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ned123
161 abonnés
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3,0
Publiée le 29 décembre 2011
J'ai vu un film... plutôt pas mal balancé, avec une idée assez intéressante sur la place de la prédestination (et sur la manière dont elle s'impose à nous... simples mortels). L'idée de base est assez intéressante, avec des anges, agents... gardiens qui veillent et surveillent pour le compte de l'Agence ou Dieu pour qui veut le voir partout... M. Damon m'a plutôt bien plu, ainsi qu'Emily Blunt avec qui il va vivre (ou tenter de vivre) une histoire d'amour.. Ah l'amour, plus fort que tout... La réalisation et l'image est plutôt de très bonne qualité, et on ne peut que s'en féliciter surtout quand on aime NY...L'ensemble des personnages sont plutôt bien campés, et les agents assez intrigants... La morale assez morale... C'est un film sans risque, avec qq moments d'émotions, et une intrigue qui prend plutôt pas mal...
Quand le scénariste moyen ne sait plus qui est Dieu, il l'appelle l'Agence. Quand il a oublié ce qu'il fait, il le réinvente tel que ses fantasmes l'imaginent. Et quand il ne sait plus comment en parler, il en fait un film. Sans être une expérience mystique, l'Agence donnera à réfléchir -les dernières minutes en particulier- pour tous et pour pas cher. La simplicité presque décevante du message et le ludisme de la réalisation, homogène malgré quelques incohérences, en font un film d'action correct doué d'un petit retentissement spirituel inattendu mais toujours souhaitable aux oreilles du spectateur alangui qui ne sait plus être lui-même. Un film pour gros bras en mal de méditation.
C'est quand même bien pompé sur Matrix, surtout cette histoire des portes faisant office de raccourcis dans la réalité. Après bon, le scénario est un peu débile quand même, en fait très largement débile même. Autant d'efforts pour empêcher une amourette ! Les maitres de la réalité n'ont vraiment que ça à foutre ! Tout ça n'est que prétexte à mettre en scène des situations et des personnages très stylisés. Et puis à gagner des soussous dans la popoche aussi. Quant à la fin, elle exaspère au possible, sans parler des violons, on a même le droit à une petite morale à deux balles. Du genre "Bravo, vous avez défié les maitres du réel avec succès, notre petit fort boyard prend fin, votre persévérance vous donne le droit de visiter sa foufoune, notre grand manitou a finalement révisé ses positions". A la limite, cette idée de manipulation du destin était assez bien trouvée, mais en faire un produit aussi racoleur, ça la bousille. Je met deux étoiles car c'est un film où on ne s'ennuie pas, malgré son statut d'arnaque scénaristique.
Film aux relents calvinistes, "The adjustment bureau" s'inscrit dans la lignée de "La firme", "Matrix" et toutes ces productions dans lesquelles le héros entre en rébellion vis-à-vis du système. Assez peu spectaculaire, "L'agence" joue surtout la carte de l'affect avec une choupinnette histoire d'amour comme la gent féminine en raffole. Si la réussite est patente dans le domaine des émotions, elle s'avère en revanche bien plus mitigée en ce qui concerne la visée philosophico-religieuse. Il ne faut pas se croire prisonnier du destin et il faut toujours se laisser guider par son cœur, une maxime qui semble sortie tout droit du téléfilm du mercredi après-midi sur M6. On serait en droit de s'attendre à un chouïa plus de réflexion quand même. Il faudra aussi repasser un autre jour pour le suspense, les rebondissements se comptent sur les doigts d'une main et la fin est ultra prévisible. De même, le film frise parfois avec le plus grand ridicule. Le côté "Chapi-chapeau" par exemple, tellement drôle qu'il enn devient presque touchant. Au final, "The adjustment bureau" ne dépasse malheureusement pas le stade du mignon, il lui manque une bonne paire de couilles, rien de moins.
Le scénario est complexe et innovant, c'est une histoire très intéressante que l'on suit sans s'ennuyer. Les acteurs sont parfait, on reste en haleine jusqu’à la fin qui s’avère être un peu décevante.
Matt Damon aime bien courir dans ses films. Le problème, c'est que c'est souvent avec Paul Greengrass et que ce dernier ne sait pas faire autre chose que de la caméra à l'épaule et c'est pénible.
Cette fois, c'est George Nolfi à la réalisation et il s'en sort quand même beaucoup mieux. En effet, cette comédie romantique mâtinée de thriller fantastique est plutôt bien tournée dans ses nombreuses scènes de course poursuite. Le problème, c'est que durant les scènes romantiques, le film manque tellement de rythme qu'il en devient un peu ennuyeux dans son ventre mou avant de repartir de plus belle. Les acteurs sont vraiment bons, Anthony Mackie en premier, John Slattery, Michael Kelly et Matt Damon ensuite. Emily Blunt ne s'en sort pas trop mal, dans un rôle que n'aurait pas renié l'insupportable Zooey Deschanel mais où aurait excellé la délicieuse Gemma Arterton.
Le scénario est plutôt sympathique si on passe outre les règles totalement débiles de l'Agence en question (porter un chapeau, tourner la poignée vers la droite... Enfin, bref.) et quelques raccourcis très portés sur les bons sentiments. Mais le film est vraiment sympathique et vaut bien le prix de la place.
Un bon petit film pour passer un bon moment. Le scénario est facile mais il reste sympa. Ça aurait peut être pu donner quelque chose de meilleur mais c'est déjà pas mal.
bon films,acteurs joue bien le jeu , divertissent rien à dire, de fois moins cohérent qu'a différent moment toute fois le films mérite d’être vue ces un libre arbitre...
Notre destin est écrit, faisant perdre à chacun d'entre nous son libre arbitre. A partir de ce lieu commun rebattu, George Nofli scénariste de "Mémoire dans la peau" adapte une nouvelle de Philip K.Dick écrite dans les années 50 sur fond de paranoïa maccarthyste. George Nofli a gommé tout l’aspect politique mis en avant pas K.Dick pour axer son propos sur la romance entre Matt Damon et Emily Blunt. Ce grand écart nous fait mal comprendre les tenants et les aboutissants de l’intrigue et surtout son fondement. On a du mal à penser que toute cette armada d’anges planificateurs se mobilise pour empêcher le jeune sénateur de s’amouracher d’une danseuse sous prétexte qu’elle l’empêcherait d’accomplir son destin présidentiel. George Nolfi a bien du mal à défendre son parti pris tout au long du film et pour masquer son déficit d’imagination il a recours à des artefacts pour le moins grossiers tellement ils sont téléphonés comme les allusions à peine voilées au Blues Brothers (le chapeau mou vissé sur la tête de Damon) et au Lauréat (la scène du mariage).
Un homme et une femme amoureux l'un de l'autre et poursuivis par des hommes en costumes qui veulent les empêcher d'accomplir leur destinée. Un goût de déjà vu? Non je ne parle pas de Matrix, bien qu'on soit bien loin de sa solidité scénaristique et de l'efficacité de sa mise en scène. Matt Damon nous montre qu'il est autant à l'aise dans un film d'action comme la série des Mémoire, Vengeance et Mort dans la peau, que dans une fiction qui traîne en longueur. On a un peu de mal à voir où le scénario veut nous mener, les réactions des personnages étant parfois incompréhensibles du genre "Je l'aime. Mais bon je la laisse tomber? Finalement non? Pourquoi non?!" pour au final mettre en avant une de ses essences principales en ne manquant pas de torpiller la seconde. En effet, l'histoire d'amour et tous les choix difficiles qu'elle implique masque totalement le sujet qui est pourtant la particularité de ce film: les Etres qui guident nos vies. Un aspect crucial du film qui s'estompe tout au long du film jusqu'à passer complètement à la trappe. Et c''est bien dommage. Bref, un Matrix simplet. Je vous avais dit qu'on en était pas loin...mais ça fait plouf.
L'idée est bonne mais le film en lui meme n'est pas vraiment réussi . L'histoire du grand patron aurait du etre bien plus explicite , on aimerait en savoir un peu plus . En plus le film est grotesque , on y croit pas un mot et la fin est ridicule .
La comédie romantique/fantastique de la décennie. Bien rythmée, j'ai adoré me laissé prendre par cette histoire. Certains la trouveront peut-être mièvre, je la trouve rafraichissante. D'autres lui trouveront sans doute un peu de simplisme, je trouve qu'elle nous offre un moment de satisfaction, sans violence ni prise de tête, qu'on ne devrait pas bouder...