Il ne faut juger un réalisateur sans avoir vu le bon film, une erreur de porte avec une pancarte erronée ne correspond pas au produit cinématographique. Le bout du couloir avant le passage immuno-captitalisé de « Big short, la casse du siècle », puis la lumière éclairée. Sa comédie de flics du NYPD complètement déjantés m’a passionné, pas facile de composer une bonne salade Caesar poulet émincé finement tournant en dérision la police sans humour bien sarcastique. Il y a de la « Police Academy » numéro 8 ou son spin-off, les sketchs potaches pour ces détectives inspecteurs, des acteurs stars confirmés. Deux débutants dans ce scénario spécial qui explose tout sur leur route course poursuite, des cascades spectaculaires, hop hop pour Dwayne Johnson et Samuel L. Jackson est Nick Fury le flingeur fonceur, hilarant bad ass cops. Du RIP délire, une mise au placard mortelle tonitruante pour la suite des événements, la mise en scène est surprenante, captivante dans sa façon de filmer l’environnement citadin, très inspirée par son mentor qui donna l’idée aux comédies policières. Des gags en dessous du ceinturon des forces de l’ordre, leurs armes qui tirent en l’air shooté, ça vole haut chez ces poulets New-Yorkais burlesques prêts en mission commandée par radio depuis l’appel police secours 911, il faut s’habituer avec les sept Police Academy de 1984 à 1994, sinon on ne rigole pas et ce n’est pas plaisant. D’autre binôme pour reprendre le flambeau du good cop et bad cop du rire, Mark Wahlberg, l’agent modèle du mois cantonné à la circulation et Will Ferrell, propriétaire d’un modèle hybride écologique Prius toujours en compagnie de belle dame, Eva Mendes malgré lui. L’intrigue démontre tout son intérêt en enquête policière, une de leur routine quotidienne et une grande leçon d’ultra-libéralisme capitaliste plus explicite que dans le film de 2015. Les déficits monstrueux d’entrepreneurs n’est que la partie immergée de l’iceberg, le boulot des investigateurs dans le bureau de lutte contre la fraude fiscale et la corruption, la police des polices s’en chargera. Ce n’est pas terminé avec le défilé du post crédit, des notions d’actualité commune et des chiffres intéressants statiquement, ce qui rapporte en économie gouvernementale, la retraite dorée et une discussion autour de la table ronde du resto appétissant et langoureux.