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Le film est scindé en deux parties qui se rejoignent vers une même vulnérabilité : celle du soin des maladies mentales, prodigué par un personnage d'une douceur précieuse.
Derrière la sobriété formelle du réalisateur s’opère un glissement de terrain qui déplace imperceptiblement les positions des uns et des autres : plus le cinéaste devient l’alibi du médecin qui, par ce biais, tente d’échapper à sa retraite, plus la caméra s’intéresse à ce qu’il fuit…
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
La méthode de Soda et celle de Yamamoto, le cinéma de chaque jour et la psychiatrie du quotidien, semblent se rencontrer de façon idéale parce que leur patience, leur tendresse et leur monotonie les rapprochent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Prendre soin des vivants — mais aussi des morts —, voilà le moteur d’un étonnant personnage, dont l’altruisme et l’abnégation souriante confèrent à ce beau portrait une portée universelle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
À 82 ans, un psychiatre prend sa retraite et rassure ses patients déstabilisés. Immersif, le réalisateur est le témoin bienveillant de ses dernières consultations et de ses premiers pas dans une retraite qu’il n’avait pas vu venir, avec une femme dépendante.
Cahiers du Cinéma
La puissante empathie du film tient à sa manière de laisser peu à peu s'opérer un transfert entre le psychiatre et le cinéaste.
Les Inrockuptibles
Le film est scindé en deux parties qui se rejoignent vers une même vulnérabilité : celle du soin des maladies mentales, prodigué par un personnage d'une douceur précieuse.
L'Obs
Pas très joyeux certes, mais bouleversant.
Le Monde
Derrière la sobriété formelle du réalisateur s’opère un glissement de terrain qui déplace imperceptiblement les positions des uns et des autres : plus le cinéaste devient l’alibi du médecin qui, par ce biais, tente d’échapper à sa retraite, plus la caméra s’intéresse à ce qu’il fuit…
Les Echos
Le film épouse son pas et traîne un peu parfois, mais il reste bouleversant.
Libération
La méthode de Soda et celle de Yamamoto, le cinéma de chaque jour et la psychiatrie du quotidien, semblent se rencontrer de façon idéale parce que leur patience, leur tendresse et leur monotonie les rapprochent.
Ouest France
Un documentaire poignant.
Paris Match
Un film qui panse les maux du monde.
Positif
Nul « message » dans un tel film, qui parle de patience et de responsabilité, mais une incitation douce et opiniâtre à essayer de faire attention.
Télérama
Prendre soin des vivants — mais aussi des morts —, voilà le moteur d’un étonnant personnage, dont l’altruisme et l’abnégation souriante confèrent à ce beau portrait une portée universelle.
Les Fiches du Cinéma
À 82 ans, un psychiatre prend sa retraite et rassure ses patients déstabilisés. Immersif, le réalisateur est le témoin bienveillant de ses dernières consultations et de ses premiers pas dans une retraite qu’il n’avait pas vu venir, avec une femme dépendante.
Première
Un film délicatement poignant.