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Votre avis sur Clueless ?
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Shawn777
Teen movie culte aux États-Unis, un peu moins connu en France, réalisé par Amy Heckerling et sorti en 1995, il n'a pas volé sa bonne réputation ! M'attendant plus à quelque chose du style "Elle est trop bien", j'ai longuement hésité avant de me lancer dans le film et puis bon, étant amateur de teen movie, je me suis finalement laissé tenter et franchement, je ne regrette pas. Cher, étudiante blonde et superficielle, décide de faire des bonnes actions afin de contredire les propos de son ex-demi-frère. Elle va ainsi se mettre en tête de s'occuper de la nouvelle venue. Bon voilà, faut pas s'attendre à un pitch de dingue, on est dans un teen movie des années 90 ! Mais malgré tout, je trouve qu'il se démarque du reste car, même s'il accumule les clichés du genre (et en même temps, c'est un peu ça aussi qu'on aime), il est beaucoup moins vulgaire et humour pipi/caca que la plupart des teen movies des années 90 et 2000. On retrouve même ici quelque chose de gentillet avec des personnages pas si débiles que ça, Cher parait un peu à la ramasse mais c'est avant tout lié à sa situation sociale de fille-à-papa qui ne connait pas grand chose au reste du monde, mis-à-part son univers. Nous avons donc des scènes un peu touchantes mais surtout bourrées d'humour et puis nous passons un bon moment quoi, c'est le feel good movie par excellence. Bon en dehors de ça, c'est vrai que l'aspect comédie romantique n'est pas vraiment recherché, la fin est prévisible mais les personnages sont, je trouve, bien écrits et surtout très bien ancrés dans les années 90. En ce qui concerne les acteurs, nous retiendrons Alicia Silverstone, Brittany Murphy, Stacey Dash, Paul Rudd etc. qui jouent très bien. "Clueless" n'est donc pas un film extraordinaire mais il nous fera malgré tout passer un bon moment, surtout pour les amateurs du genre !
Yves G.
Cher Horowitz (Alicia Silverstone) a seize ans. Elle habite seule avec son père une immense villa luxueuse de Beverly Hills. Avec son inséparable amie Di (Stacey Dash), elle est la coqueluche de son lycée. Quand arrive en milieu d'année une nouvelle élève, Tai (Britanny Murphy), Cher et Di la prennent sous leurs ailes et tentent de lui trouver un petit ami. Si Di a un copain, la vie sentimentale de Cher est plus compliquée : Cher rejette Elton qui la courtise, essaie de séduire Christian, qui s'avère être homo. Trouvera-t-elle le bonheur avec Josh (Paul Rudd), le fils d'un premier lit de la nouvelle épouse de son père ?
Sorti en 1995, "Clueless" est un film d'anthologie au point de figurer parmi les "1001 films à voir avant de mourir". Il est considéré parfois comme le film ayant lancé la mode des "teen movies", parfois comme le meilleur jamais réalisé. Ces deux affirmations sont sujettes à caution.
Le genre des "teen movies" n'est pas né avec "Clueless". Il lui était préexistant. Sans en faire remonter la naissance aux années cinquante et considérer que "L'Équipée sauvage" avec Marlon Brando ou "La Fureur de vivre" avec James Dean en constitue les premières manifestations, le genre émerge dans les années soixante-dix avec "American Graffiti". Il connaît un premier âge d'or dans les années quatre-vingts avec les comédies de John Hughes ("Seize bougies pour Sam", "The Breakfast Club", "Une créature de rêve", "La Folle Journée de Ferris Bueller"...) et l'émergence de sous-genres musicaux ("Grease"), d'horreur ("Carrie") ou de science-fiction ("Retour vers le futur" et ses suites) . Si "Clueless" marque l'histoire des "teen movies", c'est en en relançant la mode et, par son humour gentiment ironique, en ouvrant la voie à toute une série de films similaires ("Lolita malgré moi, "La Revanche d'une blonde", etc.) ainsi qu'aux délirantes comédies de Judd Apatow de la décennie suivante.
À défaut d'être le film qui a initié le genre des "teen movies", "Clueless" est-il le meilleur film du genre ? Je ne suis pas de cet avis. Loin s'en faut. Peut-être, comme pour Jet Set il y a quelques jours, "Clueless" a-t-il mal résisté à l'épreuve du temps et m'aurait-il paru plus aimable si je l'avais vu à sa sortie. Peut-être aussi étais-je meilleur public pour ce genre de films-là à vingt-cinq ans qu'à cinquante. Pour autant, je n'ai rien trouvé de drôle ni d'intelligent à cette laborieuse adaptation du "Emma" de Jane Austen, qui transpose dans un lycée ultra-chic de Californie les délicieux marivaudages géorgiens de l'auteure pleine d'ironie de "Orgueil et préjugés". Sans doute Alicia Silverstone y est-elle délicieuse - même si je la confonds toujours avec Reese Witherspoon - et ses tenues, même si la mode a changé en vingt-cinq ans, sont-elles incroyables. Mais ce sont bien là les seuls atouts de ce film étonnamment surcoté.
Sorti en 1995, "Clueless" est un film d'anthologie au point de figurer parmi les "1001 films à voir avant de mourir". Il est considéré parfois comme le film ayant lancé la mode des "teen movies", parfois comme le meilleur jamais réalisé. Ces deux affirmations sont sujettes à caution.
Le genre des "teen movies" n'est pas né avec "Clueless". Il lui était préexistant. Sans en faire remonter la naissance aux années cinquante et considérer que "L'Équipée sauvage" avec Marlon Brando ou "La Fureur de vivre" avec James Dean en constitue les premières manifestations, le genre émerge dans les années soixante-dix avec "American Graffiti". Il connaît un premier âge d'or dans les années quatre-vingts avec les comédies de John Hughes ("Seize bougies pour Sam", "The Breakfast Club", "Une créature de rêve", "La Folle Journée de Ferris Bueller"...) et l'émergence de sous-genres musicaux ("Grease"), d'horreur ("Carrie") ou de science-fiction ("Retour vers le futur" et ses suites) . Si "Clueless" marque l'histoire des "teen movies", c'est en en relançant la mode et, par son humour gentiment ironique, en ouvrant la voie à toute une série de films similaires ("Lolita malgré moi, "La Revanche d'une blonde", etc.) ainsi qu'aux délirantes comédies de Judd Apatow de la décennie suivante.
À défaut d'être le film qui a initié le genre des "teen movies", "Clueless" est-il le meilleur film du genre ? Je ne suis pas de cet avis. Loin s'en faut. Peut-être, comme pour Jet Set il y a quelques jours, "Clueless" a-t-il mal résisté à l'épreuve du temps et m'aurait-il paru plus aimable si je l'avais vu à sa sortie. Peut-être aussi étais-je meilleur public pour ce genre de films-là à vingt-cinq ans qu'à cinquante. Pour autant, je n'ai rien trouvé de drôle ni d'intelligent à cette laborieuse adaptation du "Emma" de Jane Austen, qui transpose dans un lycée ultra-chic de Californie les délicieux marivaudages géorgiens de l'auteure pleine d'ironie de "Orgueil et préjugés". Sans doute Alicia Silverstone y est-elle délicieuse - même si je la confonds toujours avec Reese Witherspoon - et ses tenues, même si la mode a changé en vingt-cinq ans, sont-elles incroyables. Mais ce sont bien là les seuls atouts de ce film étonnamment surcoté.
Absolument affligeant d'absurdité scénaristique, de clichés psychologiques (notamment sur le corps enseignant) et de vacuité humoristique dans sa première partie, le film évolue ensuite vers une simple bluette attendue, toujours pas drôle mais plus supportable. Au sein d'un casting inégal se distinguent un séduisant Paul Rudd et une pétillante Brittany Murphy. Le statut de film culte conserve tous ses mystères!
Alicia Silverstone est parfaite dans cette comédie légère qui sent bon les années 90 : elle semble faite pour le rôle de Cher et le rôle écrite pour elle. Dommage que son crush à la fin tombe un peu comme un cheveu sur la soupe.
Rien d'exceptionnel dans ce film, mais on passe un bon moment et c'est déjà pas mal.
Rien d'exceptionnel dans ce film, mais on passe un bon moment et c'est déjà pas mal.
ce film est censé être un grand classique des teens movies américain , a moins qu'il est mal vieillit , mais je n'ai pas été enjoué tout au long du film.
J’ai bien aimé ce film mais l’histoire est déjà trop vue et au milieu du film on s’imagine déjà comment ça se finir le film.Je conseille pour une soirée pyjama entre amis.
Clueless étant considéré comme un classique, je lui ai donné sa chance. C'est un film sympathique, les tenues des personnages sont devenues iconiques et en tant que fan de mode, j'ai beaucoup apprécié. Le scénario n'est selon moi pas fou, mais le film se laisse tout de même regarder, j'ai passé un bon moment.
Un bon teen age, même s’il est quelques peu lent et passif. Proche de Lol et d’Elephant, le film sait se rendre plaisant pour ses dialogues et son scénario amusants. Je le déconseille aux moins de 7 ans. 3/5
Vraiment pas mal dans le genre cucu, bien mieux que tous les revanche d'une blonde et tralala mais dans le même style pour autant. il y a pleins de refrènes faite par certains artistes d'aujourd'hui à ce film donc a voir pour ne pas se prendre la tête.
L’histoire est à la fois banale, clichée et superficielle, tout comme ses personnages. C’est assez long, plat et sans surprises. On tourne en rond et c’est assez décevant.
Les années passent...pour ce film aussi mais Clueless garde son rang de teen movie majeure des années 90. Grace à des dialogues brillants et l'ironie propagée par la voix off d'Alicia Silverstone. La comédie regarde aussi avec un regard percant le culte de l'image et la "popularité" qu'on trouve dans les lycées.
Eric C.
Teen movie pour très très jeunes, hyper gentillet mais finalement assez frais et pas désagréable. Un milieu de fille friquée superficielle mais sympathique au final et pas peste avec un côté très romantique. Un film sans méchanceté et l'engagement sympathique de Alicia Silverstone en poupée Barbie un peu naïve. Un film qui ne casse pas 3 pattes à un canard mais idéal et très sain pour une soirée entre filles de jeunes ados.
this is my movies
Alors, le film est-il une satire de la jeunesse dorée des beaux quartiers de LA ? Oui et non. Incontestablement, en dépit de son image sucrée, le film propose un sous-texte assez acide et empile les répliques vachardes ou bien formidablement rythmées. Il faut dire que le casting compte quelques talents avec outre le casting féminin, un P. Rudd magistral et un D. Hedaya exceptionnel plus quelques débutants sympathiques comme J. Sisto et D. Faison. Le trio de garces (en tête, A. Silverstone, à la fois exaspérante et très craquante) compose un personnage suffisamment attachant et malin pour nous captiver. Les péripéties traverser par l'héroïne reflète assez bien les phases de l'adolescente (le contexte étant largement différent j'en conviens mais le message arrive à être universel) et comme c'est drôle, enlevé et pertinent de bout en bout, on passe un bon moment. D'autres critiques sur
Quelques bonnes citations "You think I'm beautiful ? - Yeah... a little", de bonnes musiques (années 90), un second degré très prononcé, mais je me suis beaucoup ennuyée, en revanche les 20 dernières minutes sont sympa, et on rigole quelques fois.
Une petite comédie simplette pour adolescentes, on passe un bon moment malgré tout au milieu des Gossip Girls version années 90.
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