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    Au coeur de l'Océan
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    cocolapinfr
    cocolapinfr

    72 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 janvier 2016
    Le film nous montre Herman Melville payer pour écouter les paroles d'un vieil alcoolique survivant d'un naufrage. En parallele l'on suit l'histoire de l'équipage. La première chose frappante est l'image, qui est absolument moche, même si extremement difficile à faire en images de synthèse, pas une seule seconde je me suis sentis sur l'océan, rajoutez à cela des filtres DEGUEULASSES bleus pour l'eau, blanc pour l'horizon, vert pour le ciel, à faire vomir une mouette. Mettons que ce choix artistique ne soit qu'une question de goùt, les images en pleine mer sont peu convaincantes et me permettent d'admirer encore plus les films maritimes antérieurs (Pirates, Master and Commander...). On ressent la misère dans la réalisation avec des effets buées/éclaboussures, et des vagues dorées, des aveuglement de caméras, et je n'ai même pas envie de parler des cachalots plus rapides que des dauphins. Passons à l'histoire, pas grand chose à dire, l'histoire du cachalot tueur qui poursuit sans relâche les pauvres marins. C'est assez plaisant et ça se laisse regarder jusqu'à ce que le conteur alcoolique réapparaisse et sorte le classique et lourdingue "maintenant allez vous en monsieur le petit écrivain je ne vous raconterai pas la suite! Bon ben en fait si, sinon j'aurai pas d'argent!". Et puis la tentative foireuse de relier la baleine à un monstre biblique pour rappeler à l'homme sa place, l'idée est excellente mais c'est amené d'une manière ridicule au coin du feu alors que la moitié de l'équipage est décimée. Je n'ai pas perçu cette grandeur, cette "revanche" de la nature, ce qui aurait du être tout l'enjeu du film, peut être était-ce du à cette image de baleine blanche entourée de bleu et de vert... Les bons acteurs ne sauveront pas cette chose du naufrage.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 3 novembre 2016
    Ce film est objectivement très mauvais, mais je n'ai pas trop envie de le descendre méchamment. En effet, contrairement à quantités de produits hollywoodiens qui prennent ouvertement les spectateurs pour des andouilles, celui-ci procède d'une démarche sincère et n'insulte pas notre intelligence... Simplement, c'est raté : le schéma classique du vieux survivant qui se fait prier pour raconter son histoire, c'est non en 2016. Pour Princesse Bride, oui. Pour ce genre de films non, l'histoire se suffisait à elle-même et ce choix narratif retire toute la tension dramatique. Le rendu de la vie sur le bateau est frustrant, la faute à une réalisation qui confond vitesse et précipitation (plans trop brefs ! encore une plaie du cinéma contemporain)...ça fait mal quand on compare sur ce plan avec "Maitre à bord, de l'autre côté du monde" (Master and Commander pour les colonisés linguistiques)... Pas grand chose à dire sur le casting, même s'il me semble que Cilian Murphy est nettement au-dessus des autres. Enfin, défaut majeur, s'il n'insulte pas notre intelligence, ce film insulte un peu notre sens de l'esthétique : c'est moche ! mais moche... Incroyable d'avoir des effets numériques d'une telle pauvreté aujourd'hui. Voili Voilou, et je terminerai par dire que, enfant de mon époque sensible aux thématiques environnementales et effrayé par ce que l'espèce humaine fait de sa belle planète, je n'ai pas éprouvé trop de compassion pour ces exterminateurs de cachalot (je sais, c'était une autre époque, etc. etc.).
    Vador Mir
    Vador Mir

    263 abonnés 800 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 novembre 2020
    Ce film n'a pas d'âme. Les scènes filmées sur fond vert se voient trop. Difficile d'accrocher et l'histoire n'a que peu d'interet. Mais où est passé Ron Howard ?
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    710 abonnés 3 089 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 mars 2023
    En préférant à une nouvelle adaptation du roman de Herman Melville celle de l’ouvrage de Nathaniel Philbrick consacré à sa genèse, et notamment à l’« histoire vraie » qui aurait inspiré le romancier, Ron Howard affirme d’entrée de jeu sa volonté de s’écarter du symbolisme littéraire pour se raccorder à la concrétude d’un vie de labeur passée en mer. La trajectoire métaphysique d’Ismaël mute ici en mise à l’épreuve physique d’Owen Chase, commandant en second interprété avec conviction par Chris Hemsworth, soucieux de traquer les cachalots pour leur graisse et en tirer l’argent nécessaire à la survie des siens. Pourtant, le réalisateur se fourvoie complètement et livre une mise en scène clipesque qui se révèle incapable de faire durer un plan plus de cinq secondes ; celle-ci produit une artificialité dommageable, augmentée par les trucages numériques grossiers et souvent hideux. Le discrédit est complet : comment croire en la véracité d’une expédition aussi boursouflée, gonflée par la musique épique de Roque Baños ? Le pire étant ce tic de réalisation qui capte en gros plan des actions ou des objets – nous observons souvent ce tic dans des productions téléfilmiques culturelles de reconstitution historique. Gage de vérité, à n’en pas douter…
    En résulte une production sans âme qui applique le cahier-décharge de la survie en pleine mer : rivalité entre hommes sur fond d’insubordination et de privilèges liés à la naissance, tempête très violente, apprentissage du jeune mousse qui se fait d’ailleurs narrateur de l’histoire etc. Le radeau de la Méduse n’est pas loin, quoiqu’il ne bénéficie pas d’une écriture des personnages soignée. Comment, en effet, nous attacher à l’équipage lorsqu’on ne voit jamais celui-ci dans son quotidien ? Les ellipses condensent l’action, seul intérêt poursuivi par ce long métrage médiocre. Qu’importe l’« histoire vraie », notion tant prisée aujourd’hui : la fiction est bien plus grande, bien plus puissante, bien plus profonde que cet Heart of the Sea lacunaire. Relisons Melville.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 27 janvier 2016
    Je ne connaissais pas Ron Howard mais j'avais placé de grands espoirs dans son film pour son pitch potentiellement capable de partir dans milles directions différentes et qui évoquait rien qu'à la lecture mille thèmes tous pus forts les uns que les autres. Décidément cette année 2015 fut déception sur déception. Le potentiel de l'intrigue se sent d'autant plus à travers le ratage du film, dans lequel tout plein d'intrigues et de thèmes sont esquissés mais jamais abordés : Un peu de politique dans les 10 dernières minutes qui tombe comme un cheveux sur la soupe, un discours sur la violence des hommes qui n'émet aucune force, un aspect survival édulcoré et qui ne représente pas plus de 15 minutes maxi, des acteurs sous-exploités, un monstre trop caché et traité sans intelligence comme une simple catastrophe, un élan d’humanité de la part du personnage lors de la confrontation finale qui sort de nulle part, des scènes ne demandant qu'à être sublimées qui ne sont pas aidées par la réalisation, l'animosité entre le capitaine et son second qui ne créé rien...autant d'éléments qui tirent ce blockbuster vers le bas. On a un film qui se cherche longtemps sans jamais se trouver, pour preuve l'élément perturbateur arrive bien après une heure de film, qui ne peut compter sur le développement des personnages laissé au minimum syndical, ni sur ses images de synthèse approximatives, ni à la réalisation archaïque d'Howard malgré une poignée de plans joliment composés, dont celui qui sert d'affiche au film. Une belle opportunité gâchée, tombée entre de mauvaises mains.
    circusstar
    circusstar

    141 abonnés 719 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 décembre 2015
    C'est globalement inintéressant, et peu prenant. On peut se passer bien volontiers de ce film qui n'apporte finalement rien. On sort de la salle bien déçu après ces 2 heures perdues.
    Karim A.
    Karim A.

    45 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 janvier 2016
    Ron Howard qu'as tu fait ?
    Un mélange de Seul au Monde, des Naufragés des Andes (équipe de rugby devenue cannibale après un crash en avion sur une montagne)
    les trucages sont mauvais.
    A aucun moment les acteurs n'ont été vraiment sur un océan.
    On voit l'eau d'un bassin dans les plans sous marins, plutôt sous bassin, aucune méduse, pas de petits poissons, pas d'algue....
    spoiler:
    Y a pas de combat contre la baleine blanche,
    y a un message écologique à la fin, je touche pas à la baleine, elle me touche pas. spoiler:

    Ron Howard tu as patienté 6 ans pour nous faire un film très très moyen.
    10 euros pour voir ce film, j'aurais dû acheter 2 kebabs et me bourrer le ventre.
    Michel C.
    Michel C.

    280 abonnés 1 480 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 décembre 2015
    Oui....si vous aimez l'eau .... je plaisante, mais à peine. Longuet et pendant la première heure soporifique. De belles images certes, mais rien n'y a fait pour me captiver...Afin de rester correct, je m'arrête.. !! **
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    114 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 avril 2016
    Après l’honorable Rush, Ron Howard revient avec une thématique nettement plus commerciale, un brûlot qui revisite le mythe de Moby Dick, roman d’Herman Melville, un auteur intégré ici au récit comme étant un témoin sur le tard de la légende. Délaissant donc la rivalité sportive, voici que le metteur en scène revient s’adresser au large public, comprenez aux adolescents et consommateur lambda de récits d’héroïsme formatés. Pour revisiter ce fragment de culture populaire, le réalisateur d’Apollo 13, de Da Vinci Code, met les petits plats dans les grands, du moins à sa manière, en embauchant une vedette passe-partout, bellâtre pas toujours convaincant, en s’assurant un budget conséquent, post-production et CGI obligent et en amorçant une campagne publicitaire qui n’aura pas à rougir de la concurrence. La machine est lancée et le public, avide de ce type de produits, trépigne d’impatience. Mais qu’en est-il vraiment de ce film d’aventure numérique?

    Eh bien, pour ne pas revenir sur le récit de Melville, récit dont je ne connais que peu de choses, le film d’Howard peine sincèrement à retranscrire la prétendue légende. Le combat de l’homme, l’espèce s’entend, et du cachalot géant, monstre marin mystérieux, n’est qu’un argument de vente. Oui, le centre d’intérêt, ici, pour celui que cela ne gêne pas, ce n’est pas mon cas, c’est Chris Hemsworth et son attitude héroïque parfaitement préfabriquée. Oui, qu’importe Moby Dick, qu’importe l’époque, la reconstitution et j’en passe, il ne semble y avoir de place que pour ce ténébreux héros en carton-pâte, cet archétype de la bravoure incarnée qui se confronte, outre à la baleine géante, au mépris de sa hiérarchie, à la force de la nature et à tout ce qui se mettra en travers de son chemin hollywoodien. Si Ron Howard, sur Rush, ce fût le cas de Michael Mann pour Hacker, était parvenu à faire de Chris Hemsworth un personnage de son film, tel qu’il devait l’être, ici, ce même réalisateur, ne parvient pas à exploiter à bon compte toutes les faiblesses de l’interprétation de celui qui ce fût connaître dans le costume de Thor. Comprenez, Chris Hemsworth est irritant, pompeux et dénature à lui tout-seul une bonne part des intentions initiales du metteur en scène.

    Coté visuel, ce fût un argument lors de la promotion du film, Ron Howard alterne entre les jolis coups, les quelques petits éclairs de génie, la 3D n’étant pas inutile, ce qui est un bon début, et une certaine médiocrité alors qu’il est parfois dépassé par une surdose massive de CGI. On ajoutera à cela, là encore c’est du bon ou du mauvais, l’exagération des contrastes et surtout ce filtre sépia permanent, à la fois verdâtre et jaunâtre, qui pourrait tendre à irriter l’œil. Des partis-pris, donc, qui parfois sont payants, parfois non. Un inégal produit de consommation de masse, donc, qui satisfera la majorité mais rebutera les autres.

    On ne retiendra finalement que peu de chose de cette revisite. En effet, nous aurions souhaité nous passer des errances visuelles en numérique, de l’insupportable capitaine héroïque qu’incarne Hemsworth, nous aurions apprécié plus de profondeur dans l’écriture des personnages et par-dessus tout, nous aurions aimé que Moby Dick soit réellement au centre des évènements. Mais peut-on demande cela à Ron Howard? Je pense malheureusement que non, le cinéaste étant un enfant du cinéma pop-corn et malgré quelques coups d’éclats, dans sa carrière, ce film reflète assez bien le niveau de sa prestation générale. Vous avez entre huit et seize ans, vous accompagner vos enfants au cinéma ou sur le canapé du salon, vous êtes un amateur de guimauve, allez-y. Pour les autres, pas la peine de s’y attarder. 06/20
    Zarkalexia
    Zarkalexia

    47 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 juillet 2023
    L’acteur principal est mieux en marin qu’en Dieu du marteau en tous les cas .. mais bon histoire molle rythme lent et sans émotions dommage
    Der Metzgermeister
    Der Metzgermeister

    40 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 décembre 2015
    En fait je pense que je ne peut m'en prendre qu'à moi même. Si j'avais été attentif pendant le trailer, j'aurai surement été attentif au " le récit qui a inspiré Moby Dick ". Moi qui m'attendais à une nouvelle adaptation des aventures du cachalot géant...tristesse. Bref, un récit sans souffle épique, aux acteurs plats, aux bon gros clichés du blockbuster US. Sauf que In The Heart Of The Sea n'est pas un blockbuster. Il n'en a pas l'ambition, et le travail de caméra de Ron Howard ( encore une fois très académique ) n'aide pas son film à rehausser un peu le niveau ni mon enthousiasme. Ah oui et encore faudrait-il que son film marche... et c'est pas gagné.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 794 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 septembre 2021
    Il y a un scénario épouvantable qui ne mène nulle part comme dans tous les films de Ron Howard. Il y a un jeu d'acteur mauvais à l'exception de Cyllian Murphy qui joue comme un vrai harponneur sur un bateau. Il y a un montage frénétique pour compenser l'absence d'histoire et une musique sentimentale pour tenter d'insuffler un peu de passion là où il n'y a qu'un fouillis de pixels et d'effets numériques. Il n'y a pas de cœur et certainement pas de mer dans Au cœur de l'océan. En comparaison l'adaptation cinématographique de 1956 de John Huston de l'épopée homérique de Mellville devient un chef-d'œuvre même s'il ne l'était pas. Cette histoire est fade elle est artificielle et elle est présomptueuse contrairement à tout ce que Ron Howard a tourné auparavant. Faites-nous une faveur regardez le film de Huston ou mieux encore lisez plutôt Moby Dick...
    joachim_thibout
    joachim_thibout

    6 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 mars 2016
    de belles images, certes... très familial. TROP familial. Ma grand-mère, ma femme, et les moins de 15 ans ont aimé... voila, tout est dis :

    disons que quand on a sous la main un acteur tel que Brendan Gleeson, et qu'on parle de cachalot géant, je m'étais déjà fait un film sur le film avant d'aller le voir, ce film :

    si si! un vieux capitaine tenace, une jambe en bois, qui pue et qui boit, infect avec tous le monde, mais juste au fond, pas mauvais bougre non plus ! du tonnerre, de la mutinerie, un monstre marin, graou ! j'veux qu'ça saigne ! du sang, d'la bidoche !

    mais non, très, très téléphoné, le jeunisme hollywoodien m'empêche de me plonger dans le film (qui m'a foutu un capitaine aussi jeune, un écrivain absolument pas crédible, et un second encore moins (sériously, les mecs, quand on dérive sur un canot pendant 3 semaines, les p'tites mèmèches blondes du catogan, et la barbe de trois jours, ca l'fait, mais alors la, pas du tout !

    bref, pour moi du beau gachis. De belles images, aussi. Ca, c'est bien les belles images. J'aime bien. Ca fait prendre l'air, et c'est rafraichissant. C'est sympa. Mais c'est tout :)
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 12 octobre 2019
    Comment ce film a pu avoir une note spectateur de 3,7. Je me suis fié à cette note (comme je fais d'habitude) pour regarder le film. Mais là déception totale, j'ai perdu mon temps à regarder ce navet. Pas de montée en suspens, film trop rapide, des dialogues bidons, un héros plus cliché tu meurs (un fils de paysan plus respecté par ses hommes et qui sait mieux gérer l'équipage que le capitaine, lui qui n'a obtenu son grade que par son nom), des jeux de lumières vraiment étranges (on voit tout en vert au point qu'on a l'impression de regarder le film à travers des culots de bouteille) qui font qu'on ne se met pas du tout à la place des personnages et pour finir un scénario pathétique.
    T'Challain Fournier
    T'Challain Fournier

    6 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 avril 2020
    Lorsque je lis certaines critiques de soi-disant magazines spécialisés qui louent la lumière de ce film, je m'interroge vraiment sur leur professionnalisme. Car le gros problème de ce film c'est justement le travail photographique du chef-opérateur qui est d'une pauvreté sans nom. Il ne suffit pas de mettre un filtre pour obtenir la belle luminosité de l'aube ou du crépuscule. Non, pour cela il faut y être au bon moment et pas se contenter de 'déguiser' la lumière écrasante du soleil de midi ! Ici c'est abominable du début à la fin : les contre-jours sont foireux, tout sonne faux, toc.
    Pourtant l'idée est fabuleuse et elle aurait méritée une mise en scène plus inspirée, plus épique et surtout moins ampoulée. Bref, une grosse déception avec un cinéma qui ne correspond pas à celui de Ron Howard (pourtant exemplaire dans un film aux antipodes comme l'était 'Un homme d'exception'). On s'imagine alors, qu'en d'autres temps, un John Huston ou un Sydney Pollack auraient fait des merveilles de cette grande aventure.
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