Numéro uno a sa carrière en bois de pipeau, les termites le ronge jusqu'à l'os spongieux, patatra la machine chambon alias numérobis le retrouve et le conseilleur n'est pas le payeur...
car numéro 1 n'a de béton que son chéquier.
Vendu comme un polar, sans laisser de traces est tout juste une farce.
Il n'y a qu'à voir le faciès du limier pour s'en convaincre, c'est file dans ta chambre
qui répond au 22.
Xavier Demaison est une calamité, sa défenestration in extremis une chance.
Cette histoire de félonie si elle avait pris la tangente du buddy movie massacreur assumé aurait pu révéler un auteur.
Hélas, cela ressemble à une bouteille frelatée où les répliques sont égales au coefficient d'efficace de « plus belle la vie ».
Faire moderne pour Vigneron, c'est gros comme une maison, ce sont des crédos assénés doctement : 5 fruits et légumes par jour, créer une boite green parce que le marché est porteur,
la fac c'est caca surtout si papa est hors d'usage, la grève quelle galère !
La bourse ou la vie, oui mais on est pas dans un western.
Le plus risible est quand il s'essaye à la James Bond touch.
A vos marques... montage alterné, Chambon a les menottes,
Meunier la BM, bloqué par les embouteillages, puis bloqué par le camion de livraison,
vite le temps presse, suspense : Chambon va cafarder, marche arrière à fond la caisse, bim c'était moins une, badaboom plus de pneu, Meunier tu dors ?
Non, sprint final, son corps s'entrechoque contre un riverain. Trop tard...,
Et Léà S. dans tout ça ? Un isolant thermique, dirigée par un homme sans talent, aucun.
Il faut définitivement être gogo pour oser produire sans vouloir laisser de traces.