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    Capitalism: A Love Story
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    155 critiques spectateurs

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    14 abonnés 235 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 mars 2013
    Pour apprécier ce film, il ne faut pas avoir déjà vu Inside Job qui lui est très amplement supérieur. La méthode Moore montre ici clairement ces limites : tres peu factuel, le réalisateur se met beaucoup trop personnellement en scène ce qui nuit à la force de ses arguments. Les scènes avec un mégaphone ou un camion de transport de fond pour collecter l'argent des banques sont ici d'une puérilité confondante. Moore est même dans l'auto-citation en insérant un extrait de Roger
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 janvier 2013
    Très interressant !!
    ça m'a permis de mieux comprendre les subprimes !!
    Et voir comment les riches et puissants se partagent les richesses tout en appauvrissant le reste du peuple !!
    le pognon, le pognon ...l'humain on verra après !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 décembre 2012
    Selon moi ce film est une oeuvre magistrale au niveau documentaire, nous démontrant ce qui se trame sous nos yeux. Ce qui nous permet également de se faire un avis objectif au niveau politique. Merci à M. Moore tout simplement
    ned123
    ned123

    154 abonnés 1 680 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 décembre 2012
    J'ai vu un film... qui fait bien plus peur qu'Alien, Massacre à la tronçonneuse ou que Alice au Pays de Merveille réunis... On en apprend beaucoup sur notre monde, sur les gens qui gouvernent et ceux qui décident... Le style de Michael Moore oblige à réfléchir, pour comprendre, essayer de voir la faille de son propos (on n'aime quand même pas être manipulé par sa démagogie...) et se dire quoi faire pour s'opposer aux défauts de cupidité et de rapacité qui ne manquent de caractériser chacun d'entre nous. (Eh oui chacun, car lorsqu'on cherche à trouver le truc le moins cher, il y a de fortes chances que ce soit un ouvrier délocalisé qui l'ait produit...)... Et le rôle des banques, des financiers, des gouvernements est vraiment à mieux comprendre pour mieux les encadrer. (et je comprends mieux maintenant leur envie de totale déréglementation...). On ne ne peut que se sentir envahi par un certain désespoir car comment sortir, par le haut, de cette crise de confiance, cette crise de société, cette crise de foi...
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 octobre 2012
    S’il y a une qualité qu’on peut reconnaître à Michael Moore, c’est bien la constance qu’il manifeste depuis ses débuts en 1989 avec « Roger et moi », et qu’il confirme une nouvelle fois dans son dernier film. Constance tout d’abord dans le choix de ses cibles, avec une prédilection pour Ronald Reagan, Georges W. Bush et General Motors, coupable du pêché originel, à savoir la fermeture de l’usine paternelle à Flint, Michigan, et que l’on retrouve tous ici.

    Constance aussi dans la forme très particulière de ses documentaires, où le réalisateur induit la perception du spectateur à l’aide du télescopage d’archives, de reportages et d’interviews, de la place envahissante des greatest hits de la musique classique (Beethoven, Orff, Elgar) et de le mise en scène de son propre personnage pour apostropher les méchants.

    Disons le clairement, son dernier opus ne déroge pas à ces façons de faire, ce que Michael Moore revendique d’ailleurs clairement : « Depuis « Roger et moi », tous mes projets ont été traversés par une sorte de fil rouge, des enjeux communs. « Capitalism : a love story » n’est pas seulement un prolongement, c’est une forme d’aboutissement, un point culminant de mon travail. »

    Comme chaque fois, il touche juste quand il dénonce les aberrations du système auquel il s’attaque, avec sa capacité à dégotter des illustrations frappantes de son propos ; après les pompiers du 11 septembre privés de soin dans « SiCKO », il nous fait découvrir les contrats du « paysan mort », une assurance prise par les grandes compagnies sur la vie de leurs employés à leur insu, qui rapporte quelques millions de dollars aux trusts et zéro cent à la veuve, ou encore la privatisation d’une maison de redressement qui, rentabilisation oblige, envoie au gnouf pour plusieurs mois des ados coupables d’avoir balancé un steack lors d’un repas de famille ou de s’être disputé avec leur copine.

    Alors que « Fahrenheit 9/11 », destiné au public américain, enfonçait des portes ouvertes depuis longtemps pour des spectateurs du Vieux Continent, « Capitalism : a love story » éclaire des aspects peu connus de la société américaine, comme les coopératives ouvrières, les pilotes de ligne si mal payés qu’ils doivent vendre leur plasma, ou le renouveau des occupations d’usines.

    Mais on retrouve aussi les limites du manichéisme de Moore dans ses coups de cœur. Après la glorification de la sécu française et l’apologie de la gratuité des soins à Cuba dans « SiCKO », il termine son film avec ce qu’il appelle « la vague du peuple », l’élection d’Obama. « Ce soir-là, on a dit adieu à la vieille Amérique », proclame-t-il. Pronostic aussi imprudent et naïf que la décision du jury Nobel : pas sûr que d’ici quelques années, Michael Moore ne soit pas obligé de reprendre sa caméra et de retourner à Flint pour constater les dégâts futurs du capitalisme U.S.

    http://www.critiquesclunysiennes.com
    SothaSil
    SothaSil

    9 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juin 2014
    "Capitalism: A Love Story", ça sonne un peu comme Michael Moore versus le capitalisme. On redoute le truc bourrin. Et c’est vrai qu’à plusieurs moments le film manque clairement de recul : les éloges naïves de l’Europe et d’Obama, la séquence religieuse (tropisme américain oblige). Mais il reste globalement efficace pour plusieurs raisons. La première, c’est sa structure très foisonnante, Moore nous présentant une réflexion "à sauts et à gambades" comme dirait Montaigne, qui facilite d’une certaine manière l’immersion car on a l’impression de le voir élaborer son raisonnement de façon très naturelle. Même si le manque de fil directeur (hormis celui de la critique sans concession du capitalisme) se fait sentir, la narration de Michael Moore, plutôt agréable, évite de nous perdre. Ensuite, le contenu même du film, bien que de qualité inégale, est globalement pertinent. Dans le moins bon, on trouve les passages lourdingues déjà évoqués. On peut rajouter les interventions inintéressantes de Wally Shawn, ami de Moore (au moins ont-elles le mérite d’être courtes). Dans le meilleur, le projet de Roosevelt de deuxième Bill of rights, l’éclairage sur la façon dont les banques ont court-circuité les assemblées parlementaires pour se faire renflouer par l’Etat, le scandale de la justice privée pour mineurs. La grande qualité de ce film est aussi de nous montrer comment les gens s'organisent pour inventer des alternatives, même si certains passages auraient clairement mérité d’être plus développés, en particulier celui sur les coopératives. A contrario, on se serait bien passé de certains "approfondissements" qui tournent au voyeurisme malsain, notamment quand on nous montre toute une famille réunie en train de chialer en regardant des vidéos de la défunte mère (sur qui son entreprise avait contracté une assurance-vie et a fait un beau profit à son décès). Au final, "Capitalism: A Love Story" opte pour la posture du pamphlet militant (là où par exemple Inside Job préfèrera celle plus confortable de documentaire didactique). Il en a les défauts, certes, mais il en a surtout les qualités.
    Don Keyser
    Don Keyser

    73 abonnés 1 640 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mai 2012
    Dénonçant très bien les travers de la société américaine, "Capitalism: A Love Story" est doté une nouvelle fois d'une très bonne réalisation de Michael Moore. Par contre, le scénario manque parfois d'appoint mais dans l'ensemble on en apprend beaucoup sur le capitalisme aux USA. Toutefois, il ressemble à certaines autres oeuvres du réalisateur donc au final, c'est un bon film qui est assez réussi.
    Gonnard
    Gonnard

    239 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mars 2012
    Michael Moore endosse une nouvelle fois la robe du procureur pour se livrer à un réquisitoire contre le capitalisme. Deux ans après la crise des subprimes, un an après le krach de 2008, son documentaire stigmatise les méfaits de la collusion entre le bureau ovale et les grandes institutions bancaires. On y découvre les magouilles honteuses mises en œuvre par les chantres de l'économie de marché. C'est convainquant, of course, mais terriblement moorien, à avoir partisan et grand-guignolesque. Michael Moore est un brave garçon, il croit en des idées qu'il défend avec ardeur, mais son œuvre à force de dégager du souffre finit par s'enflammer toute seule pour finalement s'autodétruire. Optant pour la surenchère permanente, il saborde son propre navire argumentatif et perd une bonne part de crédibilité.
    JeremGar
    JeremGar

    93 abonnés 1 568 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 décembre 2011
    Un film dénonciateur encore pour Michael Moore. Cette fois-ci il décide de s'attaquer au système bancaire américain et plus généralement, comme le titre du film l'indique, au système capitaliste en lui-même. Un film-documentaire assez bien monté avec de très belles révélations. Le problème avec ce genre de thématique est que, lorsqu'on essaye de les décrédibiliser, à l'écran ou en film, on tombe soi-même dans ce piège car quel est d'autre que Hollywood si ça n'est pas une machination capitaliste?! Il se sert de l'argent de capitalistes pour dénoncer le capitalisme et pour s'enrichir lui-même! C'est un peu le chien qui tourne en rond pour attraper sa queue! Néanmoins on apprend énormément de choses sur ce système qui reste tout de même plus complexe que le simple fait de faire du profit. Un angle bien choisi pour cet énième film-docu de Moore!
    vanou97
    vanou97

    44 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 novembre 2011
    Même si le message est transmis un peu trop à "l'américaine", on a une belle prise de conscience, et plus encore, il est instructif! On apprend beaucoup aussi avec ce plaidoyer du "Capitalism" de Michaël Moore qui arrive à faire passer son message avec succès. Chapeau, et merci!
    stillpop
    stillpop

    81 abonnés 1 444 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 octobre 2011
    L'histoire des subprimes et autres joyeusetés inventées par les pires salopards de la planète fric.
    Moore est fatigué, ça se voit et il le dit lui-même, il aimerait bien être remplacé dans son rôle de bouffon du roi peuple.
    Mais ça n'empêche pas son film de nous apprendre pas mal de choses que l'on n'a pas vu dans la presse française si bien muselée par les pressions de Sarkoland.
    Oui le néo-libéralisme est la pire des idéologies, elle mène l'humanité à sa perte, et oui, le pouvoir financier des décideurs, à la solde de Wall Street ou de la City est au delà du pouvoir politique des élus populaires. C'est la leçon de l'histoire démontrée par ce film et il est désormais clair que seule la décapitation des élites qui ne sont là que pour faire le maximum de fric sur le dos des personnes lambda sera bientôt la seule solution pour vivre dans une civilisation digne de ce nom.
    C'est triste, l'imagination des salopards est au delà de notre imagination même si elle n'apparaît que plus sordide encore, et le seul message d'espoir est l'amorce d'une résistance populaire que pour une fois Moore filme avec une qualité d'image un peu plus professionnelle que par le passé.
    Rien de réjouissant néanmoins, simplement indispensable pour mourir moins con.
    Machriasi
    Machriasi

    10 abonnés 629 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 octobre 2011
    Le moins bon des moore a mes yeux sirement a cause du sujet moins passionnant ou du film peut etre moin bien realisé en tout cas je me rappelle deja preske plus de ce que j'ai vu
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 16 septembre 2011
    Un documentaire osé, frappant, parfois drôle, parfois choquant, une perle rare au moins une fois dans sa vie, ainsi que tout les films de ce réalisateur qui dérange les Grands de ce monde.
    matt240490
    matt240490

    82 abonnés 1 062 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 septembre 2011
    Quatrième film de Michael Moore que je vois maintenant, après Bowling for Columbine (vente d'armes), Sicko (système de santé) et Fahrenheit 9/11 (terrorisme et 11 septembre), ce film parle du capitalisme et des méthodes du gouvernement américain pour s'enrichir toujours plus. Tout comme les 3 autres films, les images sont juste révoltantes à de nombreux passages. Parfois, c'est assez complexe à en saisir le sens puisque c'est de l'économie pure et de la politique avancée mais en général, c'est très compréhensible et assez bien fait. Quelques critiques toutefois. Le film donne un avis trop personnel de Michael Moore lui-même, et ses conclusions sont parfois trop hatives et arrivent trop facilement au but qu'il veut donner.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 août 2011
    Du grand Moore, comme toujour qui ouvre les yeux bien fermé d'une foule confiante dans son entreprise gouvernée par un p.d.g qui attend bien sagement qu'un de leurs pions claque pour se faire du blé !! incroyable mais bien réel, la police arrete le peuple sans toucher à "ceux d'en haut", voleurs et fabriquants de misères confortablement assis sur des millions de dollars...
    A voir et à faire voir, il n'y a pas de "Moore" en France et c'est bien dommage...
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