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Un visiteur
4,0
Publiée le 16 septembre 2010
hummm un vrai delice, quel plaisir de voir a quelle point la france s'engouffre dans le modele americain. avis a ceux qui ne l'ont pas vu, les commentaires a 1 etoiles sont surement le fait de quelques personnes se reconnaissant dans ce docu!!!! et pour ceux qui se sont ennuyer, desole allez voir expandable, je pense que ca vous colle mieux. dommage que ce genre de documentaire ne soit absolument pas prit en compte par les gens a qui ils s'adressent, c'est a dire, vous et moi.
Merci à M. Moore pour ce genialissime film plein de sensibilité, avec la touche d'humour désopilant qu'on lui connait!... ça se passe aux Etats Unis, ? dingue, par moment on se croirait en France post 2007! en tout cas, merci à lui de prendre la parole pour les gens que reduits au silence et nous expliquer que 2 2 ça ne fait ni 3 ni 5 quoique tous les medias bien pensants en disent!!
Pas besoin d'être d'extrême gauche pour se rendre compte de réalité des faits relatés par Michael Moore. Les preuves sont concrètes, merci pour ces investigations destinées à faire dévoiler la vérité sur les méfaits du capitalisme dans le monde.
Un doc intéressant pour certains passages, mais je n'ai pas trop confiance en Michael Moore qui simplifie certaines choses par rapports à ses premières oeuvres.
J'ai touvé le film beaucoup moins impactant que ses anciens documentaires. J'ai l'impression que que le réalisateur est incorporé une flopée de déclaration, de vidéos, d'images pas forcement utile. Dans son ensemble, le film est bien, cela nous permet de mieux comprendre l'origine de la crise américaine avec les doubles casquettes des hauts responsables de G.W.Bush. Le reportage aurait pu être finalisé en 1 heure chrono.
Passé maître dans l'art d'incendier les vices de l'Amérique, Michael Moore s'attaque cette fois ci au Capitalisme. Après avoir incendié les militants pro armes à feux, le gouvernement Bushiste, le système de santé Américain et les grandes entreprises il était logique, vu l'actualité au moment du film, que son sniper aiguisé prenne la direction de Wall Street et des grandes banques américaines.
Dans un style très Moorien, le film passe en revue durant 2h les causes et surtout les conséquences du système capitaliste, de ses fondations jusqu'à sa crise récente, se succède donc de nombreux témoignages, graphiques, statistiques, images d'archives et interview permettant à éclaircir un peu plus le rôle du gouvernement et des banques dans l'effondrement du capitalisme financier. Dans l'ensemble on apprend bien deux, trois choses, mais l'essentiel reste déjà acquis et le film ne sert finalement que de rétrospection contextuelle. Malgré cela la réalité des choses reste évidemment toujours difficile à entendre et les soupirs de consternations se font souvent sentir. Mais un film de Michael Moore ne serait pas un vrai film de Michael Moore sans ses habituels rituels cinématographiques, donc comme dans ses précédentes réalisations on n'échappe pas aux longs sanglots de l'Américain moyen désespéré, aux discours raillés de George Bush et aux fréquents show Mooresque, bien qu'irrésistibles et jubilatoires.
Capitalism : a love story s'inscrit dans la droite lignée de ses précédents films : sans surprise et bénéficiant des habituels rictus de réalisation caractéristique au personnage. Moore fait du Moore, et même si à la longue le film tourne un peu sur lui même on lui excusera un sujet compliqué à traiter dans une société résignée par tant d'indécence humaine et financière.
Michael Moore nous livre sa vision des USA qui au niveau politique est: Obama, Roosevelt sont des considérés comme des Dieus et Georges W. Bush est le mal absolu. Je suis encore bien jeune mais il faut faire une différence entre ce qu'un homme politique dit et ce qu'il fait. La vision idyllique du monde si Roosevelt ne serait pas mort est assez pathétique. Pire le film s'achève par la question "Qu'est devenu les états unies?" et montre les dégâts de l'ouragan Katrina, donnez moi le rapport avec la finance. Les catastrophes naturelles sont inévitables, le capitalisme n'est pas la cause de la misère que ces gens ont vécu. Il y a du bon dans le film , mais c'est du Michael Moore, il en rajoute beaucoup trop, il utilise les clichés ce qui donne un film vraiment moyen.
Un trés bon documentaire de la part de Michael Moore qui dénonce le capitalisme et ses répercussions sur le pays même si il faut parfois s'accrocher pour suivre du fait de terme plutot compliqué.
Fidèle à son style Mickael Moore dénonce d'une manière efficace et pertinente un système qui ne tourne pas rond. Comme souvet il y a beaucoup de raccourcis faciles et peu d'objectivité mais son enquète reste tout à fait prenante et instructive. A voir.
n'aimant pas le capitalisme et aimant les film de moore je pensais me regaler.. pourtant non. je trouve le film assez demago et n'attaque pas assez les institutions americaines de plus c'est un film americain pour les americains
Mérite d'être vu pour quelques révélations hallucinantes (assurance vie des employés, salaires des pilotes...), mais quelle idée de faire toute une partie du film sur la position de la bible par rapport au capitalisme (dans le genre "qu'aurait pensé Jésus aujourd'hui du capitalisme"...)... et les autres religions alors ? Ca y est... Michael Moore commence à se prendre pour un prédicateur... Et vas y que je me permets de mettre un ruban jaune 'Scene of crime' devant des immeubles de banques... Il s'est pris un peu la grosse tête, le Michael, non ?
Une bonne mise en scène : images, son, montage intéressants et sympathiques ! Le film de Moore n'est pas vraiment un reportage. Peu de thèses sont différentes ou contraires à celles qui sont présentées. Il faudrait plutôt qualifier ce film de "vagabondage", sans connotation péjorative. On passe de l'une à l'autre chose, parfois sans grand lien. Le film est intéressant mais parfois un peu difficile à suivre et à comprendre (surtout s'il est regardé en VO).
Capitalism A Love Story ou comment nous prendre pour des cons. Ce documentaire est, ce dont on se rend compte tout au long de "l'histoire" une critique virulente du système capitaliste sur fond de scandale et de polémique. Soit ! Cette aspiration est tout à fait louable de la part de Michael Moore. Mais ce qui est critiquable, et c'est bien le problème majeur de ce documentaire, c'est qu'il est exempt, ou tout du moins pauvre en arguments et en preuves réellement fondées. A titre d'exemple au début du film, la faillite de General Motors est évoquée ... alors que l'entreprise existe bel et bien encore aujourd'hui ! D'ailleurs Michael Moore parvient même quelques instants après la dite scène à se rendre au siège social de l'entreprise. Amazing isn't it? Et tout au long de ce long-métrage apparaissent des énormités de ce genre, de l'adolescent convoqué au tribunal puis envoyé dans une maison de redressement pour avoir jeté un steak à la tête de son beauf ou de je ne sais plus trop qui (je n'invente rien c'est tiré du documentaire) au pilote d'avion qui, même mort, réussit malgré tout à expliquer aux médias que le crash de son avion au cours duquel celui-ci, ainsi que tous les autres passagers ont succombé est dû à une discussion endiablée avec son co-pilote sur leur carrière mutelle, ou plutôt sur leurs conditions de travail inadmissibles et largement sollicitées par le dit système; Méchant Capitalisme ! Difficile après de ne pas douter de la validité des arguments utilisés tout au long de ce documentaire par Michael Moore pour dénigrer le Capitalisme, système basé sur la cupidité, l'immoralité et l'égocentrisme, défauts que l'on peut effectivement retrouver dans l'attitude de certains chefs d'entreprise actuels mais qui, exagérés et généralisés à l'ensemble des dirigeants comme cela peut être le cas dans ce film, finissent par priver le documentaire de toute crédibilité. Bon allez comme je ne veux pas être perçu comme un méchant capitaliste, je ne met pas 0 : 0,5.
On s'attend à une critique acerbe du capitalisme sur fond de manipulation, on se retrouve avec des images ternes et laides. alors oui, alleluyah pour le propos, mais c'est pas une raison pour nous prendre pour des c***.
Moore est, pour moi, le pro de la manipulation. Il tente d'infliger au spectateur sa propre idée, sa propre opinion. De plus, ce film est assez compliqué à suiver et part dans tous les sens, comme dans Farenheit 9/11