Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
CNews
par La Rédaction
Le suspense psychologique et l’intensité dramatique insufflés par le réalisateur parviennent à harponner le spectateur.
Gala
par Jean-Christian Hay
Un film spectaculaire qui ne fait pas dans la finesse mais évite certains écueils.
La critique complète est disponible sur le site Gala
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Époustouflantes, les scènes de chasse, sur le pont avec les hommes, dans les eaux au plus près des cétacés et dans les cieux pour dominer l’action, possèdent une dimension épique. Du grand cinéma d’action.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
À partir de l’histoire qui a inspiré à Melville “Moby Dick”, un film d’aventures maritimes dans la grande tradition, les effets high-tech en plus.
Le Parisien
par Hubert Lizé
Le réalisateur américain de "Da Vinci Code" et d'"Apollo 13" a trouvé dans cette épopée maritime extraordinaire la matière d'un splendide film d'action. Un récit à la fois moderne et à dimension humaine, ultra-spectaculaire, mais où l'histoire n'est pas noyée dans les effets spéciaux numériques.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Bien que splendide, la créature est loin de constituer le principal argument de ce beau film d'aventure à l'ancienne.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Spectacle, émotion, suspense... tout y est.
Paris Match
par Alain Spira
Jamais vous ne visiterez l'intérieur putride d'une baleine comme dans ce film d'aventures dont le scénario tire des bords pour coller au plus près du drame. Une fois en pleine mer et grand écran, le film vous harponne pour ne plus vous lâcher.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Sylvestre Picard
L’aventure maritime motivée par le profit, jusqu’à la folie, puis la mort. C’est riche, grandiose et excitant comme un Master and Commander psychopathe, électrisé par la photo du chef op de Danny Boyle et truffé de séquences inoubliables.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Yves Grosjean
Une aventure humaine au moins autant qu'une chasse à la baleine. Un objet plus intimiste qu'un énième film catastrophe comme on en voit trop.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Voici
par La rédaction
Ce thriller d'aventure spectaculaire s'appuie sur le récit du lieutenant de marine Owen Chase, écrit en 1821. Un drame qui renvoie les hommes à leur propre monstruosité face à la brutalité de la bête.
aVoir-aLire.com
par Niels Euler
Ron Howard offre une relecture vibrante de Moby Dick, dans un blockbuster à échelle humaine, entre classicisme et modernité. Et se paye le luxe, l’air de rien, de faire un peu de politique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Closer
par La rédaction
Une mise en images réussie de l'histoire qui a inspiré Moby Dick.
Ecran Large
par Simon Riaux
A défaut d’avoir accouché de son grand œuvre, Ron Howard nous offre ici un récit d’aventure peut-être trop balisé, mais plastiquement grandiose.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par La Rédaction
Melville a tiré un chef-d’œuvre de cette histoire ; Ron Howard, lui, signe un film sympa, mais sans éclat.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Une fois admises les limites de cette entreprise, on est libre de s'abandonner au plaisir qu'elle offre (...).
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Ron Howard brille par sa mise en scène habile et par ses talents de conteur, qui lui permettent de compenser un scénario trop bancal.
Metro
par Marilyne Letertre
Et Ron Howard de scinder son film d’aventures en deux parties. La première, spectaculaire et vibrante, se concentre sur la pêche à hauts risques et sur les éléments déchaînés, là où la seconde, plus intime mais moins maitrisée, glisse vers le survival movie trop désincarné et prévisible pour captiver.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Sud Ouest
par Sophie Avon
Cette genèse de ce qui deviendra "Moby Dick" sous la plume d’Herman Melville est un beau récit d’aventures, hélas déserté par la dimension métaphysique du cachalot. Ron Howard lui pré- fère la survie des hommes coûte que coûte.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Le film tient ses promesses côté aventures homériques et monstre marin à l'affût, incarnation du Mal chez Melville, ici esprit vengeur. Mais le réalisateur reste en surface lorsqu'il s'agit de traiter les thèmes abordés, pourtant passionnants et d'actualité.
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
Un peu ringard, très académique, le réalisateur a fini par devenir le dépositaire d’un bel anachronisme à Hollywood, sensible dans cette manière presque émouvante de tenir les rênes de ses récits comme dans les années quatre vingt, indifférent aux lois contemporaines de l’entertainment.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Josué Morel
L’étiquette de "l’histoire vraie" n’est qu’un prétexte, une convention qui semble nier le mythe pour mieux le réinvestir.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Les flash-back n’arrangent pas les choses. Et puis le sort réservé aux pauvres cétacés à l’époque est tellement horrible qu’on est immédiatement du côté de Moby Dick !
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Prisonnier de son récit, le cinéaste ne parvient jamais totalement à faire souffler un vent épique et terrifiant sur cette histoire.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Le récit des rares rescapés (repus) fournit à Herman Melville l'inspiration pour écrire Moby Dick. Mais il n'inspire pas plus que ça Ron Howard, dont les films valent souvent ce que valent leurs scripts. Celui-ci ménage les scènes d'action attendues, plutôt bien faites, mais oublie de dessiner des personnages auxquels on pourrait un minimum s'attacher.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Florent Guézengar
Les clichés pullulent sous un faux réalisme creux, souvent à rebours du roman.
Libération
par Didier Péron
Le film de Ron Howard est de toute façon une totale bizarrerie old-school peinturlurée d’effets numériques à la truelle, aussi bien pour faire revivre la ville baleinière de Nantucket en 1820 que figurer la traversée d’un troupeau de cétacés en haute mer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
CNews
Le suspense psychologique et l’intensité dramatique insufflés par le réalisateur parviennent à harponner le spectateur.
Gala
Un film spectaculaire qui ne fait pas dans la finesse mais évite certains écueils.
La Croix
Époustouflantes, les scènes de chasse, sur le pont avec les hommes, dans les eaux au plus près des cétacés et dans les cieux pour dominer l’action, possèdent une dimension épique. Du grand cinéma d’action.
Le Dauphiné Libéré
À partir de l’histoire qui a inspiré à Melville “Moby Dick”, un film d’aventures maritimes dans la grande tradition, les effets high-tech en plus.
Le Parisien
Le réalisateur américain de "Da Vinci Code" et d'"Apollo 13" a trouvé dans cette épopée maritime extraordinaire la matière d'un splendide film d'action. Un récit à la fois moderne et à dimension humaine, ultra-spectaculaire, mais où l'histoire n'est pas noyée dans les effets spéciaux numériques.
Mad Movies
Bien que splendide, la créature est loin de constituer le principal argument de ce beau film d'aventure à l'ancienne.
Ouest France
Spectacle, émotion, suspense... tout y est.
Paris Match
Jamais vous ne visiterez l'intérieur putride d'une baleine comme dans ce film d'aventures dont le scénario tire des bords pour coller au plus près du drame. Une fois en pleine mer et grand écran, le film vous harponne pour ne plus vous lâcher.
Première
L’aventure maritime motivée par le profit, jusqu’à la folie, puis la mort. C’est riche, grandiose et excitant comme un Master and Commander psychopathe, électrisé par la photo du chef op de Danny Boyle et truffé de séquences inoubliables.
TF1 News
Une aventure humaine au moins autant qu'une chasse à la baleine. Un objet plus intimiste qu'un énième film catastrophe comme on en voit trop.
Voici
Ce thriller d'aventure spectaculaire s'appuie sur le récit du lieutenant de marine Owen Chase, écrit en 1821. Un drame qui renvoie les hommes à leur propre monstruosité face à la brutalité de la bête.
aVoir-aLire.com
Ron Howard offre une relecture vibrante de Moby Dick, dans un blockbuster à échelle humaine, entre classicisme et modernité. Et se paye le luxe, l’air de rien, de faire un peu de politique.
Closer
Une mise en images réussie de l'histoire qui a inspiré Moby Dick.
Ecran Large
A défaut d’avoir accouché de son grand œuvre, Ron Howard nous offre ici un récit d’aventure peut-être trop balisé, mais plastiquement grandiose.
L'Obs
Melville a tiré un chef-d’œuvre de cette histoire ; Ron Howard, lui, signe un film sympa, mais sans éclat.
Le Monde
Une fois admises les limites de cette entreprise, on est libre de s'abandonner au plaisir qu'elle offre (...).
Les Fiches du Cinéma
Ron Howard brille par sa mise en scène habile et par ses talents de conteur, qui lui permettent de compenser un scénario trop bancal.
Metro
Et Ron Howard de scinder son film d’aventures en deux parties. La première, spectaculaire et vibrante, se concentre sur la pêche à hauts risques et sur les éléments déchaînés, là où la seconde, plus intime mais moins maitrisée, glisse vers le survival movie trop désincarné et prévisible pour captiver.
Sud Ouest
Cette genèse de ce qui deviendra "Moby Dick" sous la plume d’Herman Melville est un beau récit d’aventures, hélas déserté par la dimension métaphysique du cachalot. Ron Howard lui pré- fère la survie des hommes coûte que coûte.
Télé 7 Jours
Le film tient ses promesses côté aventures homériques et monstre marin à l'affût, incarnation du Mal chez Melville, ici esprit vengeur. Mais le réalisateur reste en surface lorsqu'il s'agit de traiter les thèmes abordés, pourtant passionnants et d'actualité.
Chronic'art.com
Un peu ringard, très académique, le réalisateur a fini par devenir le dépositaire d’un bel anachronisme à Hollywood, sensible dans cette manière presque émouvante de tenir les rênes de ses récits comme dans les années quatre vingt, indifférent aux lois contemporaines de l’entertainment.
Critikat.com
L’étiquette de "l’histoire vraie" n’est qu’un prétexte, une convention qui semble nier le mythe pour mieux le réinvestir.
Le Journal du Dimanche
Les flash-back n’arrangent pas les choses. Et puis le sort réservé aux pauvres cétacés à l’époque est tellement horrible qu’on est immédiatement du côté de Moby Dick !
Studio Ciné Live
Prisonnier de son récit, le cinéaste ne parvient jamais totalement à faire souffler un vent épique et terrifiant sur cette histoire.
Télérama
Le récit des rares rescapés (repus) fournit à Herman Melville l'inspiration pour écrire Moby Dick. Mais il n'inspire pas plus que ça Ron Howard, dont les films valent souvent ce que valent leurs scripts. Celui-ci ménage les scènes d'action attendues, plutôt bien faites, mais oublie de dessiner des personnages auxquels on pourrait un minimum s'attacher.
Cahiers du Cinéma
Les clichés pullulent sous un faux réalisme creux, souvent à rebours du roman.
Libération
Le film de Ron Howard est de toute façon une totale bizarrerie old-school peinturlurée d’effets numériques à la truelle, aussi bien pour faire revivre la ville baleinière de Nantucket en 1820 que figurer la traversée d’un troupeau de cétacés en haute mer.