AlloCiné
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Votre avis sur The September Issue ?
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Une petite déception. Je me suis un peu ennuyée. Je le trouve un peu bâclé. Sans but précis.
Un excellent reportage sur cette légende vivante de la mode.
Un documentaire interessant, plus sur le journalisme d'ailleurs que sur la mode. Certes, un journalisme bien particulier, mais le travaille des photographes et des responsables techniques est superbement décortiqué. De très belles images de Paris ajoutent un charme certain à l'ensemble...
Le monde de la mode sous toutes ses coutures: on constate bien entendu l'immense et grotesque importance des capitaux et la reduction d'un domaine privé confondu avec ses financiers au detriment des vrais artistes.
J'ai bien aimé ce reportage sur Anna Wintour et ses collègues de travail. On se rend vraiment compte de son pouvoir et son influence sur dans la mode. Elle n'est pas commode mais elle fait juste son travail. On rentre très rapidement dans sa vie de famille. Pour les passionnés de mode, foncer le voir!
Un documentaire ma foi fort intéressant. J'y allais par simple curiosité, j'ai été très agréablement surprise. On évite les clichés (mais on en a un peu quand même) de la trop méchante rédactrice en chef, des penchants un peu trop mélos par moments (les employés déçus), mais le tout est très bien ficelé et on se prend agréablement au jeu. Un bonheur pour les yeux.
Intéressant, mais le problème du film est qu'il reste, malgré tout, à la gloire d'Anna Wintour - sans quoi elle n'aurait sans doute pas joué le jeu. Du coup les tentatives de la rendre émouvante sont bien crispantes...
Un documentaire très intéressant, après "The Devil Wears Prada" sans les beaux plans et jeux d'acteurs, on voit la véritable Anna Wintour.
Document assez intéressant sur les coulisses de la direction et de la fabrication du célèbre magazine Vogue et la curiosité est renforcée par le fait de pouvoir voir qui est la vraie patronne de mode qui est interprétée par Meryl Streep dans "Le Diable s'habille en Prada".
Marrant, ils ont égaré une bobine d'un reportage de Fashion TV dans la salle de ciné où j'étais hier soir. Ce documentaire, dénué de toute volonté réelle d'investigation ou de journalisme, montrait le combat pathétique entre deux mégères acariâtres qui sont jamais d'accord sur rien. Si l'idée était de montrer ce qu'était la fabrication d'un magazine de mode, le total béotien que je suis doit confesser n'avoir absolument rien appris à ce sujet. Nulle pédagogie, nulle intelligence n'émane de la caméra qui se trouve plantée bêtement dans les couloirs de Vogue ou dans des endroits "glamour" (au hasard, au pied de la Tour Eiffel, très fin et original...) en tentant de capter les vacheries et les frustrations des uns et des autres. Franchement, voir la mesquinerie du monde du travail sur un grand écran, ça n'a strictement aucun intérêt. Ici, ça sert juste à mettre en valeur des gens qui ne méritent pas vraiment tant d'attention, à flatter leur ego déjà surdimensionné ; une galerie de personnages tous aussi antipathiques et misérables les uns que les autres. Et, soit dit en passant, la fameuse Anna Wintour montre une incompétence rare à son travail, étant dénuée de tout esprit de création, simplement tournée vers sa mission de destruction et de censure castratrice pour ses collaborateurs. La seule once d'esprit dans ce tourbillon de vanité narcissique et futile vient de sa propre fille, qui confesse que ce monde de la mode lui paraît complètement étrange. Et l'effet pervers de ce reportage raté est de justement n'apporter qu'une pierre de plus à l'édifice de ceux qui se moquent de cette industrie et qui la trouvent très bizarre.
Un des documentaires les plus aboutis jamais réalisés. Ce que l'on découvre pendant 1h30 est tout simplement stupéfiant et difficile à expliquer. Prenez le film Le diable s'habille en Prada et éliminé tous les artifices obligatoires pour la réussite d'un tel film (beaux plans, jeux d'acteurs, humour exagérer et surtout besoin de faire une morale avec évolution des personnages ...) est vous vous rapprocherez de The September Issue. Ajoutez-y la qualité de réalisation et surtout de montage de Michael Moore (je ne parle pas du fond, attention!). Un montage non truqué (rare à mon goût) où les émotions faciales des réactionnaires sont présentes, des silences non coupés...
R. J. Cutler, parvient à retranscrire parfaitement cette ralité méconnu, on pourrait même dire ces réalités. On découvre derrière l'univers parfois un peu Jet Set ou Bling Bling (univers que l'on perçoit aussi), la vraie personnalité de tous les artisants de cette mode , qui essaye de faire un travail qui ne doit pas leur plaire mais plaire à Anna Wintour. On se rend compte, ainsi, de toute la magnificience de la redactrice de VOGUE. Le fait que sont avis, ses décisions, ses goûts supléent à tous les autres, mêmes réunis. Bien qu'on puisse le voir, l'incompréhension autour de l'équipe proches est parfois très net.
La plus grande réusite de ce film est...
La suite d ela critique sur
http://kevinnicolas.blogs.allocine.fr
R. J. Cutler, parvient à retranscrire parfaitement cette ralité méconnu, on pourrait même dire ces réalités. On découvre derrière l'univers parfois un peu Jet Set ou Bling Bling (univers que l'on perçoit aussi), la vraie personnalité de tous les artisants de cette mode , qui essaye de faire un travail qui ne doit pas leur plaire mais plaire à Anna Wintour. On se rend compte, ainsi, de toute la magnificience de la redactrice de VOGUE. Le fait que sont avis, ses décisions, ses goûts supléent à tous les autres, mêmes réunis. Bien qu'on puisse le voir, l'incompréhension autour de l'équipe proches est parfois très net.
La plus grande réusite de ce film est...
La suite d ela critique sur
http://kevinnicolas.blogs.allocine.fr
Un portrait humain de la Papesse de la mode .
tifdel13
Anna Wintour est surtout devenu connu du grand public à l'occasion de la sortie du livre "Le diable s'habille en Prada" très vite suivi de son adaptation cinématographique. Censés rendre compte de la personnalité de la rédactrice, le roman comme le film sont enfin compte bien au dessus de la réalité. Preuve supplémentaire du talent de Meryl Streep, pure actrice de composition.
Pas aussi glamour qu'on aurait pu le penser, les bureaux de Vogue et ses employés sont, hormis le fait d'être dévoués à la mode, des plus normaux. Le pratique est de mise. Il faut dire que courir en talons et haute couture à travers les couloirs paraît difficile. Même à Vogue.
Documentaire réellement intéressant, on découvre que sous le masque froid et hautain d'Anna Wintour se cache une femme juste peu démonstrative et dotée d'un fort pouvoir de décision.
Et ce qui pourrait sembler être un défaut est en fait une réelle qualité. Un don qui sauve certainement le magazine du naufrage chaque mois tant la rédaction paraît sombrer dans le chaos quand elle n'est pas là. Sans une main de fer, impossible de gérer le bouclage d'un magazine lu par 13 millions d'Américaines.
Outre Anna Wintour, Cutler brosse le portrait de ses principaux collaborateurs. Ainsi on retrouve le truculent André Leon Talley qui depuis plus de trente ans est une référence en matière de mode. L'actuel chroniqueur mode de Vogue nous régale lors d'une partie de tennis bien mémorable. Mais celle qui retiendra le plus notre attention est Grace Coddington. Elle vole littéralement la vedette à Anna Wintour. Plus accessible et attachante que cette dernière, cette ancienne mannequin qui commença à travailler chez Vogue le même jour que sa collègue, est la seule à savoir lui faire face. Génie de la mode au talent monstre (même Wintour le reconnaît), elle nous rappelle à travers chacune de ses oeuvres que la mode est également et surtout un art.
Pas aussi glamour qu'on aurait pu le penser, les bureaux de Vogue et ses employés sont, hormis le fait d'être dévoués à la mode, des plus normaux. Le pratique est de mise. Il faut dire que courir en talons et haute couture à travers les couloirs paraît difficile. Même à Vogue.
Documentaire réellement intéressant, on découvre que sous le masque froid et hautain d'Anna Wintour se cache une femme juste peu démonstrative et dotée d'un fort pouvoir de décision.
Et ce qui pourrait sembler être un défaut est en fait une réelle qualité. Un don qui sauve certainement le magazine du naufrage chaque mois tant la rédaction paraît sombrer dans le chaos quand elle n'est pas là. Sans une main de fer, impossible de gérer le bouclage d'un magazine lu par 13 millions d'Américaines.
Outre Anna Wintour, Cutler brosse le portrait de ses principaux collaborateurs. Ainsi on retrouve le truculent André Leon Talley qui depuis plus de trente ans est une référence en matière de mode. L'actuel chroniqueur mode de Vogue nous régale lors d'une partie de tennis bien mémorable. Mais celle qui retiendra le plus notre attention est Grace Coddington. Elle vole littéralement la vedette à Anna Wintour. Plus accessible et attachante que cette dernière, cette ancienne mannequin qui commença à travailler chez Vogue le même jour que sa collègue, est la seule à savoir lui faire face. Génie de la mode au talent monstre (même Wintour le reconnaît), elle nous rappelle à travers chacune de ses oeuvres que la mode est également et surtout un art.
Le problème, lorsqu'il s'agit de juger un documentaire, est qu'on procède souvent par métonymie : on évalue plutôt le sujet étudié que le film lui-même. Ici, le travail de R.J. Cutler permet de s'intéresser aux deux, car il propose d'intéressant partis pris, à défaut de point de vue incisif. Ni propagande pro-mode ni pamphlet sur cette industrie controversée, The September issue a l'humilité de ne pas prétendre livrer un panorama exhaustif du monde de la mode. Il s'attache avant tout à l'institution qu'est Vogue et à sa fabrication, en mettant en avant les choix éditoriaux du magazine. En ce sens, les choix du documentariste sont à prendre ou à laisser : il ne dresse pas, comme on s'y attendait, un portrait percutant d'Anna Wintour, capitaine du navire, mais suit "seulement" la rédaction du numéro le plus important de l'année. Il se verra donc sûrement reprocher de ne pas décrire toute la méchanceté de son personnage principal, qui, nous rappelle la bande-annonce, "a inspiré Le diable s'habille en Prada". Même sans se focaliser autant sur cet aspect que soulignait le plaisant divertissement de David Frankel, The september issue prodigue à certains moments une leçon d'arrogance. Et pourtant, on ne peut que saluer l'initiative de cette Dona Corleone de la mode quand elle soutient l'art, l'esthétique, la recherche, au sein d'un secteur aussi frivole. La beauté de certaines photos, notamment la série fellinienne à Rome avec Sienne Miller, fait regretter qu'on ne puisse pas en voir plus. La force du documentaire réside dans sa volonté de donner à la mode un intérêt qu'on ne lui donnerait pas au premier abord, de lui offrir un espace autre que le papier glacé habituel. C'est une des rares occasions de voir la mode explorée de cette façon sur le grand écran, où son rôle est traditionnellement inconfortable, car il ne doit pas être trop encombrant ni donner lieu à un placement de produit. Ici, la peinture de l'habillage dicte au film sa forme. Ce documentaire célèbre donc
J'ai adoré !!!! Ce documentaire vif et drôle permet de découvrir les coulisses du magazine Vogue, et d'approcher sa célébrissime rédactrice en chef, Anna Wintour, personnage fascinant du Diable S'habille en Prada. C'est très amusant, ça va très vite et on ne s'ennuie pas une seconde. L'économie du secteur de la mode et de la pub ne sont pas vraiment abordés, mais c'est d'avantage la personnalité et le caractère de ces femmes de pouvoir qui dominent la mode aujourd'hui qui est mis en avant. C'est superficiel et donc absolument indispensable...
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