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Akamaru
3 133 abonnés
4 339 critiques
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1,0
Publiée le 20 octobre 2011
"Un balcon sur la mer" était destiné à devenir le film mémoriel de Nicole Garcia sur son enfance en Algérie.Las,la cinéaste ne parvient jamais à choisir entre le drame sentimental,le devoir de mémoire et le thriller immobilier.Dès le départ,le film est bancal,longuet,inintéressant.On est bien sûr heureux de retrouver Jean Dujardin dans un rôle consistant,mais on ne le sent pas tout à fait à sa place.Il n'est pas aidé par des répliques qui sonnent faux.Marie-Josée Croze est elle à domcile,dans le rôle d'une femme mystérieuse,distante,attirante,la clé de voûte d'un récit compliqué.Ce goût de Garcia pour la théâtralisation est un sérieux point faible.Les nombreux flash-backs dans l'Algérie de 1962 sont d'une naïveté confondante et n'apportent rien au sujet.La reconstitution de la Provence de 1990 est largement critiquable également.Ce qui est plus réussi,c'est l'ambiance,malaisante juste ce qu'il faut,et le portrait d'une femme en perdition.Et aussi la présence de Toni Servilo.En tout cas,le film passe à côté de son objectif:insister sur les traumatismes irrésolus de l'enfance.
Le balcon sur la mer : Un drame ou le ton est juste du début jusqu'à la fin. Et ça, grâce a des acteurs impeccables et authentique, Jean Dujardin en première ligne qui se révèle être encore une fois bon dans ce genre dramatique même si ça fait longtemps que j’ai envie de le revoir dans la comédie (vivement Brice de Nice 3). Après, le scénario est crédible et encore une fois authentique car il a rien d’une grande histoire avec des rebondissements… La, on suivrait presque un monsieur tout le monde qui retrouve une amie d’enfance ou il va retomber amoureuse mais elle caché quelque chose, un mystère qui va le pousser a la poursuive car elle est encore une fois vite partie et donc le passe va resurgir. Donc voila, le scénario est pas extravagant, ce qui fait sa force mais aussi sa faiblesse car le rythme du film est assez lent et il se passe pas grand-chose, ça manque un peu de punch. Vers le milieu, on commence un poil a décroché et les quelques rebondissement de surprenant pas. Mais globalement, c’est soigné, bien interprété et ça se regarde tranquillement.
une belle brochette d'invraisemblances, des flash-backs qui s'emmêlent les pinceaux, des explications vaseuses sur le rôle de l'Anglais, un mystère : comment Garcia a-t-elle persuadé Kiberlain de faire de la figuration, et une comédienne qui a l'air de faire suer, bref : une idée de départ qui fait pftttttttt et un ennui contagieux au bout de 30 mn !
JE L'AIMAIS. Pourquoi vouloir faire compliquer en rajoutant une intrigue financière à la sauce déjà manquant d'érotisme, d'émotion et de partage. Les ailes fragiles contre la carlingue froissée, changer de vie, changer d'amour.
une fois le secret découvert c'est vrai que l'histoire perd un peu de son intéret mais la sublime beauté de Marie-josée Croze nous laisse continuer a suivre le film avec envie avec une fin un peu bâclée et c'est bien dommage.Jean Dujardin est très crédible et joue de façon remarquable.
Assez inégal. Souffrant de longueur, d'une histoire peu crédible, le film de Garcia convainc dans la palette d'acteurs impeccables et cette histoire d'amour de jeunesse perdue.
Du balcon où j’étais, je n’ai pas vu grand-chose de palpitant. À part Marie-Josée Croze habituée à des rôles empreints de mystère comme dans « Ne le dis à personne », en femme fatale dans « Je l’aimais ». Elle en fait tourner des têtes celle-là. Nicole Garcia nous sert une petite intrigue au parfum de thriller hitchcockien qui s’avère vite superflue. Du balcon, tout est survolé, la relation de l’amant de Cathy et son père par exemple. À quoi sert Sandrine Kiberlain ? Pourquoi jouer un rôle qui aurait pu être tenu par une débutante ou une actrice habituée au troisième rôle ?! Copinage ? Sans doute. La marque de fabrique de la réalisatrice est de révéler la fragilité des hommes et Jean Dujardin n’y a pas échappé. Reste que je ne m’attarderais pas sur ce balcon plus longtemps.