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I'm A Rocket Man
279 abonnés
3 086 critiques
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0,5
Publiée le 10 juin 2019
Alors là j'ai rarement été en colère comme ça devant un film ! Non mais quelle arnaque ! Déjà le scénario est bidon et pas crédible deux secondes mais alors que dire de Madame Donzelli ? Il faut bien trouver les mots pour ne pas dépasser les bornes tellement cette actrice me met hors de moi !! Elle joue mal, elle est insupportable à voir tant son côté loufoque et comique gâche tout et franchement elle coule définitivement le peu d'intérêt qu'avait ce film à la base. Déjà que tous les acteurs sont mauvais, que tous les personnages sont des caricatures mais alors elle c'est le pompon ! J'ai eu du mal à terminer le film tellement elle est insupportable et je met 0,5 (à défaut de pouvoir mettre un zéro pointé)
Malgré qu'il lui manque un petit quelque chose qui pourrait en faire un petit chef d'oeuvre, ce film reste un très bon film largement au dessus de la moyenne! La réalisation est bonne car simple et réaliste ce qui appuie très bien un scénario bien écrit et psychologiquement dynamique, malgré quelques clichés récurrents. En effet tout est basé sur la psychologie du personnage principal que Virginie Wagon fait évolué avec justesse grâce à ses plans et scènes bien choisies. Et que dire de l'actrice principale majestueuse, et intense, son jeu est complexe et très juste! Non vraiment un très bon téléfilm, il mérite d'être mieux diffusé!
13 605 abonnés
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3,0
Publiée le 14 mars 2022
Un jour Bèa dètourne un chèque...et c'est le dèbut de « la belle vie » [...] Ascension et dèchèance d'une femme transfigurèe et propulsèe dans l'univers de la haute finance et de la logistique! L'histoire est plutôt bien agencèe et maintient la spirale jusqu'au bout sans èviter toujours une certaine outrance! Valèrie Donzelli est convaincante et illustre l'irrèversible descente aux enfers d'une simple assistante qui se laisse emporter par le luxe et la vie de château! L'actrice se met à nue dans tous les sens du terme et quand elle veut quelque chose, elle l'obtient! Bonne idèe de montrer dans ce tèlèfilm que tous les banquiers sont les mêmes, surtout quand le client a de l'argent! Bonne idèe de montrer ègalement que les patrons, même escrocs, peuvent tomber sur plus forts qu'eux! Bref, on ne s'ennuie pas grâce au jeu intensif de Donzelli en pleine sèrie noire! A dècouvrir par le biais de Arte...
Jamais vu un film aussi mal joué !!! Ca ne vaut même pas un téléfilm. Tout est prévisible. On dirait une bande de débutants au théâtre. Le scénario est nul et l'actrice principale en fait des tonnes.. La pauvre. Enfin ils en font tous des tonnes, c'est ridicule.
Moi qui m'aventure rarement au rayon des téléfilms français, le sujet de « La Belle Vie » m'a donné envie de faire une exception, ce thriller politico-bancaire filmé juste avant la crise de 2008 étant encore d'une troublante actualité. Bien rythmé, filmé avec l'intensité qu'il faut, le parcours de cette anti-héroïne nous saisit rapidement pour ne plus vraiment nous lâcher, l'habileté du scénario étant de nous placer irrémédiablement de son côté malgré une dimension fort peu aimable. J'ai adoré cette manière de représenter la très haute finance, où les sommes d'argent phénoménales ne sont jamais montrées en billet, uniquement à travers les objets, les activités, le décor... Ce choix s'avère extrêmement immersif et donne une idée assez précise de l'univers dans lequel baigne ces gens de pouvoir, incarnés brillamment par un Michel Voïta plus vrai que nature. On ne peut presque qu'avoir alors de la sympathie pour Béatrice, du moins comprendre à quel point il doit être difficile de ne pas être tenté de mener, à son tour, ce train de vie hallucinant. L'attirance irrémédiable que celle-ci a pour ce luxe infini, jusqu'à l'entraîner dans une spirale sans fin, est également décrite avec beaucoup de réussite, Valérie Donzelli signant une prestation inattendue dans un rôle compliqué : un choix de casting étonnant totalement récompensé. J'ai été un peu moins convaincu par certains choix formels, légèrement « poseurs » et portés sur le nu, ainsi que par l'histoire d'amour, clairement l'aspect le moins intéressant, bien qu'amenant certaines situations fortes (enfin, surtout une). Bref, alors que je craignais un énième sujet de qualité traité sans allant ni talent, félicitations à Virginie Wagon aussi bien pour son travail d'écriture que de mise en scène (à quelques exceptions, donc) : de quoi retrouver un peu la foi dans le talent de nos auteurs.
Un plutôt bon téléfilm comme Arte les livre de tps en tps, en l'occurence sur la revanche d'une classe opprimée à travers cette ambitieuse héroine prénommée Bea - tombant ensuite malgré elle dans le piège du "bling-bling" ou de l'arrivisme sans scrupules ne tolérant aucune nouveauté ni de personne pas fichée au who's who, surtout à l'intérieur de la vieille capitale -: hélas les clichés redondants et/ou le manque de moyens font apparaître comme inique toute surprise ou changement ultérieur du script.
Un vrai navet. J'ai eu du mal a aller jusqu'à la fin. On dirait une pièce de théâtre bas de gamme .L'actrice principale joue si mal que ça devient pénible. Elle surjoue. Ça ne tient pas la route. Scénario sans surprise. Ça aurait pu être bien mais raté totalement..