Le caractère essentiel du message de ce film et ses intentions plus que louables ne peuvent pas occulter les grandes carences de cette grosse production française. Outre l'académisme de la mise en scène, c'est avant tout le scénario, qui privilégie l'histoire d'amour au détriment du fait historique, qui pose problème. Les comédiens s'en sortent bien. Cette fresque historique aurait mérité un traitement moins académique.
Un bon film sur la résistance qui raconte une histoire vraie mais qui laisse un gout d'inachevé. Le sujet aurait eu le mérite d'être plus creusé, qu'il y ait plus d'intensité, d'action. Le film traîne un peu en longueur et ne laisse que peu de place à la surprise.
Ce filme est une source d’inspiration pour les femmes et même les hommes. Carole Bouquet a capturé l’attitude des membres de la résistance en ce qui concerne les Nazis vraiment efficacement et Claude Berri a dépeint les intrigues secondaires a la perfection. Le seul criticisme que je voudrais justifier est que je n’étais sur des motifs de Lucie vers la fin du film. Je trouve qu’elle ait perdu sa concentration quand son mari était incarcéré et elle a perdu la vue de la résistance et sa motifs étaient plus égoïste, et je dirais qu’elle a agi pour sauver son mari par rapport a résister les Nazis.
Ce film est principalement une histoire plaisante de deux personnes pendant une période difficile durant la seconde guerre mondiale. Le film est fondé pendant la Résistance qui est intéressant et au début il y a quelques événements de résistance qui sont captivants. Cependant si on voulait un film historique avec l’action, ce film n’est pas pour vous. Ce film est une romance qui est très touchante, et malgré le fait que Bouquet est quelquefois un peu froide avec le rôle, la relation entre Auteuil et Bouquet est bien dépeinte. En total, j’ai apprécié regarder Lucie Aubrac et je crois qu’il vaut la peine de le regarder.
Le film “Lucie Aubrac” raconte l’histoire d’une femme qui perd son mari aux Nazis pendant l’occupation de la France en les 1940s. J’ai trouvé que Claude Berri a adapté l’histoire dans une façon très réaliste – tous les décors ressemblait vraiment la vie quotidienne de cette époque, et Berri donne une histoire plein d’émotions qui étaient présentes parmi les français de souche. En termes des acteurs, j’ai pensé qu’Auteil et Bouquet étaient un couple très fort sur l’écran. Ils étaient un bon moyen de communication en qu’ils ont créent une histoire d’amour à côté une biographie historique. C’est un film a ne pas manqué!
Ce film raconte la lutte d’un couple marié contre les Nazis. Cependant, bien que l’intrigue retrace fidèlement quelques événements importants pendant la seconde guerre mondiale, on ne peut pas nier le fait que l’interprétation soit principalement romantique. Lucie Aubrac était très patriotique et une héroïne en France, toutefois le film montre seulement sa relation avec son mari avec une interprétation, par Carole Bouquet, qui manque d’émotion. Si vous voudriez regarder un film historique, l’authenticité des dehors et des événements est super, mais, si vous voudriez regarder un film romantique, regarder quelque chose d’autre.
Un personnage féminin très fort pour ce film sur la Résistance à la mise en scène froide et impersonnelle, au jeu d'acteurs sans relief (à part peut-être l'excellent Jean-Roger Milo). Manque cruel d'envergure dans la réalisation. Sans plus.
Film historique assez bien réussi qui nous plonge dans la résistance et l'horreur de la guerre. Une femme prête à tous pour faire libérer son homme. Des acteurs convaincants
Contrairement à ce que le titre laisse croire, "Lucie Aubrac" est plus proche du témoignage historique que du biopic. L'intérêt d'une telle œuvre, adaptation cinématographique du livre de Lucie Aubrac, est double : porter un éclairage sur un épisode crucial de l'Occupation, id est l'arrestation de Jean Moulin, et de façon plus secondaire fournir aux gônes un catalogue des lieux de mémoire lyonnais des années noires. On pouvait légitimement s'attendre à des révélations choc, des scènes rocambolesques et de l'émotion en barre. Pourtant, le résultat s'avère plus que banal, la qualité générale étant celle d'un téléfilm. Claude Berri a clairement sacrifié l'intérêt dramatique sur l'autel du respect historique. Carole Bouquet a beau livrer une prestation admirable, on somnole un peu. Par ailleurs, on ne baigne pas vraiment dans l'atmosphère Occupation. Ecouter la TSF le soir, faire l'amour, aller à des réunions tupperware... telles sont les activités quotidiennes qui s'offrent à nous. Ambiance musicale elle-aussi proche du néant, la recherche de réalisme semblant annihiler toute possibilité d'un vrai décorum. Un peu déçu donc.
Faut-il une guerre pour voir un paroxysme s’exprimer ? Le pire c’est quand tout va bien.
Les cœurs s’éteignent dans la routine du quotidien où il ne se passe plus rien, les passions depuis longtemps consommées ne sont plus qu’un lointain souvenir.
N’est-il pas salutaire d’être soudainement fragilisé, d’avoir peur de tout perdre, de combattre afin de conserver le bien le plus cher au monde.
Lucie projetée en pleine guerre lutte sur deux fronts, La résistance et la sauvegarde de son couple.
La résistance ce sont des amis surs déterminés à chasser l’arrogance de l’occupant piétinant un patrimoine, ces hommes luttent afin de récupérer leurs libertés de citoyens en encadrant à la perfection Lucie femme aimante et aimée de Raymond son mari arrêté puis anéanti physiquement par la question.
L’imagination déployée par Lucie et son groupe afin de récupérer Raymond est une détermination presque surnaturelle.
A travers la résistance, un macrocosme responsable se déploie sur un terrain dessinant en parallèle un microcosme nommé amour et amitié envers un homme dans la peine que l’on désire absolument sauver tout en exécutant un engagement de base.
Le respect de l'homme et de la mission.
C’est le cœur qui parle à travers un groupe soudé devant l’épreuve de l’occupation qu’il faut combattre tout en vivant une vie sentimentale, Lucie se bat et aime. Deux ingrédients indispensables montrant que l’on existe.
Claude Berri réalise un film sobre, exemplaire, la minutieuse reconstitution historique est un respect offert à l’histoire de ces hommes et de ces femmes investis afin qu’un pays dans la tourmente retrouve une identité perdue.
L’histoire de Lucie et Raymond Aubrac, résistants exemplaires, se suffit à elle-même. Claude Berri en tire un film tout à fait honnête. Il ne fait pas dans l’héroïsme, il insiste même assez frontalement sur la peur que pouvait ressentir ces simples hommes et femmes engagés dans la résistance, face à un occupant cruel et terrifiant. Il rappelle également quelques vérités douloureuses sur la collaboration zélée de la police française.