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Anthony O
60 abonnés
687 critiques
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3,5
Publiée le 18 juin 2016
Une excellente réalisation avec des scènes de chasse qui coupent le souffle par leur réalisme. Une formidable épopée ; un film juste ce qu'il faut. Merci !
Très bon film. De belles images et de beaux effets spéciaux. On se croirait en compagnie des marins. Par contre, je ne sais par quel miracle, le Pot au Noir se retrouve à des milliers de mille à l'ouest dans le pacifique. Tout bon navigateur sait que celui-la se trouve au sud des Açores dans l'océan atlantique.
Excellent Film. Aprés les remarquables Rush et Un Homme D'Exception, le réalisateur Ron Howard livre une formidable Aventure qui fait honneur du fameux Moby Dick écrit par Herman Melville. Pour Commencer la Mise en Scéne est trés maîtriser en regorgeant de plans Séquences magnifiquement réaliser ainsi que de sublimes vues maritimes qui sont un régal pour la rétine et qui est servi par une trés belle BO qui accompagne merveilleusement le long métrage. Ensuite le Scénario est Captivante tout en étant une jolie leçon de vie et de courage dans cette lutte impitoyable entre les baleiniers et les cachalots dont le Rythme ne laisse aucune minute de répit au cours des 2h00 de film, ajouter a cela des Morceaux de Bravoures monumentales qui nous laissent sans voix en passant par des Effets Spéciaux Bluffants dont le graphisme sur mythique Moby Dick est remarquable tout comme sur les autres cachalots avec en prime quelques moments Intimistes particulièrement Touchants mais également séquences pleine de tension dont certaines moment phares du film qui joue avec nerfs avec brio. Enfin on éprouve énormément de sympathies pour cette équipe de marins hauts en couleurs dont le Casting se révèle tres impliquer mais surtout trés crédibles dans la peau de ces protagonistes a commencer par l'acteur Chris Hemsworth qui aprés nous avoir bluffé dans Rush et aussi avoir brillé dans la peau du héros asgardien Thor livre ici une belle performance d'acteur dans la peau du Capitaine Owen Chase qui est épaulé par une poignée de Seconds Roles au top comme Cillian Murphy,Tom Holland,Benjamin Walker,Brendan Gleeson,Frank Dillane,Ben Whishaw,Charlotte Riley et Michelle Fairley qui viennent apporter leur édifice a cette belle distribution. En Conclusion, Au Coeur de L'Océan est un excellent Film D'Aventures comme on en voit peu au cinéma qui parvient a donner un dépoussiérage aux mythes légendaires et qui s'avére a la fois Éprouvant,Saisissant,Poétique et Epique dont les amateurs du genre et les passionnées de mythologies seront émerveiller par cette gigantesque épopée qui s'avere comme l'une des plus stimulantes expériences de cinéma a voir et revoir.
L'histoire vraie qui a inspiré Moby Dick avec un gros cachalot et du cannibalisme. Chris Hemsworth (Thor) crève l'écran et montre qu'il possède aussi des talents d'acteurs. Les scènes de chasse à la baleine sont bien réalisées. Ce film correspond exactement à la filmographie de Ron Howard, des films bien ficelés, de bonnes histoires et une réalisation correcte mais sans atteindre des summums.
Le réalisateur Ron Howard (Backdraft, Horizons lointains, Apollo 13, Un homme d'exception, Da Vinci Code, Anges et démons...) nous propose ici de se plonger (c'est le cas de le dire) dans une aventure maritime au milieu du 19ème siècle autour du continent américain. Quelques chasseurs de baleines, partis en mer pour faire fortune à la recherche d'une huile si convoitée à l'époque, se retrouvent un jour confrontés à un cachalot blanchâtre gigantesque qui va couler leur navire et les traquer dans l'océan... Si l'histoire n'est pas ennuyeuse et les effets spéciaux de bonne tenue, on aurait aimé des personnages un peu plus étoffés et des émotions plus fortes pour un film de cette envergure... Divertissant mais pas plus.
Savant mélange entre Master and Commander : de l'autre Côté du Monde et Seul au Monde, Au Coeur de l'Océan révèle à qui l'avait oublié que Ron Howard adore raconter des histoires. Ici, c'est en compagnie de Chris Hemsworth et de Cillian Murphy qu'il s'embarque au XIXe siècle pour chasser la baleine. Et, derrière son aspect narratif qui font les grands films (on se rappellera La Ligne Verte), cette aventure hors du commun scotche le spectateur dès les premières minutes : des décors somptueux se mêlent en effet à une mise en scène appliquée. Là où les doutes quant à la présence du demi-dieu Asgardien se faisaient entendre, se dissipent pour laisser place à une sympathie indéniable, que l'on conservera jusqu'à la fin. Clairement séparé en deux parties, toutes deux relativement égales en terme de réussite, le film se savoure jusqu'à son générique qui rappellera que malheureusement, ce n'était qu'un film...
Au coeur de l'océan reprend une partie de l'oeuvre de Moby Dick puisque nous voyons l'auteur du célèbre roman Hermann Melville aller à la rencontre d'un survivant de l'Essex, baleinier attaqué par un monstrueux cachalot blanc. Ce film est très bien construit et magnifiquement interprété. Il est aussi sympathique de voir le duo Hemsworth/Holland à l'oeuvre peu de temps avant les derniers Avengers. Bref : un film prenant et captivant au coeur de l'océan.
Ron Howard continu à arpenter des films forts et dramatiques. C'est toujours en bonne voie. Il signe un superbe voyage tout en transposant le roman qui inspira Moby-Dick : La baleine géante. Le récit est passionnant et " Au Cœur de L'Océan " se compte comme un double film : d'un coté une très belle odyssée maritime où des hommes sont déterminés a traqués et a tués la gigantesque baleine, et d'un autre coté le récit de l'écriture sous la plume de Herman Melville. Le Super-héros Thor des Avengers , interprété par Chris Hemsworth , livre ici une prestation de qualité , il est impressionnant et dégage encore beaucoup de charisme. Les acteurs s'en sorte bien , la mise en scène est spectaculaire et la photographie impeccable. Attention : certaines scènes peuvent choqués et le film en 3D est sensationnelle. Ron Howard signe une fresque réussie et livre un spectacle épique dans un décors , où , l'homme face aux forces titanesques de la nature est vulnérable. Un très très bon film d'aventures.
Avec en toile de fond l'ébauche de ce roman d'anthologie qu'est "Moby Dick" et reprenant un thème très similaire à celui utilisé dans "Rush" avec ce duel entre le capitaine novice issu de bonnes familles et son second plus expérimenté mais constamment rappelé à ses origines de "terrien", Ron Howard livre là un film au souffle épique envoûtant même si le côté romantique de la diabolisation de la baleine, un peu comme dans "Backdraft" avec le feu, me laisse un peu dubitatif. Une première partie avec quelques séquences qui frisent le sublime, une seconde moitié plus plate, presque ennuyeuse. Un casting impérial dans lequel Chris Hemsworth approfondit son répertoire. Plutôt satisfaisant dans l'ensemble.
Après l'excellente surprise qu'était "Rush" en 2013, j'étais impatient de voir le nouveau film de Ron Howard, d'autant plus que cette histoire m'intéressait particulièrement. En effet, Moby Dick a pas mal marqué mon enfance, et le fait de découvrir clairement l'histoire vraie dans un film à gros budget c'était vraiment réjouissant pour ma part. Malheureusement pour lui, cet "Au Cœur de l'Océan" est passé trop discrètement sur nos écrans, sans la doute la faute à un certain "Star Wars VII" attendu en salles une semaine après. Mais bref, j'ai passé un très bon moment devant ce film. Je suis vraiment content de l'avoir vu. C'est de l'excellent divertissement. J'ai été juste un poil déçu puisque je m'attendais à voir la baleine géante plus que ça. Je ne connaissais pas complétement la véritable histoire qu'il s'est passé dans ce début du XIX siècle, et je ne pensais pas que les plus grands moments du film concerneraient le naufrage de l'Essex pendant de longs mois au milieu de l'Océan. C'est finalement un mal pour un bien, j'étais à fond dans cette aventure maritime en suivant tous ces baleiniers. Le début est un peu long, mais on est vraiment ensuite à fond dans le film. C'est très intéressant de suivre l'incroyable parcours de Thor, et (à ma grande surprise) Spiderman, Tom Holland faisant partie intégrante du casting. Ces naufragés m'ont d’ailleurs fait penser à ceux dans "Invincible", sorti l'année dernière. C'est très bien foutu. Ils paraissent réellement affaiblie, maigre, affamés... Je peux d'ailleurs clairement dire que le film est magnifique, on en prend plein la vue du début à la fin, que ce soit par ces décors et costumes de l'époque, ou encore par les effets spéciaux et visuels amenés par les agissements de l'eau. Les scènes de chasse sont oufs! Tout cela compense le fait de ne pas avoir assez vu Moby Dick qui amène tout de même encore plus de frissons et surtout de rebondissements au film. A savoir que le cachalot a été animé en images infographiques, et mesurait 29 mètres de long pour 80 tonnes! La musique est également géniale, et les dialogues sont travaillés. Pour conclure, du grand spectacle, avec de l'émotion et du suspens pour un film réaliste, intelligent, intéressant, tant d'un point de vue de sa qualité, qu'au point de vue historique.
Beau film classique, le nouvel opus signé Ron Howard a le mérite d’offrir un point de vue neuf sur l’histoire ultra-connue de Moby Dick en cherchant à traquer la vérité derrière le mythe. Il signe dès lors une œuvre à hauteur d’hommes et le cachalot géant devient dès lors une métaphore d’une humanité incapable de s’unir, même dans l’adversité, et minée par une incroyable capacité d’autodestruction. La rivalité entre le capitaine et son second constitue le gros du métrage. La forme du long flash-back permet de mettre en exergue le mythe qui peut se cacher derrière les exagérations du narrateur, tout en permettant au réalisateur d’esquiver quelques passages plus délicats, qui n’ont à priori pas leur place dans un blockbuster destiné au grand public. Même si le film semble être un échec public, il est quand même rassurant de voir des œuvres créées par des grands studios qui ne mettent pas en scène des super-héros. Chris Hemsworth fait d’ailleurs preuve d’une belle autorité sans son armure de Thor et prouve qu’il peut aussi être un bon comédien. Un bilan donc plutôt satisfaisant pour un film finalement assez audacieux, et doté d’une photographie magnifique.
Magnifique, tout est impeccable ! Ce film complète la liste des chefs d'oeuvre de R. Howard. Le jeu des acteurs est prenant et que dire des effets spéciaux qui sont tellement proches de la réalité. A voir absolument !
Classique de la littérature, "Moby Dick" a déjà été adapté au cinéma (on se souvient encore de la version ambitieuse de John Huston) et Ron Howard semble ne pas vouloir s'aventurer sur ce terrain. Il préfère alors se concentrer sur l'histoire vraie ayant inspiré Herman Melville, le naufrage de l'Essex en 1820, baleinier coulé par un immense cachalot. Si la première partie du film répond à toutes nos attentes, "Au Cœur de l'océan" ne tarde pas à décevoir dans sa deuxième partie. De façon générale, le film s'avère bancal et clairement scindé en deux. La faute à un climax (véritable morceau de bravoure impressionnant) arrivant en milieu de film et laissant la seconde partie s'enfermer dans un récit de survie classique, vu, revu et répétitif. Heureusement la première partie parvient à faire oublier ses personnages stéréotypés et offre un vrai récit d'aventure à la reconstitution soignée, aux scènes de chasse à la baleine plus vraies que nature, notamment grâce à un sens du montage dissimulant plus ou moins habilement des effets numériques voyants. Dommage que l'ensemble ne tienne pas ses promesses et finisse par ramer.
Le film nous montre Herman Melville payer pour écouter les paroles d'un vieil alcoolique survivant d'un naufrage. En parallele l'on suit l'histoire de l'équipage. La première chose frappante est l'image, qui est absolument moche, même si extremement difficile à faire en images de synthèse, pas une seule seconde je me suis sentis sur l'océan, rajoutez à cela des filtres DEGUEULASSES bleus pour l'eau, blanc pour l'horizon, vert pour le ciel, à faire vomir une mouette. Mettons que ce choix artistique ne soit qu'une question de goùt, les images en pleine mer sont peu convaincantes et me permettent d'admirer encore plus les films maritimes antérieurs (Pirates, Master and Commander...). On ressent la misère dans la réalisation avec des effets buées/éclaboussures, et des vagues dorées, des aveuglement de caméras, et je n'ai même pas envie de parler des cachalots plus rapides que des dauphins. Passons à l'histoire, pas grand chose à dire, l'histoire du cachalot tueur qui poursuit sans relâche les pauvres marins. C'est assez plaisant et ça se laisse regarder jusqu'à ce que le conteur alcoolique réapparaisse et sorte le classique et lourdingue "maintenant allez vous en monsieur le petit écrivain je ne vous raconterai pas la suite! Bon ben en fait si, sinon j'aurai pas d'argent!". Et puis la tentative foireuse de relier la baleine à un monstre biblique pour rappeler à l'homme sa place, l'idée est excellente mais c'est amené d'une manière ridicule au coin du feu alors que la moitié de l'équipage est décimée. Je n'ai pas perçu cette grandeur, cette "revanche" de la nature, ce qui aurait du être tout l'enjeu du film, peut être était-ce du à cette image de baleine blanche entourée de bleu et de vert... Les bons acteurs ne sauveront pas cette chose du naufrage.
Un spectacle qui donne le mal de mer mais ne garantie pas grand chose de plus. Howard en fait "juste ce qu'il faut" pour satisfaire un public amateur d'épopée héroïque en 3D. Certes ce n'est pas Moby Dick mais l'histoire vraie qui l'a inspirée. Voilà. Le mythe "baleinesque" semble gênant et trop rapidement évoqué, on comprend qu'il ne fallait pas s'attarder à une analyse profonde et pourtant les images du monstre marin suffisent à apporter son âme et sa constitance à ce récit d'aventure. Récit qui arrive trop tard finalement car tout ce qu'on nous sert ici a un désagréable goût de réchauffé. Heureusement et je le répète le cachalot apparaît, et à nos yeux de spectateur du XXIème siècle avec tout ce que cela implique, sa présence est finalement la bienvenue, tel un guerrier de l'ombre opérant pour une mystérieuse vendetta dont nous sommes pris à témoins. Toutes les parties de cette histoire ne se valent pas, certaines sont beaucoup plus prenantes que d'autres, mais globalement on retiendra surtout que le visuel, la forme narrative étant très basique et l'histoire ne révèlant rien d'inattendu.