Derniers Avis : Cosmopolis - Page 24

Pattinson chez Cronenberg, en voilà un drôle de mélange ! Sélectionner au festival de cannes, et plutôt attendu , Cosmopolis semblait être un film événement sur la société d'aujourd'hui et une long métrage "presque déjà culte" or, si le film se prête bien aux avis de la presse, pas sur que tout le monde y trouvera du plaisir à le visionner. De base, beaucoup seront divisés, effectivement ça parle beaucoup, c'est quasiment peu rythmer , le scénario est paresseux, alors qu'il y avait de l'idée et du potentiel, et c'est assez dure à comprendre (Pattinson n'a d'ailleurs quasiment rien piger lors de la lecture du scénario) Les fans du vampire peuvent en tout cas se rhabiller, car Pattinson sort vraiment de sort rôle de vampire saignant,

et avec succès, son interprétation est excellente. Bref, un film non fait pour le grand public, à voir quand même pour l'ambiance qui se dégage, son acteur principal et sa bonne mis en scène.

Parfaite retranscription des dialogues et de l'ambiance du livre ! Robert Pattinson m'a surpris et gère bien son personnage. Après le film n'est pas destiné au grand public mais cela ne justifie pas le 1,8 des spectateurs !

film amateur avec plein d'erreurs de tournage, je le déconseille pour ceux qui souhaite le voir

Pas mal comme film. Les scènes sont un peu courtes, mais ça semble un effet de la réalisation. Une antithèse de ce à quoi les grosses productions hollywoodiennes ont habitué les foules; une action ténue, ramassée à l'essentiel, pour souligner l'hypertrophie de l'égo du personnage principal? Une approche humaine directe, presque chirurgicale, une métaphore de la société post-capitaliste, c'est certain. Un peu trop esthétisant et simpliste à mon goût peut-être. La société réduite à ses extrêmes, les très riches et les très pauvres. Les échanges manquent parfois de profondeur et penchent vers un certain manichéisme. Intéressant et irréaliste, à voir malgré tout pour se déformater des films grand public.

Après une bande-annonce qui en a emballé plus d'un, Cosmopolis ne fait pas l'unanimité. Et c'est plus que compréhensible, était déjà attendu au tournant, toutes les pisseuses de Twilight attendant le nouveau film de Pattinson ce qui vaut à Cosmopolis une moyenne spectateur assez ridicule. Mais Cosmopolis divise également les cinéphiles. Lorsque certains y vois un film dans l'air du temps, futuriste mais pas tant que ça puisque le capitalisme n'a jamais été autant remis en cause, d'autres y vois rien d'autre qu'un film qui véhicule un message populiste où les ultra riches sont le mal incarnés. Je me situe plus dans la deuxième catégorie, la multitude de dialogues qui arrivent chacun comme un cheveux sur la soupe ne sont jamais lassants mais n'apportent rien à un scénario déjà assez maigre. La scène finale, assommante, beaucoup trop stéréotypé entre l'ultra riche et le pauvre qui discutent de leurs différences à l'échelles sociales et se renvoient l'un après l'autre à la contradiction de leur croyance m'a laissé un goût amer et un avis assez mitigé sur ce Cosmopolis. Malgré un fond relativement daubé il faut le dire , on peut tout de même salué l'ambiance attirante du film , le futur apocalyptique de Cronenberg est vraiment réussi. Puis les acteurs sont tout de même au niveau, Pattinson est volontairement inexpressif à tel point qu'il ne dégage pas grand chose, peut être qu'un acteur plus talentueux aurait put métamorphoser le film mais il faut tout de même salué le choix de l'acteur d'accepté ce rôle pas si simple et si différent de ce qu'il a fait jusqu'à présent. Entre déroutant (toucher rectal en plein conversation économique et scènes de violences sans queue ni tête) et intriguant ( le monde futuriste intriguant et énigmatique et la figure insensible de Pattinson ), Cosmopolis n'a pas finit de divisé, chacun y trouvera sa vérité .

Une grosse daube, moi qui attendais ce film avec tant d impatience juste une expression me vient pffffff

Comment évaluer un film aussi difficile d'accès et exigeant ? Cronenberg semble prendre plaisir à nous perdre dans les méandres mentaux d'un yupie new-yorkais. Le film est une critique acerbe du milieu financier responsable de la crise économique de 2008. Certaines scènes sont passionnantes tant sur le plan cinématographique (plus de la moitié du film se déroule dans une limousine, le silence étouffant de l'habitacle, l'extrême calme du héros, l'ambiance mortifère générale) que sur l'acuité du propos. Mais, soyons clair, il faut un certain degrés de concentration pour donner du sens à ce que l'on regarde. La majorité du temps, on est tout simplement perdu. Tout est beaucoup trop mystérieux et incompréhensible pour celui qui n'a pas les clés pour décoder le sens des scènes. Et au bout d'un moment, on flanche. Surtout lors de cette interminable fin en compagnie de Paul Giamati. "Cosmopolis" est un film pénible, pas évident du tout à aborder, mais qui mérite le coup d’œil.

Un chef d'œuvre... Juste. Si juste. Réalisation brillante. Élégante. Des dialogues francs... S'ils étaient plus respectueux du spectateur, ils ne pourraient pas l'être autant. Un travail admirable sur un regard sans concession... Pattinson se forge une carrière remarquable ;-))

COSMOPOLIS de David Cronenberg, cinéaste à la filmographie vertigineuse, est un film qui s'inscrit dans la suite logique de la filmographie du réalisateur. Après avoir adapté le roman de Don Delillo en une semaine, Robert Pattinson est choisi pour incarner le rôle principal, un milliardaire au bord du précipice. Ce film plus ou moins surprenant, et qui, je suppose, a du en décevoir beaucoup, n'en reste pas moins une œuvre purement Cronenbergienne. Malgré le BLABLA qui perdure pendant presque toute la longueur du film, quelque chose d'attirant ressort de l’œuvre peut-être du à un mélange de la mise en scène de Cronenberg, de l’interprétation très réussie de Pattinson, des dialogues sauce Don Delillo et de la musique de Howard Shore. Ce film est, à mon avis, une œuvre emblématique dans la carrière du cinéaste.

Robert patinson est bien mais moi j'ai rien bité au film! y a des moment ou y a des bonnes scène, des ambiances qui tuent mais comme tu comprends rien tout le long à l'histoire, en fait tu te fais ch.. mortel!

le seul point passable et le heu de l'acteur principal. Tout le reste na ni queue ni tete... Le passage des differentes personnes dans la limousine au travers de son parcours n a aucun sens. rien n est lié. on ne sait pas quel est son but. on ne determine pas pk il en vient la à part l'indice de sa ruine. BRef j en passe des incoherences... J'ai vu plus de la moitier de la salle partir en plein film et l autre moitier se bidonner à dire à haute voit mais c'est quoi cette daube...
Bon courage si vous tentez de le voir loOl

Grande fresque anti-capitaliste détaillant toute l'absurdité de la jeunesse et l'absence de contrôle de la société sur cette dite jeunesse, ce film sort du lot et se démarque par rapport à d'autres films trop religieux, trop sirupeux, trop gentillet, et j'en passe. David Cronenberg ne veut pas plaire au plus grand nombre, ou à un plus petit nombre d'ailleurs, il veut provoquer, électriser notre cerveau éduqué par une société trop pensante, trop moralisante, trop codé. Ici les codes, les morales, les pensées trop philosophico-religieuses sont abolies, bienvenue dans un monde en dé-construction où révolution, violence et sexe font bon ménage.
Evidemment, dans ce contexte faire un film avec de belles images aurait été complètement catastrophique, et le réalisateur se serait alors spolié. Mais non, Cronenberg va jusqu'au bout avec des scènes choquantes, esthétiquement "moche" mais réalisé avec la précision d'un orfèvre. Dure adéquation et pourtant c'est diablement bien réussi!! De plus, construire son film autour d'une road movie dans la ville de New-York (capitale économique mondiale) d'un jeune homme roi du capitalisme ambiant, rongé par l'argent, le sexe et l'absurdité, à la recherche de la LIBERTE, donne au film sa trame principale et constitue pour le spectateur la porte d'entrée dans un monde plus que dérangeant.
Ainsi David Cronenberg avait besoin d'un jeune acteur, brillant et complètement inattendu, à utiliser en contre-emploi de ses rôles habituels. C'est ainsi qu'est choisi Robert Pattinson, vampire mélancolique et gnan-gnan de Twilight, qui brille littéralement dans ce film. Finalement, on pourra lui reprocher d'avoir choisi une série pour ado pour se lancer, mais pas d'être mauvais acteur. Au contraire, Cronenberg lui offre son rôle le plus consistant, le plus difficile aussi jusqu'à aujourd'hui, et Pattinson se laisse embarquer et finit par crever l'écran grâce à un jeu brillant et sans retenue.
En conclusion on pourra reprocher de ne pas entrer dans les clous du cinéma mais ce n'est pas le but, de ne pas vouloir plaire : ce qui le prive d'un très grand nombre de spectateur. Mais là n'est pas le débat. Ce film n'est pas un divertissement, c'est l'oeuvre d'un artiste qui a eu le courage de réaliser un chef d'oeuvre du cinéma en envoyant valsé les codes actuels et mettant en avant un Robert Pattinson brillant.

Un film sur la vacuité et la violence de l'hyperlibéralisme économique... je suppose. Un vrai film d'auteur mais un vrai film chiant et long. Chiant parce ce que sur le fil d'une histoire finalement assez simple, sont écrits des dialogues imbitables dans la plupart des scènes. Long parce que le rythme du film est lent et le montage très linéaire. On peut retenir bien entendu la virtuosité de la réalisation et la performance des acteurs, Pattinson en tête. Dire que j'attendais mieux de Cronenberg, un de mes réalisateurs préférés est une évidence, tant ce film "prise de tête" est faussement intellectuel car manque cruellement d'humilité. Le 7ème art, tel que je ne l'aime pas.

Chiant mais chiant à regarder! De la masturbation intellectuelle en veux tu en voilà! Je n'ai rien compris et je ne veux pas comprendre.

C'est tout simplement du jamais vu ! Ce film ma transporté comme un rêve tout au long de la descente au enfer du personnage mais d'une manière inattedut. La beauté des plan se conjugue parfaitement avec celle des dialogues créant ainsi une atmorphère fascinante. Le sujet quand à lui, est vague et dure à cerné, mais peut être qu'il n'y en a pas vraiment comme Cronenberg semblait lui même le dire car je trouve que cela rensemble plus à un rêve filmé qu'à un simple film.C'est surement la meileur adaptation que Don Delillo pouvait attendre de son roman.
nb: la musique est aussi à la hauteur du film grâce au compositeur Howard Shore et au groupe Metric.