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Un visiteur
4,0
Publiée le 29 novembre 2009
A ne pas rater. Ce film-documentaire nous fait passer par diverses étapes, l'impuissance devant la spirale de la misère, la colère contre le coup d'état financier avec l'approbation du gouvernement américain et les PDG des banques, l'espoir avec la venue d'Obama et l'aide qui s'installe spontanément entre les ouvriers et les ex-propriétaires que l'on a sans scrupules privés de tout. Heureusement Moore et sa dérision nous permet de sortir de la séance avec une lueur d'espoir, mais il reste encore beaucoup de chemin à parcourir...
Documentaire toujours instructif,le capitalisme et le peuple,vieux comme le monde.Mickael Moore comme d'hab le dénonce,je l'ai trouvé épuisé de ces combats sans fin mais lui,il le fait,on est averti
Critique vive et amère du monde financier, et de la crise dont il est le premier responsable. La maffia change de visage et le peuple gronde ! L’humour de Michael Moore est ce qu’il est … Son grand mérite est de réveiller notre conscience ! A VOIR ABSOLUMENT !
Il n’y avait à attendre d’autre de cet "Anticapitalisme pour les nuls" que cette diabolisation du système financier agrémentée des plaintes de pauvres malheureuses victimes de la crise, surtout de la part de Michael Moore, le documentariste dont l’objectivité semble délaissée par un parti-pris frisant le propagandisme. Cette belle leçon de démagogie peut tout simplement être résumée par la célèbre citation du grand génie que fut Einstein: "Les Etats-Unis sont passés de la barbarie à la décadence sans connaitre la civilisation".
Si le film n'est pas aussi ennuyant que son Farenheit 9/11 (qui a honteusement obtenu la palme d'or), Moore se livre comme d'habitude à de la désinformation au moins aussi forte que celle des personnes qu'il critique. Je suis fortement anticapitaliste donc ma haine envers le dernier Moore ne vient pas de son sujet, mais du traitement, je n'ai pas la place de développer beaucoup mais ce film essaye d'émouvoir la bonne famille américaine à coup de familles pauvres en pleurs et de blagues. On nous resort le coup du complot, on nous dit des trucs faux, on pose Obama en sauveur, on fait comme si les choses allaient changer, mais en fait, c'est juste une grosse manipulation Démocrate. Le ridicule est à son comble lorsque pour toucher son public américain Moore va voir des prêtres. Ce film est une honte, tout sauf honnête, jamais pertinent, il n'explique rien de neuf et délivre une bonne dose de propagande idiote.
Capitalism : A Love Story ou bien comment utiliser le malheur des gens pour s'assurer une plus grande crédibilité, car oui entre autres choses Michael Moore s'appuit sur la pitié qu'il va provoquer chez le spectateur, en humiliant un peu plus les gens qu'il dit injustement humiliés par le banques qui en plus de leur prendre leur argent, leur prennent leur maison. En tout cas vive Obama à la fin, vive la fin nunuche surtout.
Du grand Micheal Moore. Comme dit dans les critiques précédentes, Capitalism est un pamphlet, une critique du système capitaliste amméricain. Acerbe, sans concession, M. Moore entre au coeur de la bête et fait un peu la lumière sur le fonctionnement de ce monstre inhumain. La caméra se promène aux USA et nous présente des villages dévastés qu'on croirait sortir d'une épidémie de choléra. Comment les appétits individuels en sont arrivé là ? Comment avons nous pu et pouvons nous encore validé un tel système pour gérer nos vies ? Plus loin encore, Moore nous propose des solutions réalistes et souvent déjà mises en oeuvre. G. Bush est dépeint comme un président potiche manipulé et engraissé par les grands pontes de la finance. On a beau déjà le savoir, ça fout le frisson de le voir réellement et surtout de voir jusqu'où ils sont allés ! Alors G. Bush jugé pour crime contre l'humanité ? On peut toujours rêver...
Un regret peut-être, Moore se borne à dépeindre la catastrophe au sein des USA, mais quid des effets directs d'une telle politique à l'étranger ? Car il est utopique d'imaginer que les fous furieux se soient borné à répendre cette horreur uniquement au pied de leurs grattes ciel.
Vous hésitez entre 2012 et Capitalism ? N'hésitez plus et foncez voir ce dernier opus de Moore.
Revoilà notre Michael Moore provocateur, sincère, naïf et pamphlétaire. Aux milieu de vérités bien assénées et d'informations instructives, sa dénonciation du monde de Wall Street – le vrai maître de l'Amérique – et de ses banquiers maffieux, mélange reportages crédibles, humour potache et tirades un peu populistes. Qu'importe, sa démarche est utile et son rôle de trublion doit être encouragé. Un film important pour notre prise de conscience en ces temps de crise.
Le film le plus complet pour Michael Moore !!! Certe, le métrage est long, mais il reste très interessant pour apprendre tout les magouille qu'engendre la crise financière. L'humour bienvenue, est toujours de la partie et c'est donc avec plaisir que l'on regarde Capitalism: A love Story !!!
Si il faut critiquer le style démagogique de Moore, il faut lui reconnaître qu'au moins il sait intéresser les gens à un sujet et qu'il n'a pas peur de taper là ou ça fait mal.
Moore est souvent critiqué. On aime son style ou on n'aime pas. Il n'empêche qu'il est le seul cinéaste à être aussi radical en allant directement voir les responsables. Michael Moore réalise plus un pamphlet qu'un documentaire mais qu'importe. Ces propos sont toujours justes et il le fait d'une manière qui est comme d'habitude non pas racoleuse mais touchante et non dénué d'humour. Il critique le système économique dans lequel on se trouve et qui n'est pas propre aux États-Unis puisque le capitalisme est un système mondial et que les problèmes qui en découlent touchent aussi notre continent, je parle évidemment des suppressions d'emplois et de la crise financière. Les solutions qu'il propose sont simples. Il souhaite que l'on rétablisse une vraie démocratie et que l'on arrête de se mentir en pensant que nous vivons dans une société démocratique totalement manipulée par le Pouvoir aussi bien politique, que médiatique. Il veut que tous les Hommes soient égaux et que le critère de l'argent ne soit plus nécessaire à la survie. Il met en avant les entreprises coopératives qui sont pour le coup très démocratiques et très égalitaires. Il parle du système des assurances qui s'enrichissent de plusieurs millions de dollars sur le dos de chacun de leur assuré mort. Et aborde sans honte, le problème lié par exemple aux salaires des pilotes de ligne moins bien payés que les serveurs de Fast-Food. Les vrais responsables de cette crise financière sont aussi bien les politiciens que les banques (mais ils s'en tapent, le principal c'est qu'ils s'en foutent plein les poches). Michael Moore est un réalisateur passionnant ("Capitaslim" est peut être un peu long sur la fin !) et nécessaire. The American Way Of Life : More than a Dream, a Reality !