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    Au coeur de l'Océan
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    355 critiques spectateurs

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    Marlon M.
    Marlon M.

    46 abonnés 494 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 décembre 2021
    Un récit si bouleversant qu'il en paraît réel.
    philmon2
    philmon2

    37 abonnés 234 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2016
    Après l'excellent Rush, qui est pour moi le meilleur film sur la compétition automobile depuis le mythique "Le Mans", ainsi que le meilleur film qu'il m'a été donné de voir en 2013, Chris Hemsworth revient de nouveau dans une réalisation de Ron Howard reposant sur le roman éponyme de Nathaniel Philbrick. Il incarne Owen Chase, le second du baleinier Essex, histoire qui inspira Moby Dick, le célèbre roman d'Herman Melville.

    On y retrouve aussi Cillian Murphy (the dark night, Transcendance, et l'incompréhensible Inception), qui incarne son ami d'enfance, embarqué lui aussi à bord de cette aventure. Et c'est vraiment le mot juste pour décrire ce film.

    Un vrai spectacle, une aventure qui, si elle n'est sans doute pas toujours crédible, réunie tous les éléments nécessaires à faire de ce scénario un pur moment de cinéma. On en prend plein les yeux et plein les oreilles, on vit l'action avec les acteurs, bref on est nous aussi embarqué dans cet incertain voyage.

    Ce que n'arrive décidément pas à comprendre les bobos germanopratins de Télérama, Libé, et autres Cahiers du Cinéma. Laissons les vomir sur les films spectacles de ce genre, et s'extasier sur Lars von Trier, Pierre Carles et consors...
    gregbox51
    gregbox51

    40 abonnés 1 035 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 décembre 2017
    On peut presque parler de chef-d'œuvre tant l'histoire (véridique) est si bien contée, les personnages si convaincants. Ron Howard sait raconter, sait filmer. Résultat, un film époustouflant criant de vérité, un de plus à son palmarès.....
    flaradenuc
    flaradenuc

    1 abonné 18 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 janvier 2016
    Le cachalot n'est pas content qu'on tue ses amis... STOP !
    C'est tout le message que je retiens de ce film. Ce n'est pas si mal, vous me direz, à l'époque où on vit, où des milliers d'espèces disparaissent à cause de l'avidité des hommes.
    J'avais sans doute trop en mémoire le célèbre Moby Dick pour apprécier cette pâle animation.
    tony-76
    tony-76

    1 082 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 janvier 2016
    Après son impressionnant et prenant Rush daté de 2013, le nouveau film de Ron Howard intitulé Au Coeur de l'Océan n'arrive jamais à atteindre une tension dramatique qui maintiendrait en haleine le public. Moby Dick n'est ici qu'une excuse pour raconter une histoire de naufragés qui tombe à plat. En 1819, le baleinier Essex, commandé par le capitaine Pollard s'engage avec plusieurs hommes à bord dans une expédition de chasse à la baleine. Mais à l'hiver, le bateau est heurté par un grand cachalot.. Loin des îles et des côtes les plus proches, avec des vivres en quantité limitée, les hommes remettent leurs destins entre les mains de leur capitaine. Ce sera une lutte acharnée pour la survie pendant 3 mois ! spoiler: Le narrateur était un jeune matelot adolescent au moment du naufrage
    , on suit son histoire, en plus de celles des deux capitaines du navire, joués par Chris Hemsworth et Benjamin Walker, ce qui surcharge le récit. La qualité des dialogues ou quelques séquences mémorables auraient peut-être pu sauver la production du naufrage, mais malheureusement les textes sont aussi mous que l'ensemble de la trame narrative. Bien que les acteurs se débrouillent plutôt bien... Les effets spéciaux sont pour la plupart magnifiques spoiler: - notamment cette immense baleine difforme qui sème la panique sur les mers -,
    le réalisateur semble avoir apposé une touche de fantastique, dans chacune de ses images. Donc, In the Heart of the Sea (en v.o) manque d'admiration. C'est froid et sans âme ! On a l'impression que Ron Howard ignorait comment s'y prendre pour raconter l'histoire de Moby Dick plutôt que d'en faire une oeuvre épique.. La déception est au rendez-vous dans cette odyssée.
    Pascal I
    Pascal I

    775 abonnés 4 136 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2016
    Très bon moment de cinéma avec immersion complète de la fin du 19ème. Une épopée bien maîtrisée, jalonnée avec quelques errements (malheureusement) mais compensée avec de bonnes interpr&tations et des FX crédibles. A voir ! 4/5 !!
    elriad
    elriad

    440 abonnés 1 868 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 février 2016
    chacun sait que l'adaptation d'un roman ne permet jamais de ressentir ce que les mots peuvent offrir d'imagination sans limite au lecteur, mais cette adaptation, sans être d'une force extraordinaire, permet au spectateur une plongée dans l'univers de Herman Melville, et au pire, donne envie de se plonger dans sa littérature. Photo, lumière,effets spéciaux et acteurs défendent honorablement ce long sans mériter aucunement de critique assassine...
    Flaw 70
    Flaw 70

    262 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 décembre 2015
    Deux ans après l'excellentissime Rush, Ron Howard retrouve Chris Hemsworth pour cette fois-ci nous raconter l’histoire vraie derrière le roman Moby Dick de Herman Melville. Le réalisateur n’a pas du trop tergiverser pour y voir une œuvre dans laquelle il pourrait s’épanouir ayant toujours aimé raconter les histoires tellement incroyables qu’elles en dépassent la condition d’homme. Et si en plus ces histoires sont emprunts de la réalité il parvient à être à son meilleur pour livrer un grand moment de cinéma comme il avait pu le faire avec son précédent film ou encore l’admirable Frost/Nixon. Tous les éléments sont donc réunis pour qu’In the Heart of the Sea soit le long métrage ultime du metteur en scène que ce soit en termes d’ambition, d’ampleur mais aussi d’esthétisme. Sauf que le film sera très vite rattrapé par ces nombreux défauts, et même si il est loin du naufrage, il ne sera pas aussi satisfaisant que ses mirobolantes promesses. La faute reviendra principalement aux lourdeurs du scénario qui va se jouer en deux temps. Premièrement, on sera face à une œuvre quasiment biblique, qui montre le combat de l’infiniment petit, à savoir l’Homme, face à l’immensément grand, la nature. Le récit prend donc très vite des contours écologiques qui sont indéniablement louables, permettant de montrer les différentes facettes de la chasse à la baleine, ici à la fois un sport euphorisant qui rapproche, une quête de domination de l’homme sur la nature et aussi un acte barbare et cruel qui se doit d’être puni. Alors que les deux premiers thèmes sont plutôt traités avec discrétion et intelligence et viennent habilement faire écho au troisième, ce dernier devient très vite pompeux dans sa manière d’être appuyé que ce soit par la mise en scène ou l’écriture, ces aspects du récit vont simplifier les choses par la providence divine et ont tendance à agacer. Ensuite le récit sera aussi profondément ancré dans la rivalité humaine, ici symbolisé à travers deux hommes, le capitaine et son second, faisant d’In the Heart of the Sea, une suite spirituelle à Rush, la rivalité et les méthodes divergentes entre les deux hommes rappellent instantanément ce qui faisait le cœur de la relation entre Lauda et Hunt dans son précédent film. Cela forme une continuité appréciable dans la filmographie du réalisateur qui poursuit ses thématiques avec l’aide du scénariste Peter Morgan avec qui il avait collaboré sur son dernier film ainsi que sur son Frost/Nixon. Ici cette dualité entre les deux hommes est clairement l’aspect le plus intéressant du récit mais aussi le moins exploité. On vit l’histoire à travers le témoignage d’un jeune mousse de l’équipage de l'époque qui conte son aventure à Herman Melville qui travaille alors sur l’écriture de son Moby Dick. Ce choix de narration devient très vite un autre gros problème du scénario car il alterne de manière régulière entre les scènes avec l’équipage du Essex dans le « passé » et les scènes de conversations entre l’écrivain et le dernier rescapé dans le « présent », venant à plusieurs reprises casser le rythme de l’aventure. Préférant s’intéresser à la chasse de baleine et faisant du naufrage son point d’orgue, sans pour autant accorder trop d’importance au combat contre le cachalot blanc qui est finalement anecdotique et expédié. Le film va quelque peu négliger la période de survie de l’équipage, se servant de sa structure narrative pour faire de nombreuses ellipses et passer sous silence la noirceur et les aspects les plus anxiogènes de cette histoire. Ce qui aurait dû être le cœur de l’œuvre n’est en fait qu’un post-scriptum en bas de page, toute la dimension psychologique est quasiment oubliée au profit de l’efficacité et de l’accessibilité de l’ensemble pour un vaste public. On est donc en face d’un récit exaltant mais désincarné qui ne suscite jamais l’effroi et le vertige qu’il aurait dû susciter. De plus toute les scènes avec l’écrivain sont maladroitement écrites et peinent à convaincre notamment dans la manière d’ajouter la femme du rescapé dans le récit, qui semble forcée et grossière offrant quelques passages assez agaçants. Tout ça reste quand même contrebalancé par les scènes dans le « passé » qui malgré un sentiment de survol par moments, se montrent efficaces et solidement écrites que ce soit dans les dialogues ou les relations entre les personnages qui arrivent à convaincre et à impliquer le spectateur en seulement quelques instants. Le casting est pour beaucoup dans l’attachement que l’on peut avoir avec les personnages, tous font un travail incroyable et sont suffisamment connus pour susciter très vite la sympathie. Chris Hemsworth est encore une fois excellent et plein de charisme dans un rôle qu’il maîtrise à la perfection mais ici c’est vraiment le jeune Tom Holland qui impressionne. S’apprêtant d’ailleurs à rejoindre Hemsworth chez les super-héros Marvel, il prouve ici que c’est un acteur sur qui on pourra compter et qui fait preuve d’une densité de jeu assez incroyable, il est très bon dans chacune des facettes de son personnage. On notera aussi un Brendan Gleeson toujours aussi juste malgré des scènes bancales donnant la réplique à un très bon Ben Whishaw, sans oublier Cillian Murphy dans un rôle assez discret mais qui impressionne toujours autant par l’intensité de son jeu. Le seul et unique bémol viendra peut-être de Benjamin Walker qui a tendance à en faire un peu trop dans son prestation de capitaine acariâtre. La mise en scène de Ron Howard, malgré quelques effets un peu trop appuyés, est fabuleuse et d’une densité folle. Arrivant à attirer l’œil de manière habile sur les détails les plus importants permettant de créer une œuvre à la symbolique bien pensée et subtile. Il utilise différentes focales pour accentuer l’aspect irréel voire cauchemardesque de son récit faisant de l’ensemble quelque chose de visuellement exaltant, jouant sur les plongées et contre-plongées pour accentuer la lutte entre l’homme et la nature, utilisant habilement la profondeur de champs et les échelles de grandeur arrivant à nous faire ressentir un sentiment de d’étouffement au milieu de ses grandes étendues d’eau et de vide. La mise en scène est donc appliquée et possède de nombreuses idées virtuoses même si elle n’est pas techniquement parfaite. Certains fonds verts sont visibles gâchant parfois certains effets de gigantisme et le montage donne à l’ensemble un rythme en dents de scie, certaines longueurs se font trop ressentir. La photographie est saturée, donnant un effet jaunâtre et maladif à l’oeuvre et est étonnamment efficace s’accordant à merveille avec le récit et permet quelques plans sublimes, étant aussi accompagné d’un score musical inspiré et accrocheur. In the Heart of the Sea est un film réussi mais indéniablement décevant quand à ses belles promesses, sur le papier tout était réunis pour en faire une oeuvre forte, primitive et marquante. Au final on est face à un bon divertissement, efficace et visuellement superbe mais souvent lourd et approximatif. Devant être l’apothéose de la collaboration entre Peter Morgan et Ron Howard, on est plus face au plus faible opus de leur trilogie malgré de sublimes et fulgurantes visions de cinéma. Le spectacle est cependant hautement regardable et recommandable par ce casting qui incarne magistralement ce récit malgré tout solide et superbement emballé par la mise en scène d’Howard.
    Fabien S.
    Fabien S.

    562 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2021
    Un très bon film sur la légende de la baleine Moby Dick . Ron Howard realise un très bon long métrage d'aventures.
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    215 abonnés 2 867 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 décembre 2018
    Des moments de bravoure décrits avec maestria, avec un Ron Howard, faiseur habile , très inspiré par les eaux et leurs immensité, entouré d'un casting cinq étoiles. Seul l'ivresse nous manque quand le récit s'en trouve limité à ses seules frontières. Moby Dick prend toutefois une autre dimension et les images sont démesurées.
    pfloyd1
    pfloyd1

    135 abonnés 2 115 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 avril 2016
    Moby dick nage dans le bohneur, on est dans la superproduction et les effets speciaux démentiels. L'histoire de la rencontre est narrer par l'un des survivants d'une longue chasse à la baleine qui a mal tournée et l'on peut dire que celle ci est bien mouvementée. On rentre dans le film tant l'action est vivante, réelle, ça sent la poussière, le bois, la mer; bienvenue à bord pour une chasse qui durera des mois. Les acteurs jouent très bien, d'une crédibilité sans faille (ce n'est pas une chasse au trésor avec Gerard Jugnot..désolé), la bande son, digne d'une superproduction et la réalisation sont soignée. On sent bien que l'on a voulu faire les choses en grand, aussi impressionnantes que moby dick elle même. Cependant, ce n'est pas dans un conte pour enfant, cet aventure est pensée pour les grands , d’abords. Dommage que l'aventure soit si longue, il aurait mérité 4 étoiles avec une petite demie heure de moins.
    Stéphane D
    Stéphane D

    124 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mai 2016
    Le début est déjà "gnan-gnan" avec des paysages de matte painting déjà artificiels.
    A ce stade, on est impatient de prendre la mer et d'affronter "la bête".
    Mais dès l'embarquement, cela ne s'annonce pas mieux spoiler: (le personnage principal doit sauver le bateau à peine sorti du port pour montrer que sans lui la Terre s'arrêterait de tourner)
    .
    La suite reste assez laide en effets spéciaux marins.
    Et la dernière partie (on penserait presque le film achevé) n'en finit pas de finir...
    ATON2512
    ATON2512

    60 abonnés 1 140 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 juillet 2022
    Un bon film d'aventure pour une période de fêtes . Ni plus, ni moins . Une narration correcte pour un film qui se regarde . Pour autant , images et photos parfois blafarde . Effets numériques et fond d'écran (port ..) pas toujours au top . De nombreuses longueurs ou lenteurs dans la mise en scène ! On a même droit à un pâle pamphlet écologique !
    Maxime F
    Maxime F

    43 abonnés 635 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 avril 2016
    Très sympathique malgré quelques longueurs. Bien interprété, assez bien réalisé, le film n'a pas de gros défauts en soi mais ne laisse pas non plus une impression incroyable. Ça ne sera surement pas un grand classique mais ça reste plaisant a voir.
    jaggg
    jaggg

    23 abonnés 197 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 décembre 2015
    O capitaine, mon capitaine….
    Voici un récit dramatique, épique, digne de Homère. On en apprend tout un rayon sur ce qu’est la chasse à la baleine. Certes, le métier de pêcheur est difficile. Mais ça n’a aucune mesure avec ce qu’est la traque des cétacés, puis la chasse particulièrement dangereuse au harpon de l’animal gigantesque (notre cachalot blanc fait… 30 m !) face à une poignée de créatures minuscules ballotées sur une coque de noix qu’un seul coup de queue peut envoyer par le fond à tout moment. L’abattage qui suit est tout sauf une partie de plaisir, quand l’équipage doit découper la bête et ici on plonge, dans le sens littéral du terme, dans les entrailles du métier de chasseur de baleine qui est d’extraire du « monstre marin » la précieuse huile nécessaire à l’éclairage et au chauffage. Entre autres…

    L’aventure puis les tragédies de ces hommes embarqués sur l’Essex les marqueront à jamais, quand de chasseurs ils deviennent gibier.

    Un peu longuettes, les scènes où le vieux Thomas Nickerson (ex-jeune moussaillon ayant survécu à ce cauchemar) n’arrive pas à se décider s’il va raconter l’histoire à l’écrivain Herman Melville. Mais cela reste un bon et beau film d’aventure où les moments de tension ne manquent pas.
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