Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
CinemaTeaser
par La Rédaction
La poésie, pure ou morbide, de "Ça" fait de lui un très grand récit d'apprentissage et, ce qui ne gâte rien, un excellent film d'horreur.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un film effrayant, drôle et réussi.
20 Minutes
par Caroline Vié
Après la série culte "Il est revenu", le roman de Stephen King "Ça" connaît une adaptation réussie sur grand écran avec ce film d’Andrés Muschietti au suspense solide.
CNews
par La Rédaction
Aucune raison que le public français ne boude son plaisir, avec ce savant cocktail d’épouvante et cette tension implacable fondée sur la peur viscérale des clowns
Closer
par La Rédaction
Fidèle adaptation du livre de Stephen King, "Ça" est une réussite en matière d'épouvante.
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Transposée au cinéma, la première partie de l'histoire devient un petit film d'angoisse efficace mais un peu limité, qui ne parvient pas à capter toute l'ampleur de ce personnage iconique. Mais grâce aux excellents acteurs, une direction artistique très réussie et quelques idées saisissantes, le club des losers nous embarque avec eux.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Ophélie Daguin
"Ça" promet de vous faire rire avant de vous émouvoir, l’instant d’après. Sans jamais oublier de vous effrayer. Vous êtes prévenu(e)s.
La critique complète est disponible sur le site Elle
IGN France
par Vincent de Lavaissiere
La nouvelle adaptation du célèbre roman horrifique de Stephen King flotte avec brio sur le succès.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
L'Ecran Fantastique
par Gilles Penso
(...) le cinéaste argentin retourne aux sources du texte initial, tourne volontairement le dos au téléfilm de Tommy Lee Wallace pour éviter toute comparaison et nous offre ce qu'il n'est pas exagéré de considérer comme l'un des meilleurs films d'horreur de ces dernières années.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Une adaptation réussie du roman de Stephen King, déjà en tête du box-office américain.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Andy Muschietti, le réalisateur argentin à qui on doit l’excellent Mamá (2013), filme la perte de l’innocence enfantine dans une ambiance soigneusement malsaine, mais en limitant la violence graphique pour rendre le film accessible au plus grand nombre.
Le Point
par David Mikanowski
Tournée à Port Hope, dans l'Ontario, au Canada, cette chronique sensible de l'adolescence est aussi irréprochable sur la forme (photo, direction artistique, mixage sonore). Et sa bande-son 80's combinant The Cure, le groupe de thrash metal Anthrax, le rappeur Young MC… et le boy band ringard New Kids on the Block est jouissive !
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Le réalisateur de “Mama” revisite, avec une efficacité indéniable, l’une des œuvres-phare de Stephen King.
Mad Movies
par Didier Allouch
Adaptation intelligente mais un peu sage. Les gamins et Pennywise sont top.
Paris Match
par Clément Mathieu
Le clown de "Ça" peine un peu à effrayer sous les images de synthèse, mais la bande de gamins à la "Stranger Things" devrait emballer le public au-delà des amateurs de films d'horreur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Pierre Lunn
Pour la première fois, ce carnaval de cauchemars « kingien », ce bazar cosmogonique qui se définit aussi par son abondance, prend corps à l’écran avec une grandeur et une autorité (et un budget) dignes de ce nom.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Fabien Reyre
"Ça" est un sympathique hybride, un pur produit habilement marketé qui exploite au maximum la nostalgie pour la mini-série originale mais a suffisamment de coeur et de respect pour ses personnages pour ne pas sombrer dans le recyclage cynique et désincarné d’une madeleine pop.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par A.L.F.
A défaut de l'épouvante attendue, on voit surtout un groupe d'adolescents complices, découvrant la vie et les premières amours.
L'Obs
par Nicolas Schaller
(...) le film, calibré pour plaire aux nostalgiques du divertissement spielbergien et aux amateurs de la série "Stranger Things", se double d'une dimension plus tordue et fidèle au roman de King, à destination des fans de Freddy et autres cauchemars horrifiques de l'Amérique pavillonnaire. Cette adaptation réussie y gagne un supplément d'âme.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le fil du récit, simple mais efficace et généreux, se résume en quelques mots : ensemble, on est plus fort.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une nouvelle adaptation du roman de Stephen King, qui, tout en suivant avec application les lois du genre et en entretenant le malaise avec efficacité, quoiqu’un peu longuement, fait sentir sans l’édulcorer la symbolique sexuelle de l’enfance confrontée à ses peurs : de quoi frémir.
Le Figaroscope
par Jean Talabot
Malgré les incessantes apparitions d’un clown gothique qu’on croirait monté sur ressort, le film ne se résume pas à un concours de renversement de pop-corn. L’horreur vient de l’imagination des enfants et se retrouve à l’écran fantasmée : une maison hantée cartoonesque, des zombies lépreux, etc.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Rolling Stone
par Louise-Camille Bouttier
Mené par des acteurs impressionnants, "Ça" manque parfois de subtilité.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Frédéric Strauss
Une vision plus intéressante se développe heureusement dans la seconde partie du film. Le terrible clown n’y est plus seulement un diable sortant de sa boîte mais la représentation grinçante d’une peur qu’il s’agit d’apprivoiser et, au-delà, des démons de tout un chacun.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Sur une trame assez fidèle au roman de Stephen King, une adaptation sympathique, toutefois loin de l’œuvre cauchemardesque, perverse, et même mystique, que ce long-métrage a édulcorée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Andrés Muschietti tente une résurgence de l’horreur outrancière et caoutchouteuse des années 80 mais n’aboutit qu’à des scènes gênantes. Les meilleurs moments restent ceux où les héros sillonnent la ville hantée pendant leur été maléfique. Pour réussir Ça, il aurait fallu plus de subtilité et de retenue dans la représentation du mal.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La production a mis le paquet dans la visualisation de décors soignés et spectaculaires, mais l’esbroufe prend le dessus avec au bout du chemin, une certaine vacuité.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Thomas Sotinel
L’adaptation du roman de Stephen King remplit son contrat, sans éclat.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Muschietti a beau déverser des litres de sang dans une salle de bains et rajouter cinq rangées de dents à son clown, sa capture d’une Amérique reculée faite de racisme, de peurs enfantines et de parents défaillants est bien pâle et peu incarnée.
Libération
par Olivier Lamm
Ça écrase, ça hurle, ça tabasse, et c’est comme si le modèle de la saynète d’épouvante n’était plus le tour de train fantôme mais la rave party à l’américaine : écarté la peur du noir et des traumas d’enfance, il n’est question que de tanguer en l’attente avide de drops, ces décharges artificielles d’émotion qui se substituent grossièrement au plaisir et n’étanchent aucune pulsion.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Philippe Rouyer
(...) passé la très belle et très effrayante séquence d'ouverture, le film est trop convenu pour faire peur durablement.
Studio Ciné Live
par Antoine Le Fur
Une chronique sensible et plutôt bien retroussée sur l'adolescence, mais qui laisse sur sa faim côté angoisse.
CinemaTeaser
La poésie, pure ou morbide, de "Ça" fait de lui un très grand récit d'apprentissage et, ce qui ne gâte rien, un excellent film d'horreur.
Ouest France
Un film effrayant, drôle et réussi.
20 Minutes
Après la série culte "Il est revenu", le roman de Stephen King "Ça" connaît une adaptation réussie sur grand écran avec ce film d’Andrés Muschietti au suspense solide.
CNews
Aucune raison que le public français ne boude son plaisir, avec ce savant cocktail d’épouvante et cette tension implacable fondée sur la peur viscérale des clowns
Closer
Fidèle adaptation du livre de Stephen King, "Ça" est une réussite en matière d'épouvante.
Ecran Large
Transposée au cinéma, la première partie de l'histoire devient un petit film d'angoisse efficace mais un peu limité, qui ne parvient pas à capter toute l'ampleur de ce personnage iconique. Mais grâce aux excellents acteurs, une direction artistique très réussie et quelques idées saisissantes, le club des losers nous embarque avec eux.
Elle
"Ça" promet de vous faire rire avant de vous émouvoir, l’instant d’après. Sans jamais oublier de vous effrayer. Vous êtes prévenu(e)s.
IGN France
La nouvelle adaptation du célèbre roman horrifique de Stephen King flotte avec brio sur le succès.
L'Ecran Fantastique
(...) le cinéaste argentin retourne aux sources du texte initial, tourne volontairement le dos au téléfilm de Tommy Lee Wallace pour éviter toute comparaison et nous offre ce qu'il n'est pas exagéré de considérer comme l'un des meilleurs films d'horreur de ces dernières années.
Le Figaro
Une adaptation réussie du roman de Stephen King, déjà en tête du box-office américain.
Le Journal du Dimanche
Andy Muschietti, le réalisateur argentin à qui on doit l’excellent Mamá (2013), filme la perte de l’innocence enfantine dans une ambiance soigneusement malsaine, mais en limitant la violence graphique pour rendre le film accessible au plus grand nombre.
Le Point
Tournée à Port Hope, dans l'Ontario, au Canada, cette chronique sensible de l'adolescence est aussi irréprochable sur la forme (photo, direction artistique, mixage sonore). Et sa bande-son 80's combinant The Cure, le groupe de thrash metal Anthrax, le rappeur Young MC… et le boy band ringard New Kids on the Block est jouissive !
Les Fiches du Cinéma
Le réalisateur de “Mama” revisite, avec une efficacité indéniable, l’une des œuvres-phare de Stephen King.
Mad Movies
Adaptation intelligente mais un peu sage. Les gamins et Pennywise sont top.
Paris Match
Le clown de "Ça" peine un peu à effrayer sous les images de synthèse, mais la bande de gamins à la "Stranger Things" devrait emballer le public au-delà des amateurs de films d'horreur.
Première
Pour la première fois, ce carnaval de cauchemars « kingien », ce bazar cosmogonique qui se définit aussi par son abondance, prend corps à l’écran avec une grandeur et une autorité (et un budget) dignes de ce nom.
Critikat.com
"Ça" est un sympathique hybride, un pur produit habilement marketé qui exploite au maximum la nostalgie pour la mini-série originale mais a suffisamment de coeur et de respect pour ses personnages pour ne pas sombrer dans le recyclage cynique et désincarné d’une madeleine pop.
L'Express
A défaut de l'épouvante attendue, on voit surtout un groupe d'adolescents complices, découvrant la vie et les premières amours.
L'Obs
(...) le film, calibré pour plaire aux nostalgiques du divertissement spielbergien et aux amateurs de la série "Stranger Things", se double d'une dimension plus tordue et fidèle au roman de King, à destination des fans de Freddy et autres cauchemars horrifiques de l'Amérique pavillonnaire. Cette adaptation réussie y gagne un supplément d'âme.
La Croix
Le fil du récit, simple mais efficace et généreux, se résume en quelques mots : ensemble, on est plus fort.
Le Dauphiné Libéré
Une nouvelle adaptation du roman de Stephen King, qui, tout en suivant avec application les lois du genre et en entretenant le malaise avec efficacité, quoiqu’un peu longuement, fait sentir sans l’édulcorer la symbolique sexuelle de l’enfance confrontée à ses peurs : de quoi frémir.
Le Figaroscope
Malgré les incessantes apparitions d’un clown gothique qu’on croirait monté sur ressort, le film ne se résume pas à un concours de renversement de pop-corn. L’horreur vient de l’imagination des enfants et se retrouve à l’écran fantasmée : une maison hantée cartoonesque, des zombies lépreux, etc.
Rolling Stone
Mené par des acteurs impressionnants, "Ça" manque parfois de subtilité.
Télérama
Une vision plus intéressante se développe heureusement dans la seconde partie du film. Le terrible clown n’y est plus seulement un diable sortant de sa boîte mais la représentation grinçante d’une peur qu’il s’agit d’apprivoiser et, au-delà, des démons de tout un chacun.
aVoir-aLire.com
Sur une trame assez fidèle au roman de Stephen King, une adaptation sympathique, toutefois loin de l’œuvre cauchemardesque, perverse, et même mystique, que ce long-métrage a édulcorée.
Cahiers du Cinéma
Andrés Muschietti tente une résurgence de l’horreur outrancière et caoutchouteuse des années 80 mais n’aboutit qu’à des scènes gênantes. Les meilleurs moments restent ceux où les héros sillonnent la ville hantée pendant leur été maléfique. Pour réussir Ça, il aurait fallu plus de subtilité et de retenue dans la représentation du mal.
Franceinfo Culture
La production a mis le paquet dans la visualisation de décors soignés et spectaculaires, mais l’esbroufe prend le dessus avec au bout du chemin, une certaine vacuité.
Le Monde
L’adaptation du roman de Stephen King remplit son contrat, sans éclat.
Les Inrockuptibles
Muschietti a beau déverser des litres de sang dans une salle de bains et rajouter cinq rangées de dents à son clown, sa capture d’une Amérique reculée faite de racisme, de peurs enfantines et de parents défaillants est bien pâle et peu incarnée.
Libération
Ça écrase, ça hurle, ça tabasse, et c’est comme si le modèle de la saynète d’épouvante n’était plus le tour de train fantôme mais la rave party à l’américaine : écarté la peur du noir et des traumas d’enfance, il n’est question que de tanguer en l’attente avide de drops, ces décharges artificielles d’émotion qui se substituent grossièrement au plaisir et n’étanchent aucune pulsion.
Positif
(...) passé la très belle et très effrayante séquence d'ouverture, le film est trop convenu pour faire peur durablement.
Studio Ciné Live
Une chronique sensible et plutôt bien retroussée sur l'adolescence, mais qui laisse sur sa faim côté angoisse.