Note moyenne
3,1
16 titres de presse
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Excessif
(...) la naïveté et le tempérament jusqu'au-boutiste du personnage incarné par François Damiens représentent surtout la promesse de nombreux éclats de rire. (...) Depuis une décennie, la Belgique représente un vivier de brillants metteurs en scène.(...) Matthieu Donck nous démontre que visiblement la source n'est pas encore prête à se tarir.
Le Journal du Dimanche
Dans ce premier film chaleureux et plein de bons sentiments, François Damiens louvoie habilement entre humour et sensibilité.
Les Fiches du Cinéma
"Torpédo" est une belle comédie douce-amère qui offre une jolie métaphore sur la famille du cinéma et la nostalgie d'une Belgique unie. Un premier film prometteur, porté par une bande d'acteurs impeccables.
Metro
Une formidable prestation de la part de François Damiens.
Ouest France
François Damiens porte de bout en bout ce road-movie entre Belgique et Bretagne avec son humour décalé, sa tendresse cachée, sa crédulité naïve et son perpétuel optimisme.
Ecran Large
Histoire cousue de fil blanc, réalisation old school, acteurs attachants... Comme on dit, c'est dans les bonnes vielles marmites que l'on fait les meilleures soupes.
L'Express
(...) "Torpédo" a le charme de ce cinéma propre au plat pays : sans prétention et plein de pertinence.
La Croix
Un drôle et beau film.
Le Monde
(...) une forte sensation de déjà-vu. (...) Heureusement, il y a François Damiens, dont la puissance comique a acquis une certaine autonomie par rapport aux films dans lesquels elle s'exerce.
Paris Match
Si ce road-movie belge est plutôt du genre poids lourd, on prend néanmoins plaisir à ce voyage au bout de la lose. Même si il ne nous emmène pas très loin.
Première
Un road-movie franco-belge débraillé et souvent émouvant. Dans sa dernière demi-heure, le film s'engage cependant sur des chemins de travers trop larmoyants.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télérama
Encore un rôle d'ahuri abruti pour François Damiens, se dit-on d'abord. Heureusement, la comédie vire au road-movie mélancolique entre Belgique et Finistère.
Cahiers du Cinéma
La mise en scène est d'une ringardise parfois affolante, le scénario, plein de grumeaux (...), mais il y a François Damiens.
Le Figaroscope
Après une très laborieuse première partie, la comédie prend un tour sympathique. Mais c'est bien tard...
Positif
L'abondance des gros plans de réactions outrées et des vastes cadrages de paysages routiers sans situation précise est le symptôme de cette incapacité à imaginer la réalité d'une aventure.