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Votre avis sur Total Recall Mémoires Programmées ?
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Critique de "Total Recall" (2012). Quelle déception ce remake. De l'action toute les secondes, un suspens totalement absent. Colin Farrell est inexpressif tout le long du film. La Chute est une bonne idée, l'univers est une bonne surprise. Pourtant le scénario et les répliques sont très moyens. Ce film ressemble à un mélange de Minority Report et Blade Runner, le résultat est de mauvaise qualité. 2/5
Ce remake de Total Recall se révèle être redoutable et assez efficace. Un mélange parfait de fiction, d'action et de suspens dans ce film, qui, malgré certains essoufflements, s'avère être dynamique et particulièrement rythmé. Total Recall : Mémoires programmées nous plonge directement dans une ambiance futuriste grâce à un visuel épatant proposant certaines séquences particulièrement bluffante pour le plaisir de nos yeux. De plus, ce film nous réserve des séquences d'actions impressionnantes. L'histoire s'y intègre bien, mais malheureusement, elle en devient le principal défaut, à cause d'une mise en scène raté...alors qu'elle se révélait prometteuse. On pourrait qualifier cela de gâchis...un potentiel jeté à la poubelle. Le début commençait pour temps très bien. La réalisation ne permet pas non plus de sauver ce point faible. Cela manque cruellement de sentiments, d'émotions, d'enjeux et d'originalité. La tension n'y est pas à son apogée malgré un suspens prenant. À part Colin Farrell dans le rôle principal, le reste du casting peine à convaincre, incarnant des personnages " vides " et qui manquent de développement.
Encore un film lourdingue qui donne mal au crâne. On ne peut pas dire que les effets spéciaux et la direction artistique soient mauvais, c'est plutôt bien rendu, mais ça manque terriblement d'originalité. Un mélange de Ghost in the Shell, Matrix, I Robot... Puis c'est mal filmé, ça pète de partout, les acteurs ne sont pas crédibles, la musique se résume à de la mauvaise techno... Bref un film cliché, standardisé, ça m'a fait l'effet d'argent jeté par les fenêtres. Quitte à dépenser des dizaines/centaines de millions, autant essayer de ne pas faire gerber le spectateur et de lui proposer une trame et un rythme décent, non?
Bref, heureusement que c'était le film du dimanche soir, je m'en serai voulu d'avoir vu ça au ciné. Puis voir ça sur grand écran, je n'aurais jamais tenu plus de 40 minutes...
Bref, heureusement que c'était le film du dimanche soir, je m'en serai voulu d'avoir vu ça au ciné. Puis voir ça sur grand écran, je n'aurais jamais tenu plus de 40 minutes...
Si vous voulez transformer un très bon film de science-fiction bourré d'action et d'humour à la fois intelligent, plein d'ironie et totalement jouissif en un film bourrin, idiot, plein d'incohérences et de trous scénaristiques, appelez Len Wiseman ! Ce film est une insulte à la fois pour la nouvelle de Philip K. Dick (Souvenirs à vendre) et pour le film de Paul Verhoeven. Le scénario était vendu comme plus fidèle à la nouvelle mais il n'en est rien : si les personnages ne partent pas vers Mars (dans l’œuvre de Dick, ils n'y mettaient effectivement jamais les pieds même s'ils en parlaient), les péripéties principales ne sont que des adaptations sur Terre de celles qui se trouvaient sur Mars dans le film de Verhoeven. Len Wiseman est loin d'avoir l'ironie et la vision critique de Paul Verhoeven : il ne fait qu'enchainer sans aucun humour les scènes d'actions filmées comme un jeu vidéo et impossibles à croire dans un univers futuriste très fortement inspiré du Minority Report de Steven Spielberg (également une adaptation, très réussie celle-là, d'une autre nouvelle de Dick). Les effets spéciaux sont certes plus modernes que ceux d'origine mais sont moins efficaces car l'abus d'effets numériques rend le tout non crédible. On peut juste apprécier le fait qu'il y ait quelques hommages au film de Verhoeven mais même ceux-ci ne sont pas toujours cohérents (la femme aux trois seins du film de 1990 se justifiait par le fait qu'elle était une mutante de Mars alors qu'ici cet aspect a totalement disparu, ce qui rend sa particularité inexplicable). Enfin, les acteurs, n'ayant aucun moment pour développer leurs personnages, ne possèdent aucunement le charisme d'Arnold Schwarzenegger, de Rachel Ticotin, de Sharon Stone, de Ronny Cox, de Michael Ironside... Bref, un film à oublier très vite (et qui s'oublie très vite) et qui est à des milliers de kilomètres de la nouvelle de Dick et du film de Verhoeven (une adaptation infidèle dans sa seconde partie mais un film réussi).
Mais quelle déception ! moi qui est une fan de la version originale avec Schwarzie...dand ce remake il ne se passe rien excepté des courses poursuites et de la castagne. ce film n a aucune histoire je n ai trouvé que des pej de similitudes avec le 1er...bref passez votre chemin !!
J'ai bien aimé la version Verhoeven, j'ai bien aimé cette-ci aussi. Bémol sur la partie "ressuscitation de la mémoire" chez Rekall qui aurait dû être mieux exploitée, gros point d'interrogation sur Kate Beckinsale qui utilise le mot "shit!" comme si 'était une virgule, bémol aussi sur l'action elle même. Ceci dit, les effets spéciaux sont bien faits, les acteurs sont beaux, le fil conducteur tient la route. A voir un samedi soir, ou à ne pas voir à la rigueur, vous ne perdrez rien si vous sortez avec des amis boire un coup à la place. PS. Merci à Bill Nighy de sauver le personnage de Matthias :)
C’est un remake du film de 1990 mais c’est surtout un blockbuster efficace avec de superbes décors et accessoires futuristes. On s’y croirait vraiment. Quelques commentaires sur le casting, en commençant, comme il se doit, par les dames : malheureusement Jessica Biel fait pâle figure face à Kate Beckinsale parfaite dans son rôle mi-ange / mi-démon et la « fameuse » femme aux 3 seins est physiquement parfaite. Côté casting masculin, je ne suis pas un grand fan de Colin Farrell et j’ai donc du mal à oublier Arnold Schwarzenegger beaucoup plus hors norme physiquement et donc beaucoup plus adapté à cet agent secret hors norme. Côté scénario, il y a une vraie bonne base de travail avec l’œuvre de Philip K. Dick mais, malheureusement, l’histoire a été rendue un peu fouillis en la triturant pour l’éloigner de la première adaptation et les dialogues tirent parfois en longueur (qu’il est loin le temps de dialoguistes comme Michel Audiard avec des dialogues directs et percutants !). De belles courses-poursuites réalistes ont été insérées mais le film y perd un peu en rythme dans la narration.
Pour comparer plus précisément cette œuvre avec la version de 1990, ma mémoire avait besoin d’un « refresh » car je n’avais pas revu ce film depuis une dizaine d’années et ce qui est drôle, c’est qu’après avoir vu cette nouvelle version, j’ai eu une envie folle de me replonger dans la première mouture. Je ne dois pas être « normal » car je ne pense pas que les studios hollywoodiens fassent des remakes pour donner envie aux spectateurs de voir ou revoir les films copiés. Donc, j’ai mis le Blu-Ray de la première version de l’adaptation de la nouvelle de Philip K. Dick avec Arnold Schwarzenegger dans mon lecteur et roulez jeunesse…
Commençons par quelques commentaires sur le casting : Sharon Stone apportait un sex-appeal que ne montre pas Kate Beckinsale dans le film et elle en jouait avantageusement dans plusieurs scènes mais surtout il manque un vrai homme de main très méchant : j’ai la nostalgie de Michael Ironside, une vraie « gueule » d’hollywood, qui avait le rôle dans la première mouture spoiler: et ce rôle a tout simplement été « fusionné » avec celui de la fausse femme dans le remake
. Le film a surtout été adapté à notre époque spoiler: (côté sexe, c’est très soft : personne n’a plus le droit de toucher aux 3 seins de la prostituée, on doit seulement se contenter de les regarder et, côté violence, on est dans le virtuel (les méchants qui sont visés sont essentiellement des machines) davantage que dans le réel (dans la version de Verhoeven, on ne nous cachait aucun mutilation ou jet d’hémoglobine)
et cela manque donc beaucoup de subversion, de génie. Paul Verhoeven était un artiste là où Len Wiseman se contente d’être un bon employé de studios obéissant aux directives.
Une petite note aux amateurs de la Corée pour finir : il est assez drôle de constater que, dans les décors du film, le nom de la société « Recall » est écrit sur ses enseignes en deux langues : en anglais et en alphabet coréen.
Pour comparer plus précisément cette œuvre avec la version de 1990, ma mémoire avait besoin d’un « refresh » car je n’avais pas revu ce film depuis une dizaine d’années et ce qui est drôle, c’est qu’après avoir vu cette nouvelle version, j’ai eu une envie folle de me replonger dans la première mouture. Je ne dois pas être « normal » car je ne pense pas que les studios hollywoodiens fassent des remakes pour donner envie aux spectateurs de voir ou revoir les films copiés. Donc, j’ai mis le Blu-Ray de la première version de l’adaptation de la nouvelle de Philip K. Dick avec Arnold Schwarzenegger dans mon lecteur et roulez jeunesse…
Commençons par quelques commentaires sur le casting : Sharon Stone apportait un sex-appeal que ne montre pas Kate Beckinsale dans le film et elle en jouait avantageusement dans plusieurs scènes mais surtout il manque un vrai homme de main très méchant : j’ai la nostalgie de Michael Ironside, une vraie « gueule » d’hollywood, qui avait le rôle dans la première mouture spoiler: et ce rôle a tout simplement été « fusionné » avec celui de la fausse femme dans le remake
. Le film a surtout été adapté à notre époque spoiler: (côté sexe, c’est très soft : personne n’a plus le droit de toucher aux 3 seins de la prostituée, on doit seulement se contenter de les regarder et, côté violence, on est dans le virtuel (les méchants qui sont visés sont essentiellement des machines) davantage que dans le réel (dans la version de Verhoeven, on ne nous cachait aucun mutilation ou jet d’hémoglobine)
et cela manque donc beaucoup de subversion, de génie. Paul Verhoeven était un artiste là où Len Wiseman se contente d’être un bon employé de studios obéissant aux directives.
Une petite note aux amateurs de la Corée pour finir : il est assez drôle de constater que, dans les décors du film, le nom de la société « Recall » est écrit sur ses enseignes en deux langues : en anglais et en alphabet coréen.
Une catastrophe! De l'originalitè, il y en a guère dans ce remake du classique de Paul Verhoeven! Rien ne fonctionne ici mais l'intention de ce "Total Recall" version 2012 n'ètait pas non plus de s'èlever jusqu'à la rèussite absolue! Un tel film ne pouvait être rèalisè par un metteur en scène qui ne suit que les impulsions de son plaisir, de ses goûts dans le genre! Voulant coûte que coûte retrouver la mèmoire, Colin Farrell, entre vrais rêves et fausses rèalitès, ne nous fait jamais oublier Arnold Schwarzenegger! « Rekall » et tous vos rêves deviennent souvenirs! Mouais...mais là nous sommes plus dans le mauvais remake complètement dèvitalisè qu'autre chose, avec de l'action au rabais et une Kate Beckinsale à jeter! Reste les effets spèciaux, dans le style de "Minority Report". Rassurez-vous, Verhoeven a encore de beaux jours devant lui et pour ne pas rèitèrer les mêmes erreurs que Len Wiseman, il vaut mieux s'abstenir à refaire un remake qui manque d'âme provenant de la filmographie du plus tanlentueux rèalisateur nèerlandais de l'histoire! A bon entendeur...
C'était il y a longtemps, mais j'étais déjà allé voir le Total Recall original avec Shouartzy. J'étais donc dubitatif sur ce rebelottage.
Au final, le film ravira tout ceux qui n'ont pas connu l'original, car eux l'aborderons avec un regard neuf.
Pour ma part, je ne savais pas sur quel pied danser entre l'impression de déjà vu (La trame de l'histoire), et l'impression de neuf (car les enjeux de l'histoire sont différents).
Le film se laisse regarder, et après tout, c'est bien ce qui compte.
Au final, le film ravira tout ceux qui n'ont pas connu l'original, car eux l'aborderons avec un regard neuf.
Pour ma part, je ne savais pas sur quel pied danser entre l'impression de déjà vu (La trame de l'histoire), et l'impression de neuf (car les enjeux de l'histoire sont différents).
Le film se laisse regarder, et après tout, c'est bien ce qui compte.
Même si loin d'être un chef-d’œuvre, ce blockbuster de science-fiction / action sympathique se voit descendu par tout le monde de façon totalement exagérée, par la seule excuse du « on ne touche pas à un film qui a été déclaré comme culte ». Ce qui est ridicule pour trois raisons. D'abord parce que le film est largement plus une nouvelle adaptation de la nouvelle qu'un remake. Ensuite parce que l'original de Verhoeven est objectivement surestimé malgré ses qualités. Et enfin parce que rien n'empêche d'apprécier les deux dans l'absolu, c'est pas un concours où l'on devrait absolument trancher pour l'un ou l'autre. De toute manière ce sont deux films tellement différents à tous points de vue qu'il est absurde de les mettre frontalement en compétition. Bien sûr que la patte crado et un peu irrévérencieuse (et encore pour Total Recall faut le dire vite...) de Verhoeven n'est plus là, mais ça n'empêche pas à cette version d'avoir d'autres atouts. Les wagons de mecs qui arrivent avec leur rage et leur frustration pour mettre la note la plus basse possible, c'est juste indigne et pitoyable.
Ici, nous sommes face à un gros blockbuster de 2012 avec ce que ça implique, mais qui ne perd pas pour autant toute qualité dans les millions de dollars. Le défaut le plus horripilant, celui qui saute immédiatement aux yeux, c'est l'utilisation quasi-permanente de "lens flare" totalement random qui émaille le film. C'était la mode à cette époque... Mais sinon la représentation d'un monde futuriste est intéressante et dévoile nombre de détails quand on l'observe avec attention. Les décors sont souvent grandioses malgré leur aspect très "SFX" un peu superficiel. Certains personnages manquent par contre clairement de consistance même si la prestation de Colin Farrell est honorable (c'est avant tout le personnage de Jessica Biel qui fait défaut). Il y a beaucoup de scènes d'action très "modernes" (acrobatiques et irréelles) mais après tout, l'original de Verhoeven en était bardé aussi. Elles sont simplement dans le style respectif de leur époque. Globalement, c'est un film qui se laisse suivre sans problème pour quiconque n'est pas fermé d'esprit par principe et s'emploie à juger avec un minimum de recul. Certaines idées et certaines scènes sont tout à fait estimables. N'écoutez pas les aigris et faites vous votre propre opinion.
Ici, nous sommes face à un gros blockbuster de 2012 avec ce que ça implique, mais qui ne perd pas pour autant toute qualité dans les millions de dollars. Le défaut le plus horripilant, celui qui saute immédiatement aux yeux, c'est l'utilisation quasi-permanente de "lens flare" totalement random qui émaille le film. C'était la mode à cette époque... Mais sinon la représentation d'un monde futuriste est intéressante et dévoile nombre de détails quand on l'observe avec attention. Les décors sont souvent grandioses malgré leur aspect très "SFX" un peu superficiel. Certains personnages manquent par contre clairement de consistance même si la prestation de Colin Farrell est honorable (c'est avant tout le personnage de Jessica Biel qui fait défaut). Il y a beaucoup de scènes d'action très "modernes" (acrobatiques et irréelles) mais après tout, l'original de Verhoeven en était bardé aussi. Elles sont simplement dans le style respectif de leur époque. Globalement, c'est un film qui se laisse suivre sans problème pour quiconque n'est pas fermé d'esprit par principe et s'emploie à juger avec un minimum de recul. Certaines idées et certaines scènes sont tout à fait estimables. N'écoutez pas les aigris et faites vous votre propre opinion.
Film très mauvais, cela ne prends pas.
spoiler:
Pendant tout le film on pense qu'il va se réveiller et que tout cela n'est que le fruit de ce qu'il est allé cherché chez Total Recall
.
.
Eric C.
Un film punchy avec un superbe casting. Colin Farrell est épatant en homme ballote par les évènements et qui peu à peu se révèle un héros de film d'action et un redoutable combattant de la vérité et de la liberté. Kate Beckinsale, sublime , remarquable de beauté, compose un personnage complexe, double face, de l'épouse modèle et douce à l'agent tueur, vengeur et exterminateur. Elle est sans conteste la réussite de ce film et son énergie, eclaboussante de talent. Jessica Biel campe une rebelle de la résistance avec justesse dans un rôle plus en retenue mais avec son engagement athlétique habituel. Un excellent film d'action fantastique servi surtout par 3 très bons acteurs.
Le film n’est pas une pompe directe de l’original : pas de Mars, pas de mutant, un univers plutôt à la bade runner (peut être le seul attrait du film). Reste le principe de la mémoire effacée / reprogrammée. ça aurait pu être le point de départ de beaucoup de choses mais pas soutenu par un scénario à la hauteur : le gouverneur machin qui veut étendre sa domination sur le monde…pfffffff ! méga nouveauté.
Donc au final un gros truc à effet spéciaux sans réel intérêt : Farel a l’air pommé, il bastonne et plombe des troopers mais franchement n’arrive pas à la cheville de Schwarzy ni même celle de Quato…
Donc au final un gros truc à effet spéciaux sans réel intérêt : Farel a l’air pommé, il bastonne et plombe des troopers mais franchement n’arrive pas à la cheville de Schwarzy ni même celle de Quato…
Bâti à partir de la même idée que Total Recall (celui avec Arnold Schwarzenegger), ce film est décevant.
Il est plus récent et profite donc des avancées en terme d'effets spéciaux. Mais c'est raté, peu convaincant, mal joué.
Il est plus récent et profite donc des avancées en terme d'effets spéciaux. Mais c'est raté, peu convaincant, mal joué.
J'ai de loin préféré la version avec Sharon Stone et Arnold. Ici, aucun humour, de l'action, des effets spéciaux du futuristes bidons et déjà vu (Les voitures sont similaires au "Cinquième Elément" ou "Blade Runner"), des personnages en manque de charisme... Des troupes à la Storm Troopers de "Star Wars" Décevant, même les robots noirs m'ont fait penser aux troupes de "Resident Evil". Qu'est-ce donc ce plagiat et ce duel minable sur la fin ? Un peu plus d'imagination, que diable !
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