Derniers Avis : Millénium 2 - La Fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette - Page 23

Millenium passe a la seconde vitesse aussi excellent que le premier

La saga millenium est pour l'instant très bonne! Le 1 m'avait plus, que dire du 2 qui nous emporte dans un suspens du début à la fin! D'accord l'histoire peut être pour certain dure à suivre, mais cela reste un très bon film, un bon thriller, avec de bons acteurs, et un nouveau réalisateur à la hauteur du précédent! Je me languis le 3ème dans quelques jours!

A voir! (si vous avez vu le 1! :) )

Anthony.

Une belle intrigue mais moins dynamique que le premier!!!

Une suite pleine de rebondissements & qui passe vraiment trop vite.
C'est un régal; on ne s'ennuie pas un instant.

J'ai lu tous les millénium et j'ai adoré j'ai vu tous les film sur canal je trouve que sa représente très bien les livres avec des oublis mais c'est quand plus sympas à lire qu'a voir.

Franchement ennuyeux comparé au premier opus. Je n'ai pas lu la saga en livres alors ce n'est même pas pour dire "oh le livre est carrément mieux".. non j'ai trouvé le temps long.. l'intrigue très lente et pas passionnante. Le personnage lisbet continue de fasciner un peu même si elle n'apporte plus toute cette "nouveauté" qu'on avait dans le premier dans le premier opus..
Ma compagne s'est endormie.. elle avait aimé le premier. Tout est dit.

certes c'est un bon polar mais il reste tout de même ultra violent du début à la fin.....

Pas mal mais j'ai tout de même préféré le premier.

Pour les non lecteurs des bouquins, comme moi, on reprend la suite des péripéties du 1. C'est bien fait, dans le genre hollywoodien en fait, c'est-à-dire calibré blockbuster. Et ça fait son job !, donc moyen plus, en note. Sans problème, j 'irais voir le numéro 3 en juillet, pour passer un moment, mais c'est pas la trilogie du parrain ou les "il était une fois" de Leone.

Vraiment simpa moin trach que le premier. Quelques longueurs mais dans l'ensemble vmt simpa !

Ce film n'a rien a voir avec le premier qui était excellent. Ces 2h10 aurait pu se résoudre en 1/2h tellement l'intrigue est sans interêt et vu le nombre de scenes ennnuyeuses.
Peu de rebondissement, 1h au début où il ne se passe quasiment rien, trop de personnages sans interêt pour l'histoire et enquête pas très haletante... On a l'impression que le film a été fait en 1 mois tellement il est mal ficelé : mauvaise gestion des temps forts - temps faibles nottament et acteurs faiblards. On finit par être lassé et on se surprend à regarder sa montre (3 fois pour ma part) car on n'arrive jamais vraiment à rentrer dans le film.

Très bon moment passé devant ce film. Blomqvist et Salander sont toujours bien cadrés, on pénètre savoureusement dans leur esprit et on devine à quoi ils pensent, et par quoi ils sont habités. Puis, les décors sont parfaits, retranscrivent parfaitement les émotions des personnages ce qui est une force du film et qui en fait un petit chef d'ouvre. De temps en temps, il n'est pas toujours facile de suivre, certes, mais c'est une bonne réalisation, et c'est déliceuseusement angoissant !

moi je l'ai trouvé aussi bien que le premier et meme plus vraisemblable sauf quand elle sort de terre ...

Ne jetons pas la pierre à cet opus 2 pour cause de lenteur. Les personnages posent et se posent beaucoup de questions, une quête et une enquête, ça prend forcément du temps. Et surtout, peut-on reprocher à un film de coller au livre dont il est tiré ? Et comme dans le livre, cet épisode 2 se réveille vraiment à la fin.
Noomi Rapace toujours fabuleuse (encore que je la préférais dans le 1 où elle était vraiment Fifi Brindacier !), Michael Blomqvist reste Michael Blomqvist, sérieux, tenace, discret et.... pas le beau teénébreux du roman, mais bon...
Par contre , mise en scène terne, dommage.
Ce n° 2 est à voir après le premier, sinon vous n'y comprendrez pas grand'chose. Mais le n° 3 sortant dans un mois, espérons qu'il répondra à nos questions restées en suspens, et à nos attentes.

Second volet de l'adaptation du livre de Stieg Larsson, Millenium 2 réaffirme le style épuré du premier, brutal et oppressant. Tout au long du film, le réalisateur nous plonge dans une Suède aux nuits blanches à la blafarde lumière, aux profondes et tristes forêts. Si le début est laborieux, une fois la traque de Lisbeth lancée, le suspense enfle jusqu'à la fin. Mais il faut attendre la seconde moitié du film pour retrouver des réflexes de spectateur malgré quelques séquences-chocs telles l’irréel combat dans l'entrepôt ou l’amusant engagement avec les deux motards consommant plus que leur pétaradante monture. Quant à la fin, quand Lisbeth, telle un zombie tout crotté, vient en juge et bourreau rechercher le coupable, elle est aussi inattendue que fascinante.
On pourra regretter la faiblesse des seconds rôles même si Peter Andersson interprète au mieux Nils Bjurman, l’avocat véreux, dégoulinant d’une vicieuse hypocrisie, pleutre méprisable accoquiné aux plus exécrables mafieux satisfaisant ses envies les plus lubriques. Le blondinet atteint d’une analgésie congénitale peine à devenir un bourreau impavide quant au redoutable transfuge du GRU, Sala, il ressemble plus à la victime d’une chirurgie esthétique manquée. Oublions-les et contentons-nous des deux personnages principaux.
Michael Nyqvist incarne le journaliste comme il y en a peu. Trop peu. Il accumule les qualités. Ses amitiés sont fidèles, il respecte la parole donnée, il est méthodique, pointilleux, scrupuleux, possède une grande honnêteté intellectuelle lui faisant vérifier ses sources avant d’écrire un article. Bien rare aujourd’hui où tant de ses confrères créent de toutes pièces citations et événements. Reste le joyau du film, Noomi Rapace, rebelle, gothique géniale, virtuose de l’informatique et surtout increvable. C’est ce qu’il faut quand on incarne la victime expiatoire des violences faites à toutes les femmes.
Car dans l’intrigue, Stieg Larsson tient à vaticiner l'hypocrisie de notre société. La femme méprisée, la femme battue, la femme torturée, la femme objet sexuel, victime des plus odieux trafics. Il en profite pour dénoncer les causes de ces mafias proxénètes nées de l’effondrement de l’empire soviétique. Des membres en déshérence des GRU et KGB, contre leurs renseignements, pour prix de leur trahison, ont reçu carte blanche et protection de certains membres influents de nos sociétés, leur fournissant ainsi l’assouvissement de leurs désirs pervers. Il est vrai que nous sommes plus prompts à prendre la défense du respect de la vie privée qu’à lutter contre les avilissants cancers qui nous rongent.
A condition de ne pas être une âme sensible, un bon film à lire au second degré.
Michel Tellier