Professeur Yamamoto part à la retraite : Critique presse
Professeur Yamamoto part à la retraite
Note moyenne
4,0
12 titres de presse
Cahiers du Cinéma
Les Inrockuptibles
L'Obs
Le Monde
Les Echos
Libération
Ouest France
Paris Match
Positif
Télérama
Les Fiches du Cinéma
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Claire Allouche
La puissante empathie du film tient à sa manière de laisser peu à peu s'opérer un transfert entre le psychiatre et le cinéaste.
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Le film est scindé en deux parties qui se rejoignent vers une même vulnérabilité : celle du soin des maladies mentales, prodigué par un personnage d'une douceur précieuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Pas très joyeux certes, mais bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Derrière la sobriété formelle du réalisateur s’opère un glissement de terrain qui déplace imperceptiblement les positions des uns et des autres : plus le cinéaste devient l’alibi du médecin qui, par ce biais, tente d’échapper à sa retraite, plus la caméra s’intéresse à ce qu’il fuit…
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Le film épouse son pas et traîne un peu parfois, mais il reste bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Luc Chessel
La méthode de Soda et celle de Yamamoto, le cinéma de chaque jour et la psychiatrie du quotidien, semblent se rencontrer de façon idéale parce que leur patience, leur tendresse et leur monotonie les rapprochent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Un documentaire poignant.
Paris Match
par Yannick Vely
Un film qui panse les maux du monde.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Nicolas Geneix
Nul « message » dans un tel film, qui parle de patience et de responsabilité, mais une incitation douce et opiniâtre à essayer de faire attention.
Télérama
par Virginie Félix
Prendre soin des vivants — mais aussi des morts —, voilà le moteur d’un étonnant personnage, dont l’altruisme et l’abnégation souriante confèrent à ce beau portrait une portée universelle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
À 82 ans, un psychiatre prend sa retraite et rassure ses patients déstabilisés. Immersif, le réalisateur est le témoin bienveillant de ses dernières consultations et de ses premiers pas dans une retraite qu’il n’avait pas vu venir, avec une femme dépendante.
Première
par Estelle Aubin
Un film délicatement poignant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
La puissante empathie du film tient à sa manière de laisser peu à peu s'opérer un transfert entre le psychiatre et le cinéaste.
Les Inrockuptibles
Le film est scindé en deux parties qui se rejoignent vers une même vulnérabilité : celle du soin des maladies mentales, prodigué par un personnage d'une douceur précieuse.
L'Obs
Pas très joyeux certes, mais bouleversant.
Le Monde
Derrière la sobriété formelle du réalisateur s’opère un glissement de terrain qui déplace imperceptiblement les positions des uns et des autres : plus le cinéaste devient l’alibi du médecin qui, par ce biais, tente d’échapper à sa retraite, plus la caméra s’intéresse à ce qu’il fuit…
Les Echos
Le film épouse son pas et traîne un peu parfois, mais il reste bouleversant.
Libération
La méthode de Soda et celle de Yamamoto, le cinéma de chaque jour et la psychiatrie du quotidien, semblent se rencontrer de façon idéale parce que leur patience, leur tendresse et leur monotonie les rapprochent.
Ouest France
Un documentaire poignant.
Paris Match
Un film qui panse les maux du monde.
Positif
Nul « message » dans un tel film, qui parle de patience et de responsabilité, mais une incitation douce et opiniâtre à essayer de faire attention.
Télérama
Prendre soin des vivants — mais aussi des morts —, voilà le moteur d’un étonnant personnage, dont l’altruisme et l’abnégation souriante confèrent à ce beau portrait une portée universelle.
Les Fiches du Cinéma
À 82 ans, un psychiatre prend sa retraite et rassure ses patients déstabilisés. Immersif, le réalisateur est le témoin bienveillant de ses dernières consultations et de ses premiers pas dans une retraite qu’il n’avait pas vu venir, avec une femme dépendante.
Première
Un film délicatement poignant.