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elisa2102
141 abonnés
1 484 critiques
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5,0
Publiée le 1 octobre 2010
Très bons dialogues écrits par Michel Blanc, quui livre là une excellente interpréation de son personnage qui est hypocondriaque. Le reste du casting est très bon également, et j'ai pas mal ri.
En regardant ce "film" je me suis dit ca y est le cinéma français est mort.Comment peut-on faire aussi banal, mou, en un mot ennuyeux.D'un Michel Blanc qui campe un père de famille dépressif qui se "bourre " tous les 05 minutes de médicaments à Miou Miou qui incarne la mère adultére en passant par la fifille qui ramene un "bac -6" rien ne nous a été épargné dans la banalité.Si encore cela s'arrêtait là mais sous des pretextes comiques Michel BLANC pousse à l'extrême son personnage qui en devient rapidement pénible.Quand le personnage de Michel BLANC veut se suicider, on tombe dans le grandguignol.On a l'impression de voir une scéne de la vie de cette famille commune.Le film a eu beaucoup de peine à m'arracher un sourire.Des gens riaient dans la salle et je me demande encore pourquoi ou plutôt se forçaient-ils à penser que le film était drôle.Encore un gros navet, et un Michel BLANC qui me décoit beaucoup.
Une comédie comme j'aime . Des dialogues géniaux ,un scénario parfait ,et une distribution a la hauteur . Miou miou toujours étincelante ,Gilles Lellouche et Mélanie Doutey forment un couple décalé plein de charme . Et surtout le grand retour des dialogues de Michel Blanc qui reste depuis la disparition de génial Michel Audiard un des meilleur dialoguiste français . " Ta femme il y a 30 ans au lieu de l'épousai tu aurais du la tuer ,tu serai sorti de prison et tu serai libre ". Tout le film est plein de perle comme ça . Un très agréable moment de détente a voir .
Une comédie ou les rares moments drôles sont réunis dans la bande annonce, le film se déroule sur un rythme très lents avec des personnages pas attachant, c'est cynique mais fatigant, je me suis ennuyé devant ce film
Comédie française classique où Michel Blanc en hypocondriaque excelle. Tout sonne juste et on se laisse complètement embarqué dans cette histoire de petits tracas de la vie de famille. Une belle surprise.
Un film moyen! Bon difficile pour les bobos, ils doivent tenter de vivre pleinement leurs vies dans un meublé avec 5000 mètres carré de terrain autour d’eux, plus un petit pont façon Monet, un bien à Saint-Germain-en-Laye estimé à 2 millions d’euros, très bien pour un jeune retraité, bien travaillé, mais au beau milieu d’une bande de bœufs qui les dérange à crever. La guéguerre bobos bœufs obsessionnelle, comme si deux mondes se confondent à l’intérieur de notre société. Le frère bœuf ou transformé en bœuf via sa femme, et sans compter cet affreux clébard qui dérangent la vie des bobos. Un beau fils bœuf et un autre ; le second, ah la prise de conscience, les donneurs de leçons, comme si les bœufs n’acceptaient pas la différence. Et un final, les étoiles, la vie, l’esprit, mais oui crevons ! J’ai mis zéro étoile pour m’être endormi un cours instant durant la séance … et aussi durant la rédaction de ma critique, n’est pas bœuf qui veut. Pis dans l’étang il manquait les nymphéas et j’aurais préféré des signes à la place des canards.
J'ai vraiment passé un bon moment, un ton juste, un humour aux poils, parce que les situations ne sont pas forcement très drôle mais les mots oui!!! A voir....
La bande annonce m'avait vraiment convaincue mais malheureusement elle aurait suffit ! Ses seules scènes drôles étaient éparpillées entre des longueurs et des clichés à mourir d'ennui sans parler du rôle de Michel Blanc très très agaçant. A garder pour un dimanche devant la télé et encore...
Il y a parfois des films où l’on va à reculons, avec une énorme dose de préjugés, et finalement, on est surpris en bien. Une Petite Zone de Turbulence ne rentre absolument pas dans cette catégorie. Ca ressemblait de loin à une comédie de mœurs franchouillarde comme seule notre industrie cinématographique sait les faire. Et en fait, c’en est une, une vraie, avec tous ses lieux communs et sa persistance à vouloir mettre sur pellicule la vie inintéressante de nos concitoyens dans ce qu’elle a de plus ennuyeux et insignifiant. Le travail d’écriture a dû être énorme, avec une feuille A4, une bonne paire de pantoufles et une camomille. Il n’en fallait pas plus pour régurgiter ce condensé de lieux communs bien boulevardiers : la crise générationnelle existentielle, le cancer, le fils homo, le beau-frère jacky, l’amant dans le placard, les quiproquos, les répliques qui tombent à plat et les crises de nerfs. Au lieu de se placer dans le cadre riant d’une sinistre maison de banlieue ou sur un quai de RER, un tel pitch aurait pu attirer une troupe de vieux endimanchés dans un théâtre de boulevard quelconque. Le cinéma est un moyen d’expression un peu trop moderne pour un truc aussi morose et poussiéreux… Une Petite Zone de Turbulences est en faite une Grosse Zone d’Ennui, un de ces films totalement insignifiant qui encombrent inutilement les salles. Son seul bienfait est d’avoir donné du travail à une poignée d’intermittents du spectacle. En cette période de morose dans le monde du travail, c’est un rayon de soleil. A part ça, rien à positiver.
Bon scénario même si la bande annonce en dévoile un peu trop. Répliques savoureuses, bon duo inattendu entre notre Jean-Claude Dusse national et une Miou-miou qui sait encore nous surprendre et très crédible...