on a le droit aussi a une belle histoire d’amour riche en émotion et humour avec une belle morale a la fin. Donc voila, un film que je vous conseille car c’est que du bon et on en ressort avec la banane.
Deux heures d'un psychodrame à la petite semaine avec la psychanalyse de comptoir qui va avec, les clichés habituels sur les doux dingues (mais sans Rain man), la happy end éculée et tout le saint-frusquin qui l'accompagne : quelle purge ! le meilleur moment à dire vrai, c'est lorsqu'on voit (enfin !) le générique de fin défiler ! je crois que Christophe Colomb a dû éprouver la même sensation en 1492 lorsqu'il a touché (finalement) terre.
Mais ce n'est pas tout ! à cette indigente et consternante indigence, il faut surajouter les comédiens qui surjouent en permanence, y compris De Niro toujours bloqué dans son rôle de Mon beau-père et moi (où est Ben Stiller ?) et à cet égard supporter les deux tanches Cooper et Lawrence, l'un renforçant la nullité de l'une et l'une faisant ressortir encore davantage la surnullité de l'autre, chacun cherchant à se surpasser dans cette course vers les tréfonds du néant audiovisuel.
La thérapie du bonheur, elle est simple en fait : d'abord éviter les deux tanches qu'on rejette à l'eau illico, puis éviter les films d'un certain David O'Russell, pitoyable branquignol de bas étage.
Après son retour en grâce avec "The fighter", D. O'Russel se replace sur la carte d'Hollywood et recommence à faire parler de lui pour la qualité de son cinéma. Le film est une comédie romantique que l'on pourrait qualifier de base en ce qui concerne le schéma mais de par son thème et sa mise en scène, il s'en démarque de manière bluffante. Bien sûr, sa direction d'acteurs est une petite merveille et il offre au casting principal des rôles en or qu'il met en valeur à travers ses situations et le rythme de son montage, la bonne surprise étant de se souvenir que R. De Niro est quand même un acteur de génie, que B. Cooper est excellent et que J. Lawrence est LA nouvelle actrice en vogue, osant tout et évoluant en permanence sur le fil. L'histoire aussi est assez géniale, dénonçant notre société prête à condamner et à juger sans jamais chercher à s'intéresser aux raisons de ce qu'ils considèrent comme anormal. Mais au fond, qu'est ce qui est normal ? Le film ne répond pas à la question mais il remet en cause l'existence d'une norme globale. Le bonheur surgit de l’inattendu et le propos général nous pousse à nous remettre en question. La mise en scène est loin d'être illustrative également. Simple au 1er abord, cette dernière est surtout extraordinairement propre et le montage est d'une fluidité incroyable, sans parler de ses cadrages, toujours justes. Si c'était aussi facile, tout le monde le ferait et c'est loin d'être le cas. Pas de pathos, pas de jugement, pas de réponses toutes faites juste une leçon toute en douceur. D'autres films sur
Feel-good movie au fort capital corrosif,"Happiness Therapy" dégage un charme,une aisance et une énergie folle,qui le rendent incroyablement l,comme à son habitude,dynamite la cellule familiale de base,tout en resserrant les liens de chacun.L'écriture est d'une précision diabolique,permettant d'apprécier à leur juste valeur des dialogues bien envoyés et spontané qui séduit chez ces personnages borderline,c'est leur capacité à parler avec une totale sont en marge des règles sociales,et c'est tant y Cooper,dans son meilleur rôle à ce jour,incarne un bipolaire imprévisible,qui tente de positiver jusqu'à l' y est inquiétant,attachant,borné. Jennifer Lawrence lui donne la réplique en veuve nymphomane,adepte de y déborde de sensualité,d'espièglerie,et de caractè craque litté duo déglingué,qui flirte avec l'auto-destruction par entêtement,finira par construire une alchimie que seules les âmes soeurs peuvent De Niro rayonne de nouveau,en père bourré de tocs et de Weaver est une mère aimante et dévouél réussit à être à la fois cinglant et tendre,acide et désarmant.C'est la comédie dramatique dans toute sa splendeur,celle où l'on se retrouve,celle que l'on fantasme,celle que l'on savoure quelque part entre un rire amusé et le coeur battant sur la poitrine.J'ai succombé.
Ce qui est bien c'est que dès qu'un type est caractériel dans le milieu du cinéma, on le taxe immédiatement de génie. C'est le cas bien évidemment pour David O. Russell, mais un peu de lucidité remet les pieds sur terre et fait voir que s'il est un réalisateur correct mais sans originalité et sans réelle maîtrise au plan de la mise en scène, il s'efface derrière ses acteurs. Mais en parlant de ces derniers justement, chez le cinéaste on a vu beaucoup mieux ; si Bradley Cooper arrive à être toujours dans le ton juste, à propos de la bizarrement oscarisée pour l'occasion Jennifer Lawrence si elle parvient parfois à être convaincante elle cabotine tout de même souvent. Pour l'histoire, le début est original mais on vire très vite dans la convention. Et puis, la deuxième heure (surtout dans sa première moitié !!!) est franchement bavarde et traîne en longueur. Conclusion, j'avoue ne pas comprendre les critiques dithyrambiques pour ce film qui fonctionne par instant mais qui est quelques fois trop long, quelques fois trop confus et qui en toute franchise ne casserait pas trois pattes à un canard.
Il n'y a qu'une seule bonne raison d'aller voir ce film : l'envie impérieuse de connaître la recette du navet à la sauce US. Pour vous éviter 2 heures d'ennui assez profond, je vais vous la détailler. Pour commencer, vous prenez un sujet que l'on peut qualifier de fort : ici, ce sont les troubles causés par la bipolarité. Vous poursuivez en salopant le traitement de ce sujet et vous le noyez sous un flot épuisant de paroles prononcées si possible avec véhémence; vous venez petit à petit y greffer une histoire totalement farfelue de paris sur des matchs de football américain, vous enchainez avec des scènes vues 10 000 fois de concours (ici, c'est de la danse en couple) auxquels les héros participent sans aucune chance de succès mais, bien sûr ..., et vous concluez par le happy-end classique des comédies américaines. Pour enrober le tout, vous étalez une bonne couche de BO la plus consensuelle possible avec, à la fois, Bob Dylan, Johnny Cash et Johnny Mathis, Dave Brubeck et The White Stripes, Led Zeppelin et Stevie Wonder. Quand on pense à tous les défauts que certains trouvent systématiquement dans les films français, cela permet de constater avec un brin de perversité gourmande que, de l'autre côté de l'Atlantique, un aussi mauvais film arrive à bien se placer dans la course aux Oscars.
Après le musclé mais très bon "Fighter" David O.Russell nous offre un peu de douceur avec une comédie sentimentale... Sur laquelle le buzz et les excellentes critiques presse fusent ; il semble que de faire tomber amoureux deux personnages instables psychologiquement soit une chose originale... Non ! On a déjà vu mais la force du film repose tout de même sur la manière dont est approfondie la névrose. Les personnages sont particulièrement bien écrits et, surtout bien interprétés. Avouons le tout de suite aucun suspense, l'amour frappera comme il est tant attendu. Le scénario est scindé en deux. La première partie est assez folle, les personnages sont aussi attachants qu'agaçants (et pas que les deux malades !), une certaine ébullition de bonne humeur même dans les délires plus ou moins violents. Par contre dès que le cours de danse commence le pur genre romantique prend le dessus sur la comédie décalée sur fond de névrose, plus de surprise juste un film assez basique bien que bien fait. La vraie bonne surprise reste les interprètes. Outre Chris Tucker en survivant de Hollywood (has been depuis "Rush Hour 3") et De Niro qui a rarement été aussi touchant, c'est bien le couple Jennifer Lawrence-Bradley Cooper qui nous épate. Bradley Cooper trouve là son meilleur rôle, celui qui consolide son statut tandis que Jennifer Lawrence assure dans son premier rôle de femme. Certainement pas le grand film qu'on veut nous vendre mais assurément une comédie au-dessus de la moyenne avec de vrais bons moments.
Happiness therapy est comme son héros, un film bipolaire, à la fois drame poignant sur la folie et les conséquences sur l'environnement familial et comédie ! Réunir ces 2 aspects n'est pas chose aisée mais le réalisateur David O Russel a un véritable talent pour capter les émotions dans ses acteurs, cela rend le film bouleversant et nous touche profondément. On s'attache très rapidement au personnage interprété par Bradley Cooper, l'empathie nous envahie lors de ses crises et le film décolle véritablement quand il rencontre Jennifer Lawrence, elle devient sa bouée de sauvetage, à lui mais à nous également, leur rencontre est magique et loufoque, ils forment un couple à la fois parfait et impensable, une dualité encore une fois présente dans leur relation et dans leurs esprits. Hapinesse therapy devient alors une comédie par l'absurdité de la plupart des dialogues avant de devenir petit à petit une belle sinon la plus belle histoire d'amour du cinéma ! Un beau couple de fous mais attachant s'offre à nous et permettent à leurs interprètes de montrer leurs qualités d'acteurs et notamment à Jennifer Lawrence de gagner un oscar !
C'est avec un a priori positif que je me suis rendu vers cet "Happiness Therapy" tant j'en avais entendu des bons échos. Est-ce pour cela que j'ai été aussi dubitatif au début ? Le pire, c'est que je n'ai même pas l'impression. Il y a quelque-chose d'hésitant dans la manière qu'a O'Russell de mener son truc : c'est drôle sans l'être, la caméra se veut d'abord très « festival de Sundance » pour finalement revirer très classiquement, quant à la tonalité du film elle vacille de la même manière. Mais bon, au final, ce film tranche en fin de compte pour quelque chose de plus classique et de plus convenu. Certains seront sûrement déçus de ce virage opéré, mais en définitive c'est finalement ça qui m'a fait pencher en faveur de cet "Happiness Therapy". O’Russel semblait manipuler un truc dont il ne savait pas trop quoi faire et il a préféré finir sur un truc moins brouillon mais plus doux. Ce qui est bizarre, c'est qu'à bien y réfléchir, la mayonnaise a pris de mon côté, mais sans vraiment savoir ni comment ni pourquoi. Ce film n'a rien vraiment d'exceptionnel à mes yeux, je n'en suis pas ressorti transcendé, mais il a su se montrer suffisamment sympathique pour me séduire. Indéniablement, le duo d'acteurs Cooper/Lawrence n'y a pas été pour rien (auquel j'ajouterai aisément mon Bobinou De Niro adoré). Pas extraordinaire donc, mais plaisant malgré tout, et c'est déjà pas si mal...
Les comédies romantiques américaines sont souvent très, très stéréotypées avec des trentenaires bobos qui vivent à New-York ou L.A., ont un boulot de rêve et dont le seul problème est de ne pas avoir rencontré le prince (ou la princesse) charmant et qui dans des péripéties à l’eau-de-rose et cousues de fils blancs vont finir par trouver la perle rare. “Happiness therapy” est au fond également une comédie romantique, mais ici les personnages et le milieu dans lequel ils vivent correspondent plus à l’Amérique profonde de la classe moyenne dans une ville (Philadelphie) beaucoup moins glamour que les capitales de la coolitude de la côte Ouest ou de la côte Est. De plus nos deux célibataires sont pas mal amochés : ils sortent tous deux d’un profond épisode dépressif et sont revenus vivre chez leurs parents qui, inquiets, les fliquent en permanence. Lui sort d’un hôpital psychiatrique après avoir quasiment tué l’amant de sa femme et se retrouve diagnostiqué bipolaire. Elle, anéantie suite à la mort de son mari policier, a des rapports sexuels sans lendemain avec tout un tas d’hommes. Du coup on entre dans ce film avec des personnages profondément atteints, mais au fond ô combien plus sympathiques et plus réalistes que ces bobos trentenaires sortis de magasine féminin aux problématiques personnelles aussi superficielles qu’irréalistes. Le film qui mise beaucoup sur les dialogues, bénéficie il faut le dire d’une interprétation très investie de la part de son couple vedette avec un Bradley Cooper qui a 38 ans (à l’époque) émerge enfin des seconds rôles et une Jennifer Lawrence dont la précocité du talent, elle n’avait que 22 ans au moment du tournage, ne cesse d’étonner (surtout si on fait la comparaison avec son interlocuteur masculin). Bref une comédie romantique aux personnages foutraques, mais paradoxalement plus crédibles que ceux qui nous sont habituellement proposés par le genre, dans des situations foutraques qui offrent un long-métrage qui sort des sentier battus et nous offre un moment délicieusement drôle et romantique. Mon Dieu ! On a enfin une véritable comédie (c’est effectivement drôle) romantique (l’histoire d’amour émeu réellement)! À ne pas manquer.
mon Dieu, c'est d'un niais ! et bruyant, volubile, fatigant...et cousu de fil blanc avec ça....ça se veut tellement original que ça tombe dans tous les clichés possibles. bref, c'est long, limite gnangnan, et à titre personne, je me suis terriblement ennuyé...
Tous les personnages de ce film sont des névrosés compulsifs, tics, tocs et j'en passe. Toute cette histoire prévisible et téléphonée aurait pu se boucler en 1h30. Bref, un film long et prévisible.
j'ai été déçu du film certes porté par deux acteurs attachants. Mais le film ne decolle pas avec des personnages secondaires inutiles. Quand le fim enfin se concentre sur le duo et la romance ( la derniere demie-heure au bal) il prend enfin de l'ampleur, tardivement...
Une comédie agréable, porté par un casting ou chacun est parfait. Bien que le scenario soit quelques peu cliché, la façon d’aborder les thèmes ne l’est pas, plutôt réaliste, touchant.