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    Cosmopolis
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    1,9
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    1 108 critiques spectateurs

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    shindu77
    shindu77

    92 abonnés 1 605 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 décembre 2012
    Film vraiment spécial.
    Je comprends que beaucoup n'apprécient pas le film.
    Il est particulier en effet. De très bons passages et puis d'autres vraiment nuls.
    Film moyen
    Timothé Poulain
    Timothé Poulain

    64 abonnés 507 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 octobre 2012
    Un mot, un seul: nul ! Que de déceptions dans ce dernier né de Cronenberg. On croirait réellement voir une pièce de théâtre contemporain passant totalement à côté de son sujet, mal joué et pas rythmé...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 octobre 2012
    Grosse déception pour ce film que j'avais très envie de voir. Mis à part la prestation de Pattinson et cette super idée de départ de huis clos dans une limousine avec l'intervention de différents personnages, on se demande où le scénario veut nous mener. On croit qu'il faut un temps avant qu'il ne se passe quelque chose ou qu'on finira par comprendre les dialogues...mais non.Je n'ai pas pu aller jusqu' au bout du film :-(
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 14 octobre 2012
    déçu par le film. Longuet ... a éviter lorsqu'on est fatigué sous peine de s'endormir rapidement.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 13 octobre 2012
    Mis à part l'ingéniosité technique de D Cronenberg et la prestation de R Pattinson, ce film est à fuir, ne déplaise à tous les intellos de la pelloche.
    De toutes facon le Ciné à toujours été pareil, lorsqu'un film ne plait pas au public, la presse ciné l'encense ! Ben oui, nous ne comprenons rien, nous. Il faut être un critique avertit pour pouvoir apprécier un tel film.
    Passez votre chemin et changez de DVD, vous gagnerez 2h de votre précieux temps !!
    tilo83
    tilo83

    23 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 mai 2013
    1h40 de perdu dans ma vie à regarder un pseudo film intello et philosophique masquant une absence totale de scénaro, d'intrigue et d'intérêt. Ennuyeux, déprimant, sans aucun intérêt.
    Dr.Reid
    Dr.Reid

    19 abonnés 405 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 octobre 2012
    Un film impossible à noter. D'un côté, la réalisation est unique, un huit clos centré sur un personnage complexe et imprévisible qui se précipite dans une lente descente aux enfers. D'un autre, les dialogues sont interminables et on a beau chercher, il semblerait qu'ils ne soient pas aussi critiques et mordants que ce qu'ils prétendent être. Je suis vraiment perplexe face à ce film, Rob Pattinson joue parfaitement, mais je ne sais que penser de l'histoire qui, sous couvert d'une analyse acerbe de notre société capitaliste et individualiste, ne se révèle n'être qu'un grand point d'interrogation.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 octobre 2012
    Quel honte d'avoir sortie un film pareil. Meme BFM tv nous informe mieux sur le monde. Quelle ennuie.
    Cluny
    Cluny

    75 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 octobre 2012
    David Cronenberg a raconté avoir reçu le "Cosmopolis" de Don DeLillo de son producteur Paulo Branco, et l'avoir lu en deux jours et adapté en six. Il a même décomposé plus précisément ces six jours : « En fait, j’ai commencé par recopier littéralement tous les dialogues du livre sur mon ordinateur, sans rien changer ni ajouter. Ca m’a pris 3 jours. Quand j’ai eu fini je me suis demandé: «est-ce que ça fait un film? - Je pense que oui». Au cours des trois jours suivants, j’ai rempli les vides entre les dialogues, et hop, j’avais un scénario.» Ben oui, mais justement, tout l'échec du film réside dans ce "et hop" : écrire un scénario, ce n'est pas prendre des répliques de romans et combler les vides.
    Pourtant, David Cronenberg montre bien sa virtuosité dans ce comblage : la moitié du film de déroule dans une limousine, et il réussit à renouveler constamment les angles, à jouer du dehors et du dedans, par la vision déformée et parcelaire de ce qui se passe à l'extérieur et par un jeu habile sur la perception assourdie du son. Il a aussi une façon de filmer ses personnages en gros plans, même quand ils sont hors de la limo, en laissant peu d'air devant eux, en plaçant toujours un obstacle juste en face, symbolisation du peu d'avenir du personnage principal (on a du mal à dire "héros") et de la société qu'il représente, scénographiant ainsi l'espace du dialogue final comme un confessionnal.
    Cronenberg le reconnait, la chair du film, ce sont ses dialogues, ceux qu'il a recopiés consciencieusement. A la question qu'il s'est posé, "est-ce que ça fait un film ?", à l'usage la réponse est définitivement non. Ca fait au mieux du théâtre filmé, au pire une lohgorrée prétentieuse et absconse, matraquant des aphorismes du style "La continuité du business c'est le meurtre", "On s'élève par des mots et on chute par des syllabes" ou "les chauffeurs de taxi, ils viennent de l'horreur du désespoir". Afin de marquer son détachement vis-à-vis de ce monde qu'il s'apprête à quitter, le personnage de Parker joué par un Robert Pattinson plus vampirique que jamais, prononce ces poncifs avec l'enthousiasme d'un croque-mort neurasthénique, donnant à tout cela un aspect ringard, comme un mauvais remake du "Bûcher des Vanités". Clin d'oeil à la sélection cannoise ? Deux acteurs français viennent faire une panouille : Juliette Binoche, le temps de se faire tringler dans la limo, puis de sacrifier au rituel en vidant son lot de platitudes crypyo-philosophiques, et Mathieu Amalric, excellent en assassin pâtissier dans ce qui une des rares bonnes séquences du film.
    D'aucuns se pâmeront devant cette dénonciation du capitalisme ultralibéral pourissant, comme ils avaient encensé le livre, voyant en lui une oeuvre visionnaire, annonciatrice de Lehman Brothers et de la crise des subprimes. Je n'y ai vu qu'enfonçage de portes déjà bien ouvertes, avec recours à une symbolique lourdingue (les rats, le rap soufie) dans un exercice vide où une nouvelle fois, David Cronenberg dilapide son talent, promenant les spectateurs jusqu'au bout de l'ennui.
    http://www.critiquesclunysiennes.com/
    LaureA19
    LaureA19

    5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 octobre 2012
    Je suis sans voix devant ce film...Je ne voulais pas croire les critiques de spectateurs qui le faisait passer pour un film pseudo intellectuel et philosophique prétentieux....Pourtant, me voilà au bout de ce qu'il me semble avoir été une éternité en train de regarder Robert Pattinson se faire couper les cheveux face à un coiffeur encore une fois bavard comme l'intégralité des personnages de ce film. Des considérations existentielles qui n'apportent aucune réflexions intéressante, des effets ratés (le paysage qui défile par les vitres de la voiture est un summum...), une fausse ambiance à la Lynch, des conversations obscures et sans rapport les unes avec les autres...Rien dans ce film ne vaut la peine de perdre 1h50 de son temps. Fuyiez........!!
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 9 octobre 2012
    Ce film fut décevant. Le personnage principal est réellement intrigant, on a envie d'en savoir toujours plus... Et puis au final rien ne répond aux questions que le film peut faire naître chez le spectateur...Les dialogues sont souvent pénibles et inutiles ce qui le fait traîner en longueur... Cerise sur le gâteau: Une fin décevante, ce qui donne une impression de temps perdu..
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 8 octobre 2012
    La philosophie c’est bien 10 minutes, après…

    Cosmopolis est le genre de film qui pousse chaque personne à s’interroger sur le sens de la vie, sur nos actions, sur nos attitudes… sur à peu près tout j’ai envie de penser. On ne va pas voir Cosmopolis en attendant de l’action, de la vitesse ou je ne sais quoi d’autre. C’est dur d’écrire cela, alors que la bande annonce du film tente de nous distiller d’autres informations pour vendre le film : énormément d’action, le film n’arrête pas de bouger, il y a des morts et du sexe… bref de quoi contenter la plupart des gens qui souhaitent voir ce style de film… Mais que nenni, Cosmopolis est bien plus profond dans son âme que les réalisateurs ont voulu nous faire croire en 2 minutes de teasing. Chacun est ainsi libre de se faire son propre avis en sortant de la salle.

    La salle… Parlons en quelques instants. Voilà bien, bien, bien longtemps que je n’avais plus vu de personnes sortir de la salle avant la fin du film, une bonne dizaine sur la centaine que nous devions être (et encore, certains ont du se retenir, attendant un véritable dénouement… mais non). On peut aussi noter la réaction des gens à la fin du film (s’agissait-il d’une fin ? j’ose à peine le croire…) : un rire nerveux, comme si Cronenberg venait de se moquer d’eux pendant plus de deux heures, sans véritablement faire un film, juste une énorme blague pour philosophe averti.

    Mais quelle est cette blague ? Il s’agit de l’histoire d’un jeune homme riche, à ne plus savoir quoi faire de son argent. Cet homme possède une voiture… voiture où se déroulera la quasi totalité du film. Il ne souhaite qu’une unique chose : aller chez le coiffeur, même si cela implique devoir traverser une ville en ébullition et risquer de mourir. Sa voiture est à l’image de sa vie : chaotique. On y verra alternativement son travail, ses loisirs sexuels, ses rendez-vous avec son docteur (et sa prostate asymétrique), etc. Le tout, en traversant toujours une ville connaissant des émeutes dirigées par des rats géants, et où le président est en danger de mort. Mais l’important est de se rendre chez le coiffeur pour une nouvelle coupe. Je m’arrête la, la suite est considérée comme du spoil, et je préfère vous laisser le plaisir d’aller vous délecter de la magnifique fin de ce film… (ou pas)

    Les textes sont longs, les scènes sont lourdes… mais l’on note quand même une qualité de mise en scène hors norme, très intéressante et visuellement magnifique. De plus, le jeu des acteurs avait son côté si juste par rapport à l’ambiance du film, qui, même si l’on n’a pas aimé le film pour ce qu’il est, nous permettait de l’apprécier pour le rendu fait par les acteurs. Et, ce point, même négligeable compte tenu de l’ensemble, est à souligner fortement. Certes, je n’ai pas « aimé » Cosmopolis, mais cela ne signifie pas pour une fois que ce dernier est à jeter à la poubelle. Je pense que ce film s’adresse à un pan de la population bien précis qui pourra vraiment comprendre l’ensemble de la philosophie derrière les textes.

    Le rythme est lent, même très lent dans Cosmopolis. C’est je pense cette lenteur qui m’a le plus choqué au final dans le film, car celle-ci nous endort presque, ne nous permettant pas de nous accrocher à quelque chose de vivant, comme si nous n’avions que des morts face à nous. Le fil conducteur est obscure dans le film, et les répliques où les personnages se renvoient uniquement des questions est perturbant, ne nous permettant pas de faire de liens, comme si chaque phrase était sortie de nul part, et avait pour but principal de nous faire réfléchir à une grande question de l’Univers…

    En définitive, c’est à chacun de se faire son idée sur Cosmopolis pour réellement dire si ce dernier est bon ou mauvais. Je le classe pour ma part dans les films où j’ai failli partir en plein milieu de séance, malgré un rendu visuel époustouflant. A vous de vous faire votre propre idée sur la question, la mienne est que je le conseillerai bien à une personne que je n’aime pas trop :)
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 8 octobre 2012
    Les extraits m'ont intrigués et aprés visionnage, pour moi c'est un ratage complet, ce film est d'un longueur inconcevable, des dialogues en n'en plus finir. La seule chose qui "sauve" le tout est une interpretation impressionnante de Pattinson, et oui ce garçon sait jouer qui l'eut cru?

    A éviter sauf si l'on est insomniaque...je crains que Cronenberg m'ai perdu en chemin
    Lafaucheuse1
    Lafaucheuse1

    2 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 octobre 2012
    Film trop surréaliste. L'action se déroulant dans une voiture peut sembler novateur, mais les histoires, fables philosophiques, réflexions, qui s'enchaînent rendent ce film assez décalé.
    A de nombreuses fois on se demande comment tel personnage ou tel effet peut se produire à tel moment du scénario, tout cela s'ensuit en nous laissant dubitatif.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 novembre 2012
    "Un rat devint l'unité d'échange..."

    Difficile de profiter du film quand on le regarde au cinéma ou pour la première fois car l'oeuvre est très complexe, Cosmopolis est le type de film à voir plusieurs fois pour comprendre le message du film. Et le moins que l'on puisse dire c'est que ce film est tout simplement le second meilleur de fillm de David Cronenberg (ne surpasse pas A History of Violence qui restera le meilleur film de ce réalisateur à mes yeux) et que même son acteur principal y est très convaincant. Coup de coeur au Festival de Cannes 2012.

    Dans un New York en ébullition, l'ère du capitalisme touche à sa fin. Eric Packer, golden boy de la haute finance, s’engouffre dans sa limousine blanche. Alors que la visite du président des Etats-Unis paralyse Manhattan, Eric Packer n’a qu’une seule obsession : une coupe de cheveux chez son coiffeur à l’autre bout de la ville. Au fur et à mesure de la journée, le chaos s’installe, et il assiste, impuissant, à l’effondrement de son empire. Il est aussi certain qu’on va l’assassiner. Quand ? Où ? Il s’apprête à vivre les 24 heures les plus importantes de sa vie.

    Le film de David Cronenberg n'est pas une critique sur la chute du capitalisme mais sur le capitalisme lui-même. Et le réalisateur nous présente cette critique sous un aspect très théâtral. Eric Packer (Pattinson) désire aller chez le coiffeur et ce malgré la menace. Ce n'est donc pas un désir mais c'est un besoin, le besoin de se faire couper les cheveux. Alors il s'engouffre dans sa limousine, une représentation de la sécurité, une bulle qui le protège de l'extérieur, et accueil divers personne avec qui il entretient des conversations très particulières : la sécurité de la limousine, l'économie, le rat, le sexe ou encore l'enterrement d'une star du rap qui sa mort déplaît au jeune golden boy. Et toutes ces conversations mène à la démonstration même du capitalisme... Dans un passage du film alors que Pattinson voit une fille avec qui il satisfait ses désirs sexuels (Juliette Binoche) il lui parle d'une chapelle qui appartient à tous sauf si l'argent est plus fort ou encore dans un autre passage, un théâtre est complètement transformé en discothèque par des jeunes qui "souffre régulièrement".
    Et la dénonciation va encore plus loin en passant par le travail, l'économie, le Rat qui représente la déchéance d'un monde en devenir et aussi "Le spectre du capitalisme qui hante le monde". Et ce spectre n'est autre que Robert Pattinson, jeune vampire de la finance qui assiste à sa propre auto-destruction.

    Faisant totalement corps avec les intérêts qu’il sert, c’est tout naturellement que sa dégradation physique (asymétrie de la prostate) sera concomitante avec celle de son empire financier. Après une longue phase de dépouillement (cravate, voiture, veste, épouse, garde du corps, cheveux…) il se dirigera avec logique vers le quartier de son enfance où il accomplira son destin.

    Le film est très difficile d'accès et on peut comprendre parfaitement pourquoi beaucoup de personnes ont abandonné la projection du film. En particulier ceux qui ont cru à la bande-annonce.
    Pourtant la bande original est magnifique mais discrète, la philosophie du film est omniprésent et le casting est excellent. A la fois drôle et à la fois moraliste, l'adaptation du livre de DeLillo est un excellent film qui fait réfléchir. Une fable effrayante sur le capitalisme.

    "Le désir de détruire est un désir constructif"
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