Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Critikat.com
par Marie Gueden
Ces chorégraphies permettent d’approcher une définition du cinéma de HHH : saisir le battement de l’image (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Jean-Nicolas Schoeser
Difficile alors à théoriser, insurmontable montagne critique tant il appartient à ces films de rien, sédimentant par couches successives les potentialités expressives du medium en un poème visuel éblouissant, The Assassin a la patience des grandes œuvres, appelant à la subjugation. Hypnotisante mélopée, une incantation : récit d’un voyage voguant vers la grâce.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Il n’est pas certain que chacun s’y retrouve toujours dans les entrelacs d’une intrigue sinueuse et embrouillée, mais la familiarité avec l’histoire de la Chine du IXe siècle n’est pas nécessaire. Et puis, si certains développements dramatiques peuvent sembler obscurs, au risque de faire décrocher parfois le spectateur, c’est qu’un film comme "The Assassin" doit être vu deux fois. Au moins.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
"The Assassin" est une œuvre qui prouve sans cesse la suprématie de la mise en scène sur le récit, dans la mesure où celle-ci ne se contente pas de filmer ce dernier ou de l’illustrer, mais lui apporte au contraire contraste, distance, complexité et nuance.
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Un film de sabre atypique, poétique. Avec “The Assassin”, Hou Hsiao-hsien signe une rêverie splendide, fascinante, enchanteresse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Dans la Chine du IXe siècle, une sublime guerrière a pour mission de tuer son ancien amant. Entre tragédie et arts martiaux, du cinéma beau comme la foudre.
Libération
par Julien Gester
Film où le mouvement et la couleur tiennent plus que jamais lieu de calligraphie des climats intimes (...), "The Assassin" s’organise ainsi autour d’une poétique venteuse, qui imprime à l’image même cette représentation taoïste (...) selon laquelle le souffle est synonyme de pulsation intérieure autant que d’élan vital.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Eric Vernay
Un choc esthétique, on vous dit.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par François Bégaudeau
Il faut être l'un des plus grands cinéastes vivants pour oser faire que la "dame en noir" incarnée par Shu Qi et dévolue à la fonction éponyme n'assassine personne.
Télérama
par Jacques Morice
"The Assassin" pourrait paraître complexe. Certains personnages, importants, n'apparaissent que furtivement. Le cinéaste semble avoir construit son film en taillant dans le scénario. En vérité, rien ne manque, il faut juste saisir les indices, les mots, les gestes (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un film somptueux.
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Prix de la mise en scène à Cannes, « The Assassin » est un film de sabre stupéfiant de beauté mais dont le sens profond peut demeurer bien mystérieux.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
De la tradition du genre, le cinéaste n’a finalement gardé qu’une sorte d’amour dépouillé du beau geste, capable d’embrasser d’un même élan scintillements du passé et abstraction moderne, maîtrise absolue de soi et dénuement d’un cœur inconsolable.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Le cinéaste taïwanais, au sommet de son art, signe une épopée sublime puisant aux sources de l’histoire chinoise mais digne des chefs-d’œuvre du Japonais Kurosawa.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une intrigue pas spécialement claire, mais un oeuvre d’une beauté époustouflante : quand le film d’arts martiaux se fait film d’art.
Le Monde
par Mathieu Macheret
À travers ce chancellement constant du regard comme du récit, "The Assassin" réactive le plaisir si rare de se perdre dans les méandres d'un film, comme au plus profond d'une forêt de signes, tour à tour étranges et familiers, mais dont les scintillements nous guident sur les voies secrètes de nos mélancolies.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Aussi sublime que déroutant.
Paris Match
par Yannick Vely
Le film est beau à se damner mais prend aussi le temps de peindre de magnifiques personnages que l'on pourrait qualifier de Shakespeariens - Hou Hsiao Hsien cite d'ailleurs "Ran", adaptation du "Roi Lear" par Akira Kurosawa, comme référence.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
"The Assassin", première incursion du maître taïwanais dans le film d'action, est une pépite.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le film est un ballet de costumes, de paysages et de mouvements. Mais il est surtout porté par une pureté de trait qui dans sa précision s'applique autant au cinéma qu'au sabre. Jamais décoratif, ce qui est un exploit, il est fondamentalement travaillé par une idée de la perfection.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
TF1 News
par La Rédaction
Si son contenu semble opaque comme un secret précieusement gardé, la grâce de "The Assassin" nous atteint et sa beauté nous crève les yeux.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Se refusant donc aussi bien au didactisme qu’à la profusion de morceaux de bravoure, Hou Hsia-hsien se montre un maître des ellipses et zones d’ombre, donnant à son œuvre les allures d’un polar crépusculaire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Empruntant au théâtre d’ombres, à la peinture classique et aux films de fantômes, le film a l’élégance et l’inconvénient de se cantonner à un récit minimaliste dont il n’y a pas grand-chose à tirer.
VSD
par Bernard Achour
Dans le registre de l’esthétisme forcené, de la lenteur aux allures de défi et du scénario qui raconte tout sauf une histoire, ce film de sabre est un cas d’école.
L'Express
par Christophe Carrière
Trente-neuf minutes pour voir le premier combat... d'une durée de cent quatre-vingt secondes et filmé de loin !
Critikat.com
Ces chorégraphies permettent d’approcher une définition du cinéma de HHH : saisir le battement de l’image (...).
Culturopoing.com
Difficile alors à théoriser, insurmontable montagne critique tant il appartient à ces films de rien, sédimentant par couches successives les potentialités expressives du medium en un poème visuel éblouissant, The Assassin a la patience des grandes œuvres, appelant à la subjugation. Hypnotisante mélopée, une incantation : récit d’un voyage voguant vers la grâce.
L'Obs
Il n’est pas certain que chacun s’y retrouve toujours dans les entrelacs d’une intrigue sinueuse et embrouillée, mais la familiarité avec l’histoire de la Chine du IXe siècle n’est pas nécessaire. Et puis, si certains développements dramatiques peuvent sembler obscurs, au risque de faire décrocher parfois le spectateur, c’est qu’un film comme "The Assassin" doit être vu deux fois. Au moins.
La Septième Obsession
"The Assassin" est une œuvre qui prouve sans cesse la suprématie de la mise en scène sur le récit, dans la mesure où celle-ci ne se contente pas de filmer ce dernier ou de l’illustrer, mais lui apporte au contraire contraste, distance, complexité et nuance.
Les Fiches du Cinéma
Un film de sabre atypique, poétique. Avec “The Assassin”, Hou Hsiao-hsien signe une rêverie splendide, fascinante, enchanteresse.
Les Inrockuptibles
Dans la Chine du IXe siècle, une sublime guerrière a pour mission de tuer son ancien amant. Entre tragédie et arts martiaux, du cinéma beau comme la foudre.
Libération
Film où le mouvement et la couleur tiennent plus que jamais lieu de calligraphie des climats intimes (...), "The Assassin" s’organise ainsi autour d’une poétique venteuse, qui imprime à l’image même cette représentation taoïste (...) selon laquelle le souffle est synonyme de pulsation intérieure autant que d’élan vital.
Première
Un choc esthétique, on vous dit.
Transfuge
Il faut être l'un des plus grands cinéastes vivants pour oser faire que la "dame en noir" incarnée par Shu Qi et dévolue à la fonction éponyme n'assassine personne.
Télérama
"The Assassin" pourrait paraître complexe. Certains personnages, importants, n'apparaissent que furtivement. Le cinéaste semble avoir construit son film en taillant dans le scénario. En vérité, rien ne manque, il faut juste saisir les indices, les mots, les gestes (...).
Voici
Un film somptueux.
20 Minutes
Prix de la mise en scène à Cannes, « The Assassin » est un film de sabre stupéfiant de beauté mais dont le sens profond peut demeurer bien mystérieux.
Cahiers du Cinéma
De la tradition du genre, le cinéaste n’a finalement gardé qu’une sorte d’amour dépouillé du beau geste, capable d’embrasser d’un même élan scintillements du passé et abstraction moderne, maîtrise absolue de soi et dénuement d’un cœur inconsolable.
La Croix
Le cinéaste taïwanais, au sommet de son art, signe une épopée sublime puisant aux sources de l’histoire chinoise mais digne des chefs-d’œuvre du Japonais Kurosawa.
Le Dauphiné Libéré
Une intrigue pas spécialement claire, mais un oeuvre d’une beauté époustouflante : quand le film d’arts martiaux se fait film d’art.
Le Monde
À travers ce chancellement constant du regard comme du récit, "The Assassin" réactive le plaisir si rare de se perdre dans les méandres d'un film, comme au plus profond d'une forêt de signes, tour à tour étranges et familiers, mais dont les scintillements nous guident sur les voies secrètes de nos mélancolies.
Ouest France
Aussi sublime que déroutant.
Paris Match
Le film est beau à se damner mais prend aussi le temps de peindre de magnifiques personnages que l'on pourrait qualifier de Shakespeariens - Hou Hsiao Hsien cite d'ailleurs "Ran", adaptation du "Roi Lear" par Akira Kurosawa, comme référence.
Studio Ciné Live
"The Assassin", première incursion du maître taïwanais dans le film d'action, est une pépite.
Sud Ouest
Le film est un ballet de costumes, de paysages et de mouvements. Mais il est surtout porté par une pureté de trait qui dans sa précision s'applique autant au cinéma qu'au sabre. Jamais décoratif, ce qui est un exploit, il est fondamentalement travaillé par une idée de la perfection.
TF1 News
Si son contenu semble opaque comme un secret précieusement gardé, la grâce de "The Assassin" nous atteint et sa beauté nous crève les yeux.
aVoir-aLire.com
Se refusant donc aussi bien au didactisme qu’à la profusion de morceaux de bravoure, Hou Hsia-hsien se montre un maître des ellipses et zones d’ombre, donnant à son œuvre les allures d’un polar crépusculaire.
Le Journal du Dimanche
Empruntant au théâtre d’ombres, à la peinture classique et aux films de fantômes, le film a l’élégance et l’inconvénient de se cantonner à un récit minimaliste dont il n’y a pas grand-chose à tirer.
VSD
Dans le registre de l’esthétisme forcené, de la lenteur aux allures de défi et du scénario qui raconte tout sauf une histoire, ce film de sabre est un cas d’école.
L'Express
Trente-neuf minutes pour voir le premier combat... d'une durée de cent quatre-vingt secondes et filmé de loin !