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    Rabia
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    50 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 7 juin 2010
    Nova, Benjamin Gomez, et les critiques du Grand Journal étaient emballés, je suis peut être passé un peu à côté. Une fin mélancolique riche en émotions, mais aussi en clichés, en lourdeurs, et en lenteurs. N'attendez pas grand chose de "fantastique", à tous les sens du terme, laissez-vous embarquer, et ne posez pas trop de questions sur la cohérence de certains événements, ou plutôt non-événements. Cela fait beaucoup de points négatifs, certes, d'après moi c'est un film à voir, sans plus.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 juin 2010
    Film trop long, trop prévisible... C'est dommage !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 juin 2010
    Des idées ne devaient pas manquer sur le papier, mais rien qui ne soit ni innovant ni bien réalisé au final : la musique prévient de tous les rebondissements et finit par être horriblement agaçante. Tout est prévisible et long. Aucune place à l'imagination.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 juin 2010
    Drame.
    Un film mêlant la rage « rabia » à l'amour, excessifs, passionnels, intenses et sans retenues. À vif. Une réalisation intime, entre plans proches des acteurs, en direct sur les émotions et plans de voyeurisme, un œil caché.
    Ce film nous emporte dans le non-retour d'une fuite. De la cachette à l'enfermement psychologique, en l'opposant à la prise de vie, de liberté. Accompagné par cette musique latine à la voix très fragile, sur l'émotion brute.
    De la naissance à la mort, en quelques oppositions de plans, ce film montre l'impact d'un choix si « fragile » au commencement et si prise au piège !
    Rage de vivre, rage d'aimer, rage d'être, rage...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 novembre 2010
    Ce film aborde la question des immigrés selon l'angle de l'humiliation face aux conditions de travail qu'il subissent du fait de leur précarité extrême. Deux attitudes possibles : la résignation dans le cas de la jeune bonne, la violence dans le cas de l'ouvrier du bâtiment qui est alimentée par un sentiment machiste (l'ouvrier se venge des atteintes verbales et physiques - viol - sur la jeune femme).

    L'attitude passive de la jeune femme lui permet de conserver son travail. On ne voit pas beaucoup la jeune femme au travail. Le focus porte sur les échanges verbaux. Par exemple, le maître de maison discute avec sa femme de la bonne et emploie la 3ème personne alors qu'elle est présente. Sa femme un peu plus humaine le lui rappelle. Mais cette tendresse qu'elle semble éprouver pour la bonne est égoïste car emprunte d'un sentiment de possession sur la bonne et son enfant.

    Le film tourne autour d'un nombre très restreint de personnages (les 2 immigrés, les 2 maîtres de maison et leur fils) dans un endroit confiné que sont les pièces de l'immense batisse. Il y a également un rapport à l'amour pur qu'éprouvent les 2 amants et au manque d'amour que ressentent les membres de la famille des employeurs qui ont une vision plus matérialiste de leur vie.

    La violence de l'ouvrier grandit par les frustrations qu'il éprouve. Ainsi le viol subit par la bonne alors qu'elle était enceinte (mais son agresseur ne le savait pas), le conduit à assassiner le fils de la famille bourgeoise. Etonnamment, la bonne ne réagit pas à la tentative de viol (dont on ne voit pas d'images). Elle parait s'y résoudre sans doute pour conserver son emploi.

    Au final le film m'a choqué pour sa violence qui selon moi était inutile (mais c'était le sujet du film - la rage). Les personnages sont assez stéréotypés : la bonne qui accepte tout, le fils qui profite du lien de subordination pour abuser de la bonne, le bourgeois rétrograde, la bourgeoise compassionnelle, l'amant qui n'a d'autre solution que vivre en cachette dans la demeure familiale. Mais le film est bien joué et il règne une atmosphère pesante et noire. Peut-être que cela serait un bon sujet pour un film d'horreur.
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