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Screamyy
4 abonnés
136 critiques
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1,5
Publiée le 9 juin 2012
Il y a des films comme ça, qu'on voit et qu'on oublie dans la minute qui suit. And Soon the Darkness est de ceux là. Certes, ça n'est pas foncièrement honteux mais c'est tellement creux et avare en action qu'on arrive même pas à passer un moment sympathique. Dommage car les acteurs s'en sortent plutôt bien, notamment la belle Amber Heard qui se révèle crédible jusqu'au bout. Malheureusement, il en aurait fallu bien plus pour camoufler un script qui cumule toutes les tares. Les trois scénaristes ne proposent rien d'autre qu'une histoire sans aucune originalité et qui se contente de remplir du vide avec du creux : les situations sont vues et revues (la dispute pour séparer les protagonistes, le personnage qu'on pense méchant mais qui en fait ne l'est pas et de même pour celui qu'on croyait être un allié...), le plantage du décor dure trois plombes et tente tant bien que mal de justifier le bout de péripéties qui va suivre en disséminant ça et là quelques éléments qui nous forcent à nous poser des questions auxquelles on n'aura de toute façon pas envie de chercher la réponse. Pour couronner le tout, l'action ne commence jamais vraiment et même si les quelques scènes de suspense laissent entrevoir un début d'efficacité, le plaisir ne sera que de courte durée. Inutile de compter sur la réalisation qui se trouve en fait sur la même longueur d'onde : cruellement basique même si plutôt propre. And Soon the Darkness a donc tout du direct to video qu'on retrouvera au fin fond des rayons des vidéo clubs dans quelques années et c'est bien dommage car il y avait du potentiel et les moyens de proposer quelque chose un minimum efficace. Mais même pas. [Extrait de Screamcity-Horror.skyrock.com blog de critiques ciné]
6/20 : Amber Heard nous livre une interprétation réaliste, pimenté par son jolie sourire semblable à celui de Scarlett Johansson. Michael interprété par Karl Urban lui c'est tout le contraire ; il est fadasse, son rôle n'est pas du tout approfondis, il n'est rien d'autre qu'un "bad boy digne d'un téléfilm de france 2".Il est toujours là au même bar, au même hôtel, toujours au même endroit que nos deux héroines fréquentent. On en viendrait presque à en rire tellement c'est poussif. De plus, ses petits yeux d'amphibien ne fond qu'enlaidir l'écran. Bref, nous ne sommes pas là pour juger l'apparence des acteurs. "And Soon the Darkness" est un film qui relate des faits pourtant réel qui arrive frequemment (enlèvement dans un pays étranger) mais ce dernier manque de réalisme et d'originalité (policier dans le coup, dialogues simplets, etc...).
And soon the Darkness est un film que j'ai beaucoup aimé. Deux copines partent en vacances et lors d'une simple balade à vélo l'une d'entre elle ne rentrera jamais à l'hôtel. Amber Heard mène la tête et elle le fait superbement bien, c'est toujours un plaisir de la voir à l'écran. Malheureusement le scénario s'enfonce petit à petit et on tombe vite dans les cliché habituels ce qui gâche la fin.
Minimum syndicale, le film est correct à regarder mais ça va pas chercher très loin. Pour moi c'est le film qui dépanne quand on veut pas se mettre un bon film, pour "glander" devant la télé.
Pas mal ce thriller agrémenter par de charmantes actrices dommage toutefois que la trame du film soit lente ce qui fait perdre de la crédibilité à ce film.
Sortie dans l’indifférence générale cet été et directement DTV, And Soon the Darkness (2010) est le remake éponyme d’un thriller britannique dont l’intrigue principale se déroulait en France (réalisé en 1970 par Robert Fuest). Si le scénario reste le même, c’est le lieu qui change puisque l’on se retrouve en Argentine, à suivre le périple de deux jeunes (et belles) demoiselles (insouciantes) et qui vont connaîtrent (malgré elles) les coutumes locales (traite des femmes et police corrompue). Avec une distribution aussi alléchante que réussie, où l’on retrouve entre autre Amber Heard & Odette Annable (sans oublier Karl Urban), on espérait avoir affaire à un sympathique thriller, sauf qu’il faut rapidement se rendre à l’évidence, ce remake est (une fois de plus) d’une inutilité affolante. Cette coproduction Franco/Américano/Argentine (dont l’actrice Amber Heard est co-productrice) repose sur un scénario tellement vu et revu que le film en devient rapidement prévisible. On sait à l’avance ce qu’il va se passer et qui va être mis en cause. Ajoutez à cela un manque évident de suspens, de tension et d’adrénaline, bref, malgré de beaux paysages (et des corps de rêve), le premier long-métrage de Marcos Efron est un ratage total qui aurait mieux fait de rester au fond d’un tiroir.
Ce film me fait pensé aux deux Françaises retrouvées assassinnées en Argentine cet été, a part cela ce film est très banal, du déja vu, une petite brune allumeuse qui attire tous les violeurs du coin, une blonde triste, plus sage mais plus coincé ou plus prudende selon les gouts, des méchants rapteurs, un homme mysterieux qui vous veut du bien! un film et scenario remaché et servi a la sauce argentine, le film est ennnuyeux et sans grande surprise, dans le genre thriller on déja vu bien mieux que ce film qui peut se regarder en dépannage. 2,5/5
film sympa remake d'un film des années 70 suspense bien menée les deux actrice faut l'avoué son sublime un bon film pour une soirée sympa je le recommande
Pour son premier long-métrage, le réalisateur Marcos Efron décide de porter à l'écran le remake d'un vieux survival oublié : And Soon the Darkness. Mélange classique de Délivrance, Hostel ou encore plus récemment Escapade fatale, le film surfe sur les derniers survivals ruraux qu'on a pu voir s'entrechoquer durant la décennie passée sans jamais proposer quelque chose de neuf. Pire encore, son metteur en scène souhaite changer la donne en donnant à son film une sorte d'exercice de style foireux en bousculant son montage, alternant les scènes à la manière d'un Pulp Fiction ou d'un 21 grammes. Sans succès. Interprété avec justesse par les deux nouvelles bombes sexuelles du cinéma contemporain Amber Heard et Odette Yustman (désormais Odette Annable), le film propose une histoire mainte fois abordée, soit l'enlèvement de jeunes filles sexy dans une région reculée où tout le monde est de mèche, de la police aux habitants. Le pitch abordé, on suit avec lassitude suivi d'un certain agacement les mésaventures de notre chère Amber Heard qui tente de porter le film sur ses épaules. Encore faudrait-il que le scénario aie quelque chose de novateur ou de clairement rythmé pour nous réveiller. Car on commence fortement à s'ennuyer lorsque l'on a fait le tour de l'histoire et compris son insu. Nous attendons donc sagement de voir comment la boucle va se boucler de façon prévisible et sans réelle surprise, le reste des scènes mises dans le désordre n'apportant que quelques petits éléments quant à l'enlèvement. Ainsi, en voulant suivre l'exemple de ses aînés et faire un remake de survival tout en proposant un montage déstructuré, Marcos Efron a cru bien faire. Mais hélas, l'ennui phagocyte vite la terreur dans ce ratage à peine prétentieux dont on se serait bien passé...
Un honnête film dans la plus pur tradition des thrillers. Montée en puissance du rythme, une base de scénario commun de nos jours mais très exploitable pour le grand écran. 2 belles créatures qui jouent parfaitement, c'est rare de nos jours. Une démarche et des attitudes très naturelles pour le comportement mais devient trop dirigé pour le final (On retrouve les incessantes attitudes stupides devant la peur !). On regrettera assurément la pauvreté du scénario (le rapt sans dévoiler l'histoire) et devient plus, au fil des minutes, un polar. Toutefois, un agréable moment 3.5/5 !!!
Je m'attendais à un film passionnant et palpitant et à l'arrivée je ne peux cacher ma déception. "And soon the darkness" est lent, ennuyeux et très mal joué (il ne suffit pas d'avoir 2 superbes filles et un acteur connu comme Karl Urban pour réussir un film). En plus le film renvoie à des flashbacks incessants, censés faire comprendre au spectateur toute la trame du film, mais à l'arrivée c'est l'inverse qui se produit et on ne comprend plus rien du tout. Je n'ai jamais vu la première version de ce film (1970) avec Jean Carmet et Claude Bertrand, mais je suppose qu'elle doit être de loin supérieure à cette version-ci, ce qui n'est pas difficile convenons-en. Seul petit point positif: les beaux décors de la nature argentine, mais c'est bien trop peu pour sauver le film. Un beau ratage.
Un sujet mainte fois exploité qui souffre en prime de grosses ficelles scénaristique. Restera une belle photographie de l'Argentine pour nous distraire une poignée de secondes.