un film assez mou, je suis déçu, pourtant Michel Blanc est un bon acteur, surtout dans les rôles d’hypocondriaque mais le film tourne trop en rond je trouve
Une comédie française qui arrive à nous tirer le sourire sans trop de difficultés. Le scénario tient la route tout comme les acteurs. A voir pour passer une bonne soirée.
Un très bon film ! Un très agréable moment de détente en abordant des sujets qui touchent tout le monde et qui font réfléchir. Un peu long à démarrer mais après un vraie régal à regarder. Michel Blanc est génial, il est comme un bon vin, il se bonifie en vieillissant et c’est un fin observateur des rapports familiaux de nos jours. Les dialogues sont savoureux et mordants et servi par des comédiens impeccables
Excellent film, drôle, malgré bien des côtés dramatiques. J'ai beaucoup ri en suivant les aventures incroyables de ce pauvre Michel Blanc hypocondriaque. Des scènes incroyables, déjantées, malgré tout réalistes. Une pleiade de formidables comédiens, le bonheur de revoir Mioui-Miou. Un grand film, assurément !
Ah ! Une bonne comédie française... ça fait du bien! Ca nous manquait. Une petite zone de turbulences est une comédie basée sur la paranoïa, peur du regard des autres ou encore la tromperie. Des sujets pourtant durs mais pris avec une tellement finement juste comme il faut... Alfred Lot réussit bien son coup avec ce deuixième film si différent du premier (La chambre des morts) comme quoi c'est un réalisateur polyvalent prometteur. En plus, des acteurs français qu'on adore encore encore (Miou Miou, Michel Blanc vraiment extra dedans), des qu'on commence à bien apprécier (Mélanie Doutey en histérique, Gilles Lellouch le beauf touchant) et d'autres qui montent et à surveiller (Cyril Descours, Yannick Rénier). Bref la sauce prend dès le début et les gags ne manquent vraiment pas!
Nul ou comment voir au cinéma quelque chose d'aussi banal mais encore plus ennuyeux que le train-train quotidien. Ajouté à cela de mauvais acteurs, ainsi qu'une réalisation loin d'être inventive et nous voila devant le premier navet de 2010.