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    The Assassin
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    179 critiques spectateurs

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    Henrico
    Henrico

    139 abonnés 1 272 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 mai 2018
    Quel paradoxe ce film de Hou Hsiao-Hsien, mais hélas, quel gâchis ! Car paradoxe ne rime pas forcément avec excellence. Et pour cause : le réalisateur Taïwanais met une minutie quasi maniaque dans sa capture des images de décors intérieurs et extérieurs. On a l’impression d’avoir affaire à un documentaire sur l’oeuvre de grands maîtres de l’art pictural. L’attachement qu’il met dans la précision de sa capture des éléments audio est à ce point jusqu’au-boutiste qu’on a l’impression d’être en présence d’un documentaire animalier. Quand aux dialogues, Hou Hsiao-Hsien pense s’adresser à des experts en l’historiographie chinoise tant les références sur des détails du contexte dans lequel s’insère l’intrigue sont précis. Pour ce qui est de sa direction des acteurs, Hou Hsiao-Hsien, a su choisir des comédiens exceptionnels, à qui il a demandé de déclamer des textes de manière théâtrale, ce qu’ils ont fait de manière admirable. Sauf que Hou Hsiao-Hsien a oublié l’essentiel. Il a oublié de travailler le liant de toute cette précision. La syntaxe narrative qui lui aurait permis de rendre son récit captivant. Toute cette précision visuelle et auditive est vaine. Car le suspense ne peut pas prendre, les transitions entre les scènes sont décousues, les ressorts dramatiques ne sont pas amenés de manière compréhensible. Hou Hsiao-Hsien a voulu nous faire une oeuvre dans le style de Barry Lyndon. Mais n’est pas Stanley Kubrick qui veut. En plus de la précision dont sait faire preuve le Taïwanais, l’Américain ne perdait pas de vue la nécessité absolue de tout faire pour garder l’intérêt de son spectateur pour l’intrigue. Hou Hsiao-Hsien l’avait pourtant compris avec son « Le Maître Des Marionnettes », mais depuis, avec les prix et la notoriété acquis en occident, il l’a vaniteusement oublié.
    lilyzab
    lilyzab

    24 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mars 2016
    Film poétique qui inspire grandement les critiques presse, jamais vu autant de poésie dans leurs articles! voilà donc un film qui révèle d'autres émotions chez le spectateur. Si l'intrigue est alambiquée, ne cherchons pas à comprendre l'esprit chinois du 9ieme siècle. Le point fort du film? Au moins on se sent calme à la sortie. Comme si l'on avait fait une séance de méditation ou bien disons de contemplation . ce dont on a tous besoin dans le monde occidental d’aujourd’hui . A voir pour ça ! attention à ne pas dormir, tendance possible dans le silence de la salle et du film . Mais quelques combats viennent à bon escient nous tenir en alerte. Les actrices sont de toute beauté.
    au-dela-des-nuages
    au-dela-des-nuages

    21 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 avril 2016
    Si ce film a de grandes qualités il n'en demeure pas moins un bon somnifère pour ceux que les intrigues dans les milieux impériaux ne ravissent pas.

    Ce film ne comporte que quelques scènes et quelques protagonistes dont on ne sait pas grand chose d'ailleurs... le mystère est peut-être l'élément principal de ce film...
    traversay1
    traversay1

    3 147 abonnés 4 634 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 mars 2016
    Il faut voir et surtout revoir The Assassin. Pour essayer de comprendre pourquoi certains le célèbrent comme un authentique chef d'oeuvre alors que d'autres (moins nombreux) le considèrent comme un monument d'ennui. Pour être beau, le film de Hou Hsiao-hsien, l'est, absolument. Sublime même dans ses cadrages. Pour autant, la vérité, si tant est qu'il puisse en exister une, se situe peut-être bien entre les opinions extrêmes. L'intrigue générale se comprend aisément mais il est vrai que l'on se perd dans les détails. Pas très important. Plus frustrant, Hou intellectualise un peu trop le film de genre et les amateurs d'arts martiaux n'y trouveront pas leur compte. Il livre un produit pensé, léché mais trop peu porté sur l'action alors que les quelques bribes aperçues permettaient d'espérer beaucoup. Pour tout dire, The Assassin est avant tout un film d'esthète, de peintre même, dont le scénario, beaucoup trop cérébral et proche de l'abstraction, empêche une adhésion totale. On se contentera d'admirer, comme dans un musée, les plans extraordinaires de la nature et les apparitions trop rares de la justicière énigmatique, habillée en noir, au corps entraîné pour le meurtre mais à l'âme "contaminée" par les sentiments.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    527 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 novembre 2017
    Deux choses à savoir avant d’aller contempler ce chef d’œuvre du cinéma asiatique actuel . Ce n’est pas un film de Wuxia et une deuxième vision est nécessaire à un français pour tout comprendre du scénario. Cela étant dit, c’est vraiment un film à voir, un parmi les plus beaux de l’année 2015. Il fait plus penser à Ozu qu’à Kurosawa tant il est économe en tout, y compris en musique. Seuls les silences sont pléthoriques lorsque la nature offre ses beautés. On pourrait même dire que Hou Hsiao Hsien utilise sa caméra comme un pinceau. Comme la mise en scène est particulièrement belle et contemplative, la lenteur de la fin des plans prolonge cette beauté et inversement les quelques rares intervention physique de l’héroïne, super experte en combats martiaux n’en prennent que plus de force. Le fond de l’histoire porte sur le thème classique des rivalités familiales, du goût du pouvoir, des intrigues féminines. Les détails obscurs qui nous manquent ne gênent en rien pour admirer ‘’The assassin’. Seul petit reproche me concernant : la passion en est absente et la double amour de l’héroïne est bien faible puisque l’un est du passé et l’autre est à venir.
    Benito G
    Benito G

    598 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mars 2016
    Il y avait longtemps que l'on avait pu de film Taiwanais en salle. C'est le genre de film qui nous font voyager, souvent avec de bon visuel et ou le réalisateur arrive à apporter au contraire, distance et complexité. LE titre annonce la théma principal mais on en est loin. Dans un coré poétique, enchanteresse.. Esthétiquement on se prend une claque. Et les fans n'ne seront que ravi. Pour résuméd ans la Chine du IXe siècle, une sublime guerrière a pour mission de tuer son ancien amant. Entre tragédie et arts martiaux, du cinéma beau comme la foudre. LE film, pour ceux n'ayant pas l'habitude, pourrait trouver cela un peu complexe, "confus". Car certains personnages clés n'apparaissent que furtivement. LE scénario a été construit el laissant divers indices, des mots, des gestes... (mais pour le coup, seul les pro du genre ; arriveront peut être à comprendre les indices classés par le réalisateur. Enfin pour vraiment bien saisir la chose "the Assassin" mérite d'être vu au moins 2 fois (surtout pour ceux qui n'était pas dans le "move"). Ceci dit les chorégraphies sont majestueusement réussi avec une très haute définition. Au Japon, "the Assassin" peut être classer digne des chefs d'oeuvre. Mais pour conclure que l'on soit amateur ou fan, on ne peut nier que l'ensemble est aussi sublime que déroutant.



    Aussi sublime que déroutant.

    .
    Roub E.
    Roub E.

    753 abonnés 4 840 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 avril 2021
    Je n’aurais pas grand chose à en dire c’est aussi beau que lent. C’est un parfait exemple de film contemplatif. On a une succession de tableaux d’une grande beauté que ce soit en intérieur ou en extérieur mais le rythme hyper lent peut finir par lasser. L’histoire elle aussi n’est pas assez développée à mon goût avec cette assassine qui ne tue personne et qui est chargée de tuer quelqu’un qui lui a été très proche. C’est vraiment dommage car on a une succession de plans d’une beauté rare.
    Ti Nou
    Ti Nou

    419 abonnés 3 383 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 février 2017
    Ce wu xia pian est porté par un art de la belle image, du plan magnifiquement composé. Malheureusement, cet art n’est au service de rien : le récit est plat, la narration pleine de trous que le spectateurs devra combler (ce qui n’est pas forcément un mal, mais en poussant ce principe à l’extrême, les personnages n’ont même plus la place d’exister car aucune de leurs motivations ne paraît) et le rythme ennuyeux au possible.
    Flaw 70
    Flaw 70

    254 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mars 2016
    Auréolé du prix de la mise en scène au dernier Festival de Cannes, le nouveau film de Hou Hsiao-hsien où il collabore encore une fois avec sa scénariste fétiche Chu Tien-wen pour cette fois-ci s'attaquer à un film d'époque. S'inspirant du genre wu-xia qui correspond souvent aux westerns à tendance film de capes et d'épées en Chine mais aussi de l'oeuvre de Shakespeare mais plus précisément à la manière d'Akira Kurosawa avec son Ran (adaptation japonaise du Roi Lear), le film marque un renouveau au sein de la carrière de son cinéaste. Habitué aux œuvres contemplatives, il était clair qu'il allait livrer une expérience hors norme qui ne ressemble à aucunes autres et qui risque de profondément surprendre, perturber et même diviser.
    Le film signe sa particularité au sein même de son scénario qui fait le choix d'être déstructurer, abstrait et totalement opaque. Il est souvent difficile de s'y retrouver et de saisir tout les tenants et aboutissants de cette histoire. Il n'est pas rare d'ailleurs que le sens d'une scène ne puisse être compris que plusieurs séquences après celle-ci nous renvoyant sans cesse à ce que l'on a vu précédemment. On se retrouve à errer dans un labyrinthe ésotérique et diffus qui se révèle aussi très précis et exigeant pour le spectateur, l'oeuvre préférant miser sur les non-dits, la symbolique, les zones d'ombres et une narration elliptique. Prenant très vite les contours d'un polar nihiliste et mystique, l'écriture se montre d'une finesse imparable et offre beaucoup de passages fascinants arrivant à faire comprendre beaucoup par l'utilisation de peu de mots. Néanmoins une certaine tendance à l'élitisme et à la prose tant à devenir problématique surtout au début du film, où certains enjeux ou passifs des personnages sont un peu trop appuyés voire même répétés pour être pleinement saisi par le spectateur. Et même si le film tente l'abstraction durant ses passages, ils manquent quand même en subtilité et donne par moments une sensation de longueur et même de confusion.
    Le casting se montre admirable, les acteurs misant avant tout sur des interprétations minimalistes pour faire passer les relations entre personnages de manière juste et gracieuse. On retiendra surtout la prestation intense de Shu Qi, l'actrice principale, qui apporte un aura mystérieux, tragique et gracile assez fascinant notamment dans sa manière très sensuelle de frapper l'écran. Chang Chen, le deuxième acteur principal et qui incarne l'ancien amant de l'héroïne, offre une performance plus énervée et vivante que les autres personnages et il s'y montre impeccable et fiévreux arrivant très bien à transmettre les doutes et les nuances de son rôle.
    La réalisation est sublime, jouant avec habilité sur les différents formats de l'image, chacun apportant un sens spécifique aux scènes tandis que le tout est accompagné d'une photographie sublime magnifiant les décors somptueux et les plans, souvent soutenu par une musique tantôt énigmatique et oppressante tantôt épique et harmonieuse mais toujours gérée à la perfection. On déplorera juste un montage bancal dans sa radicalité, offrant un rythme bien trop lent qui tend à la pose artistique excessive et un peu lourde. Car oui la mise en scène de Hou Hsiao-hsien est formidable, souvent brillante et constamment virtuose, n'ayant clairement pas volé ses éloges et ses prix. Mais le cinéaste sait qu'il à du talent et ça se voit, se regardant beaucoup trop filmer par moments tombant dans l'esthétisation pour l'esthétisme pur et donc souvent gratuit. Cela à tendance à devenir agaçant par moments et tire certains passages en longueurs. Néanmoins on reste admiratif devant ce sens du détail sans faille qui reconstitue admirablement l'époque dépeinte par l'oeuvre, faisant souvent sens dans son sens du fatalisme et minimisant de manière habile les explosions de violences. Distillant les morceaux de bravoures avec parcimonie pour en faire des éclairs fugaces, superbement chorégraphiés et découpés pour maintenir une lisibilité constante malgré l'aspect très technique des combats.
    En conclusion The Assassin est un bon film, et si il avait été plus humble, plus incisif et plus précis aurait pu certainement être un chef d'oeuvre du 7ème art. Dans ses meilleurs moments, on sent toute la puissance du cinéma dans des scènes hallucinantes et virtuoses qui dessine les contours d'un grand film. Néanmoins beaucoup trop de défauts sont là pour venir restreindre notre plaisir et nous laisser sur notre faim comme cette élitisme trop prononcé, ces longueurs trop envahissantes en raison d'un rythme lent et bien trop poseur qui tend beaucoup trop vers la pose artistique gratuite et tapageuse. Le scénario est un peu trop diffus mais possède vraiment une narration brillante soutenu par un très bon casting. Donc l'oeuvre de Hou Hsiao-Hsien à clairement ses fulgurances et nous fait globalement passé un grand moment même si elle laissera beaucoup de monde sur le carreau. Mais malgré sa réussite artistique et visuelle, elle n'est pas entièrement satisfaite, étant une expérience avant tout qui n'arrive pas à être aussi intellectuellement forte et saisissante qu'elle le voudrait. Un film qui est donc aussi admirable que frustrant.
    vidalger
    vidalger

    297 abonnés 1 229 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 mars 2016
    Sans grande originalité si j'en crois les commentaires, j'ai eu beaucoup de plaisir à voir ce film à la fois si éloigné de nos stéréotypes occidentaux, et si plein d'un esthétisme magnifique de l'image, de la nature et de quelques trop rares combats. On comprend vaguement le sens de l'histoire, on se perd un peu géographiquement, on ne sait pas toujours qui est qui, mais peu importe. Le rythme pas vraiment effréné permet aux plus fatigués de faire quelques sommes, aussi, sans perdre le fil de la narration. À voir donc comme une pause dans la longue veille cinématographique que nous impose l'actualité.
    Santu2b
    Santu2b

    219 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 juillet 2016
    Plusieurs années et une documentation minutieuse auront été nécessaires à l'aboutissement du nouveau long-métrage de Hou Hsiao-Hsien. Ce qui est certain avec "The Assassin", c'est qu'il n'aura pas volé son prix de la mise en scène à Cannes ! Cette dernière s'avère en effet somptueuse, révélant l'exceptionnelle maîtrise du cinéaste taïwanais. Paysages naturels à couper le souffle côtoient d'intenses peintures d'intérieur avec une grâce inouïe. Néanmoins, comme on pouvait s'y attendre, l'œuvre se repose assez souvent sur cette mise en scène. En s'axant ainsi sur le contemplatif, le fond filmique perd en consistance et échappe par moment au spectateur. En somme "The Assassin" est un film visuellement admirable mais dont l'intrigue demeure confuse et le sens parfois obscur.
    ninilechat
    ninilechat

    68 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mars 2016
    The assassin...... est une assassine.

    Au IXeme siècle, le provinces marginales de la Chine sont plus ou moins en rébellion contre le pouvoir central de l'Empereur. Une famille princière se trouve, de par ses alliances, liée à la fois au pouvoir impérial et à la famille du gouverneur de la province de Weibo, le (très beau) Tian Ji'an (Chang Chen). Il a été fiancée à sa cousine Nie Yin-Niang (Shu Qui, un ravissant minois de chat) mais les fiançailles ont été rompues pour des raisons d'état. Yin-Niang a été élevée par une tante, une princesse nonne (Sheu Fang-Yi), fidèle au pouvoir impérial, qui l'a formée aux arts martiaux et l'envoie en mission: tuer Tian Ji'an.... Hélas, elle l'aime toujours.... Ajoutons que Tian Ji'an a une épouse (Jun Zhou) qui lui a donné trois enfants, et une concubine chérie, Huji (Nikki Hsin-Ying Hsieh), que madame Tian aimerait bien faire disparaître.

    Voilà, vous savez tout. Tout pour rentrer dans le film, esthétiquement incroyable, de Hou Hsiao-Hsien, et de toutes façons, vous n 'y comprendrez rien. Le film est une succession de courts tableaux, tous plus beaux les uns que les autres, qu'il s'agisse de scènes d'intérieur éclairées à la flamme de bougies, ou de ces paysages sublimes des estampes chinoises, montagnes karstiques où s'accrochent des rubans de brume, lacs silencieux, pins torturés.... Les broderies des tuniques des hommes, les bijoux et les robes des femmes (qui rappellent les hanboks coréens), pas un détail qui ne soit admirable. Quant aux combats, ce sont des ballets merveilleusement chorégraphiés.

    Mais vous n'y comprendrez rien. Toutes les femmes se ressemblent, ça doit être le style de Taiwan: jolis visages lisses et ronds, discrètement asiatiques, et vous mettez un certain temps avant de distinguer l'épouse de la concubine, par exemple; et en plus des personnages décrits ci dessus, vous verrez passer une joueuse de luth, un polisseur de miroirs, un sorcier spécialisé dans la magie noire, une (autre) justicière masquée..... Oumpf! Ce côté abscon, n'est ce pas un peu d'afféterie mal placée? Après tout, l'immense Kurozawa qui a été sans douté plus loin que nul autre dans la somptuosité visuelle n'éprouvait pas le besoin d'être obscur, en plus....

    A voir pour tous les amateurs d'art chinois, parce que le film est en soi une œuvre d'art. Pour les seuls amateurs de cinéma..... moins sûr.
    nestor13
    nestor13

    54 abonnés 1 222 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 octobre 2016
    On sait bien que les asiatiques cultivent le mystère. C'est la raison, sans doute, pour laquelle je n'ai jamais réussi à rentrer dans cette histoire. Il faut certainement comprendre "The assassin" comme une œuvre surtout contemplative malgré quelques rapides combats d'ailleurs très elliptiques. De fait, on y voit de très belles images. Mais pour l'émotion, on repassera.
    brunocinoche
    brunocinoche

    69 abonnés 1 076 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 août 2016
    Visuellement le film est parfait, dès l'ouverture dans un superbe noir et blanc, la prise de vue remarquable, l'actrice principale est magnifique, le Prix de la Mise en scène à Cannes était une quasi évidence. Peut-on pour autant parler de grand film, pas sur. Superbement enrobée, l'histoire n'est pas passionnante et peu développée et les rares scènes de combat très courtes ne devraient pas rester dans les mémoires. D'une beauté à couper le souffle, oui, mais ça s'arrête là.
    annereporter94
    annereporter94

    47 abonnés 1 006 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 mars 2016
    Esthétiquement phénoménal, ce film laisse cependant un goût amer, car, il faut bien le reconnaître, on ne comprend pas tout ce que l'on voit, ou plutôt, on le comprend parfois... mais lors de la scène suivante. Ce film est donc une sorte d'énigme permanente...
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