Mon compte
    The Assassin
    Note moyenne
    3,0
    1444 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur The Assassin ?

    179 critiques spectateurs

    5
    25 critiques
    4
    25 critiques
    3
    38 critiques
    2
    48 critiques
    1
    30 critiques
    0
    13 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    ninilechat
    ninilechat

    71 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mars 2016
    The assassin...... est une assassine.

    Au IXeme siècle, le provinces marginales de la Chine sont plus ou moins en rébellion contre le pouvoir central de l'Empereur. Une famille princière se trouve, de par ses alliances, liée à la fois au pouvoir impérial et à la famille du gouverneur de la province de Weibo, le (très beau) Tian Ji'an (Chang Chen). Il a été fiancée à sa cousine Nie Yin-Niang (Shu Qui, un ravissant minois de chat) mais les fiançailles ont été rompues pour des raisons d'état. Yin-Niang a été élevée par une tante, une princesse nonne (Sheu Fang-Yi), fidèle au pouvoir impérial, qui l'a formée aux arts martiaux et l'envoie en mission: tuer Tian Ji'an.... Hélas, elle l'aime toujours.... Ajoutons que Tian Ji'an a une épouse (Jun Zhou) qui lui a donné trois enfants, et une concubine chérie, Huji (Nikki Hsin-Ying Hsieh), que madame Tian aimerait bien faire disparaître.

    Voilà, vous savez tout. Tout pour rentrer dans le film, esthétiquement incroyable, de Hou Hsiao-Hsien, et de toutes façons, vous n 'y comprendrez rien. Le film est une succession de courts tableaux, tous plus beaux les uns que les autres, qu'il s'agisse de scènes d'intérieur éclairées à la flamme de bougies, ou de ces paysages sublimes des estampes chinoises, montagnes karstiques où s'accrochent des rubans de brume, lacs silencieux, pins torturés.... Les broderies des tuniques des hommes, les bijoux et les robes des femmes (qui rappellent les hanboks coréens), pas un détail qui ne soit admirable. Quant aux combats, ce sont des ballets merveilleusement chorégraphiés.

    Mais vous n'y comprendrez rien. Toutes les femmes se ressemblent, ça doit être le style de Taiwan: jolis visages lisses et ronds, discrètement asiatiques, et vous mettez un certain temps avant de distinguer l'épouse de la concubine, par exemple; et en plus des personnages décrits ci dessus, vous verrez passer une joueuse de luth, un polisseur de miroirs, un sorcier spécialisé dans la magie noire, une (autre) justicière masquée..... Oumpf! Ce côté abscon, n'est ce pas un peu d'afféterie mal placée? Après tout, l'immense Kurozawa qui a été sans douté plus loin que nul autre dans la somptuosité visuelle n'éprouvait pas le besoin d'être obscur, en plus....

    A voir pour tous les amateurs d'art chinois, parce que le film est en soi une œuvre d'art. Pour les seuls amateurs de cinéma..... moins sûr.
    Fabios Om
    Fabios Om

    52 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 mai 2023
    un film au sujet surprenant mais qui semblait réserver de bonnes surprises. À travers un montage ciselé, le réalisateur taïwanais prouve tout son talent grâce à une mise en scène propre et un cadre soigné. Le photo est réellement belle ,
    Si Hou Hsiao-Hsien maîtrise l'art de la mise en scène, la chose est tout autre pour sa maîtrise du temps… The Assassin s'avère être d'un ennui mortel, avec un scénario simple et des combats catastrophiques des scène baser sur la plastique de ses héroïne cedt dommage. Alors je l attendais enormement ce film aimant beaucoup les films asiatique mais la je suis perdu , on comprend rien du tout . J ai beau essayer d avoir jouer a qui est qui la on m a perdu . Il se passe des choses a l ecran qu on ne comprend pas la portee !  A part reproduire un décorum stéréotypé d’une époque, avec moult symboliques et autres clins d’œil culturels, je ne vois vraiment pas ce qui a pu être la motivation à l’origine de ce film. Ainsi ai-je souffert face à cet exercice de style creux, sans vie et sans souffle. C’en serait presque consternant venant de cet auteur.
    nestor13
    nestor13

    57 abonnés 1 222 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 octobre 2016
    On sait bien que les asiatiques cultivent le mystère. C'est la raison, sans doute, pour laquelle je n'ai jamais réussi à rentrer dans cette histoire. Il faut certainement comprendre "The assassin" comme une œuvre surtout contemplative malgré quelques rapides combats d'ailleurs très elliptiques. De fait, on y voit de très belles images. Mais pour l'émotion, on repassera.
    brunocinoche
    brunocinoche

    92 abonnés 1 103 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 août 2016
    Visuellement le film est parfait, dès l'ouverture dans un superbe noir et blanc, la prise de vue remarquable, l'actrice principale est magnifique, le Prix de la Mise en scène à Cannes était une quasi évidence. Peut-on pour autant parler de grand film, pas sur. Superbement enrobée, l'histoire n'est pas passionnante et peu développée et les rares scènes de combat très courtes ne devraient pas rester dans les mémoires. D'une beauté à couper le souffle, oui, mais ça s'arrête là.
    annereporter94
    annereporter94

    49 abonnés 1 006 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 mars 2016
    Esthétiquement phénoménal, ce film laisse cependant un goût amer, car, il faut bien le reconnaître, on ne comprend pas tout ce que l'on voit, ou plutôt, on le comprend parfois... mais lors de la scène suivante. Ce film est donc une sorte d'énigme permanente...
    Jo R
    Jo R

    23 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 avril 2016
    Le synopsis a l'air génial. On s'imagine tout un tas de choses sur le monde des samouraïs, des alliances, des complots etc...
    Et quelle déception! C'est plat, c'est mou, c'est absolument pas attrayant!
    Pourtant les décors sont superbes, les costumes impeccables, la musique au top, les actrices sublimes et malheureusement ça ne suffit pas à me faire apprécier ce film qui sur le papier a l'air génial...
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    63 abonnés 773 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mars 2016
    Si vous aimez un cinéma très esthétique, des images composées avec soin, une ambiance chine traditionnelle impériale, précipitez-vous, vous allez vous régaler même sans quasiment rien comprendre de la trame du scénario.
    Si vous aimez comprendre l’histoire que l’on vous raconte, lisez le scénario entièrement avant ! Ce n’est pas un « spoiler » de dire cela, cela vous permettra de décoder les rapports entre les personnages, plus nombreux qu’on ne peut le croire et que les dialogues épurés à l’essentiel ne permettent pas à l’occidental moyen que je suis de découvrir.
    Si vous aimez les films d’arts martiaux, vous serez frustrés, à éviter.
    Si vous appréciez le contraste violent entre le calme reposant des rites ancestraux asiatiques symbole d’éternité et l’explosion des sentiments au travers de brefs combats à la vie à la mort, vous devriez y trouver votre compte.
    Si vous êtes spécialistes de la mise en scène et de la maitrise des lents mouvements de caméra, vous avez là un beau sujet d’études et de comparaison avec Kurosawa.
    Bref, vous pourrez vous ennuyer ou vous laissez envoutés, c’est selon.
    mars 16
    DestroyGunner
    DestroyGunner

    24 abonnés 883 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 mars 2016
    Indéniablement magnifique sur le plan de l'image et des décors naturels ou artificiels, ce film manque totalement de parcours narrateur minimal pour donner un sens aux différentes scènes. Un mélange de différents genres dont la juxtaposition ne joue pas. L'approche psychologique est voulue mais bâclée. Un sentiment de gâchis et même d'ennui au bout d'un quart d'heure que le reste du film ne dissipe pas.
    aldelannoy
    aldelannoy

    39 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 août 2019
    Ce n'est pas un film, c'est une suite de très belles cartes postales. Cette suite de cartes postales a obtenu le prix "de la mise en scène", ce qui est ironique dans la mesure où mise en scène sous-entend une action coordonnée par des plans alors qu'ici il n'y a pas d'action. Il y a bien quelques bagarres auxquelles on ne comprend rien mais il ne s'agit pas vraiment là de "mise en scène". Le fait est qu'on ne comprend rien à ce qui se passe. Il y a une histoire de sang de poulet spoiler: à propos d'une femme qui est enceinte sans qu'on ne saisisse qui est cette femme et pourquoi elle ne veut pas paraître enceinte
    . On ne sait pas qui sont les personnages et on ne sait pas pourquoi ils agissent comme ils le font quand on a compris qu'ils agissaient dans un sens ou un autre. Hormis le fait qu'on ne comprend rien parce qu'il semble qu'il n'y ait rien à comprendre, les cartes postale sont vraiment très jolies.
    eliacam
    eliacam

    20 abonnés 203 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 mars 2016
    Dans l'émission Le Cercle de Canal plus la moitié des critiques louaient l'esthétisme totalement réussi du film tandis que l'autre moitié le trouvait incompréhensible.
    Pour moi il n'est ni l'un ni l'autre. Pas incompréhensible même si tout n'est pas totalement clair. Mais alors pas si réussi esthétiquement que Hero ou Grandmaster.

    Et puis c'est quoi ce titre ? The Assassin ? Pourquoi un titre anglais pour un film chinois en France ?
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 365 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 novembre 2016
    Prix de la mise en scène à Cannes 2015, The Assassin est une œuvre esthétiquement parfaite qui nous place au cœur d’une histoire tragique et d’arts martiaux. Le scénario est malheureusement peu digeste quand on ne connait pas la Chine du IXème siècle. En effet, après des années d’exils, Nie Yinniang revient dans sa famille et a pour mission de tuer son cousin pour qui elle porte un amour passé et sincère. Sur le papier on comprend à peu près, mais les nombreuses longueurs dans l’écriture nous font souvent perdre le fil de cette trame de vengeance. Pourtant, on ne peut s’empêcher d’être en admiration devant la photographie qui se marie à merveille avec la musique, les plans ou les décors. C’est alors qu’on regrette de ne pas avoir tout saisi. Peut-être que The Assassin mérite une seconde lecture…
    D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
    Eric C.
    Eric C.

    241 abonnés 2 273 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 mars 2020
    Ne surtout pas s'engager dans ce film en imaginant un film d'arts martiaux avec une héroïne badass qui multiplierait les coups d'éclat et les performances chorégraphiques du genre. Au delà de ce malentendu possible et probable, ce film est un véritable bijou, travail d'orfèvre magnifiquement ciselé où chaque plan, chaque image, chaque mouvement ou déplacement semble avoir été travaillé dans les moindres détails. Ainsi on a une œuvre esthétiquement sublime et on pourrait multiplier les louanges et exemples pour ce qui concerne les lumières, couleurs, premiers et arrière plans, clair obscur avec une attention incroyable apportée au moindre détail pour que chaque moment soit un tableau mais pas une nature morte même si les images de nature sont très présentes. Un film fait de lenteur et de silence ce qui pour le coup donne une force immense au moindre bruit, son ou musique et qui est chargé de sens et de symboles avec cette jeune femme assassin sur entraînée avec une forme d'élégance à donner la mort mais qui fait face à un combat entre son bras, ses capacités, son entraînement et son âme, ses sentiments, ses hésitations. Tout ceci est souvent très subtil et il faut s'attarder sur les moindres détails d'une image lente qui traduit ce dilemme. Shu Qi on le sait est une actrice sublime et talentueuse hors norme et incarne à la perfection cette héroïne mystérieuse, énigmatique, dangereuse, mais aussi touchante, émouvante, avec beaucoup de poésie et de psychologie omniprésente pour un film chinois qui tout en gardant ses fondamentaux culturels se démarque par son rythme et sa limitation des scènes d'action et d'arts martiaux. Hypnotique, captivant, une lenteur et une langueur qui nous envahit mais avec un ravissement assez peu traduisible en mots et qui divisera forcément les spectateurs avec des avis tranchés.
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    156 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 août 2017
    « The Assassin » est clairement un film de genre, plus précisément un Wu Xia Pian, soit un film historique d'art martial aérien, avec des combats défiant les lois de la gravité. Mais le Wu Xia Pian est un genre multiple, et surtout qui s'est réinventé ces dernières années, devant la caméra de réalisateurs à la sensibilité particulière. A mon sens, « Tigre et Dragon » d'Ang Lee fait partie des réussites, les films boursouflés de Zhang Yimou (« Hero », « Le Secret des poignards volants », « La Cité interdite ») des ratages complets. « The Grandmaster » de Wong Kar Wai demeure dans le ventre mou, pas complètement raté, mais pas spécialement réussi. Je classerais « The Assassin » dans la première catégorie, celle des réussites. Deux ingrédients me semblent nécessaires pour faire un bon Wu Xia Pian. D'abord qu'il ne se limite pas à son genre : que ce soit un film de qualité, avec un bon scénario, de bons acteurs et une belle réalisation. Deuxièmement, que les fameux combats chorégraphiés soient crédibles, plausibles, malgré leur invraisemblance inévitable : difficile équilibre à trouver, que je n'ai véritablement rencontré que chez Ang Lee. Maintenant parlons plus en détail de « The Assassin ». J'y ai trouvé les mêmes qualités et les même défauts que dans les autres film de Hou Hsiao-Hsien que j'ai déjà vus (Les Fleurs de Shanghai et Millenium Mambo). Visuellement, c'est un film époustouflant. Les cadrages sont parfaits, les couleurs chatoyantes, les prises de vues en extérieur révèlent une nature fougueuse, indomptée, sauvage. Du grand grand art. Le film reste sobre, notamment dans les quelques (et rares) combats qui émaillent le récit, tant mieux. Voilà pour les qualités. Pour ce qui est du principal défaut que j'ai relevé : il me semble qu'il y ait un problème de rythme. Le cinéaste taïwanais étire ses plans dans la durée jusqu'à ce que mort s'ensuive (ou presque). Exemple : plan américain sur un personnage qui regarde ailleurs pendant une minute, parle, puis se tait, et la caméra continue à filmer ce silence. C'est assez particulier… Et pour tout dire assez artificiel. Mais paradoxalement cela confère également au long métrage un caractère résolument contemplatif, qui tranche avec la violence (modérée) des combats. Donc si ça me semble être un défaut, qui empêche une immersion à 100% dans le film, ce n'est pas non plus rédhibitoire. Au total, « The Assassin » est un Wu Xian Pian d'auteur, si je puis dire. Un film original, qui brise les codes du genre pour mieux se les réapproprier. Et qui nous fait passer un agréable moment, dépaysant, pour qui ne s'est pas endormi sur place bien sûr. La première bonne surprise de cette année me concernant.
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 avril 2016
    Hermétique au possible, The Assassin est de ces films qui peuvent rapidement devenir une torture si on n'arrive pas à en saisir la substance, à s'accorder avec leur rythmique particulière, lente et saccadée. C'est évidemment dans la recherche d'un tempo bien à lui et d'une tentative hautement (exclusivement ?) esthétique de saisir le temps que penche ce wuxa pian signé Hou Hasio-Hsien, mais je dois bien avouer être passé complètement à côté. Le refus du récit (mené par une narration volontairement confuse et elliptique) signe la prévalence de l'instant, figé dans des tableaux superbes et étrangement coupés les uns des autres. Ce traitement, qui magnifie ces images tout en les excluant du temps et de la progression du récit, en fait des instantanés dont la beauté inaccessible parait s'émanciper dès lors qu'elle survient au regard, pour se figer dans un au-delà que les yeux peuvent percevoir sans en comprendre la grâce et s'en imprégner. L'histoire de cet assassin qui jamais ne tuera personne, incapable d'embrasser son destin tout en le dominant pourtant (Yinniang refuse de tuer, alors que personne n'en serait capable mieux qu'elle) est comme un démenti de toute logique narrative, comme si vouloir restituer l'histoire, c'était en captivant le temps qui la porte, supprimer la grâce qui s'écoule lascivement avec lui. Impossible de dire que The Assassin est mauvais, assertion qui serait d'une arrogance dont je refuse de me rendre coupable, tant ce nouveau Hou Hsiao-Hsien me dépasse dans sa tentative presque mystique de retrouver une perception originelle et pure de l'instant, sans l'inféoder aux exigences parfois sacrificielles d'une histoire. Il faut dire que je l'ai vu fatigué, et donc complètement inapte à lui donner ce qu'il méritait d'attention.
    Scorcm83
    Scorcm83

    103 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mars 2016
    Le film est très lent, il faut y être préparé. C'est un film qui s'appelle *The Assassin* mais ce titre peut-être trompeur et semble avoir été choisi dans un but commercial plus qu'artistique. En effet, bien que le personnage principal soit un assassin, très peu de scènes de combat au programme. Le peu y figurant sont extrêmement bien chorégraphiées mais le fait est que l'intérêt du film ne réside pas dans ce versant. Bien au contraire, *The Assassin* est avant tout un film d'ambiance. Une ambiance incroyablement prenante et reposante portée par une esthétique et une photographie renversantes. Je crois que l'on tient là l'un des plus beaux films de l'année, si ce n'est pas LE plus beau. Hou Hsiao Hsien a décidé de conserver un véritable bagage culturel oriental au risque d'une incompréhension occidentale, et c'est un peu ce qui arrive au film. En effet, le traitement scénaristique se révèle très difficile à suivre, les noms des personnages n'ont pas les connotations instinctives que captent les spectateurs asiatiques et la ressemblance des personnages, du point d'un vue d'un occidental, sont autant d'éléments qui posent énormément de barrière à l'appréciation du film. Mais, selon son réalisateur lui même, le véritable intérêt repose dans l'atmosphère, et sur ce point là, rares sont les films a m'avoir donné un pareil sentiment de "voyage". Un voyage dans le temps et dans l'espace. Et n'est-ce pas là le propre du cinéma ?

    A voir, pour un public averti.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top