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Dawasta
66 abonnés
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2,0
Publiée le 4 mars 2013
Première fois que je suis déçu par Cronenberg. Dès les premières minutes j'ai su que je n'allais pas aimé cette histoire. J'ai trouvé le film mou et les dialogues longuets et faussement intelligents. Le personnage principal m'a vaguement fait penser à Chuck Bass (de Gossip Girl) dans son arrogance et l'ennui que lui procure la facilité de son train de vie. La fin est elle aussi décevante, j'attendais un dénouement moins frustrant. (Pas terrible)
Je ne comprends pas l'acharnement de David Cronenberg pour les films hermétique. J'ai aimé Dangerous Method. Spider, j'ai arrêté à la 20 minutes, mais je compte le terminé. Quant à Cosmpolis, c'est un mauvais film sur plusieurs plan : - mise en scène très théâtrale, qui rend les acteurs très médiocres - mauvaise réalisation, on sent bien qu'on est dans un décor. tout semble bidon : les rues, la limousine, etc...bravo le fond vert ! - les séquences sont archi longues - les dialogues faussement philosophique. tout pour faire un navet. J'ai en revanche aimé le personnage joué par Paul Giamatti. excellent jeu d'acteur !
Un film intelligent mais foutrement méprisant. Le but d'un film est d'être accessible à tous et captiver le spectateur. Quand on traite d'un métier que seul 4% de la population pratique on s'informe sur le potentiel désintéressement du public.
En plus d'être méprisant les acteurs débitent leur texte tel un robot sans âme. On s'ennuie et on cherche à ce film un but, peut-être informatif mais surement pas divertissent pour un sou.
Cronenberg nous livre un film que lui seul apprécie. Laissons les intellectuels de chez Télérama & cie nous livrer leur délicieuse critique ..
Ce film est un succès, tant visuel que dans le scénario. Cosmopolis est une fable brillante et terrifiante sur le capitalisme. Peu la comprendront car la scénographie est très particulière, voire étrange mais le jeu des acteurs est époustouflant, l'image est majestueuse, le scénario est troublant et formidablement échafaudé. On a rarement l'occasion de voir pareil chef-d'œuvre. Cosmopolis est une satire du pouvoir névrotique propre à notre civilisation, de la maladie de la "gagne", un mélange de jeunesse et de cruauté, de sex-appeal et de déliquescence, de désir et de mort.
Un film qui demande surement une attention permanente mais surtout où il faut avoir des grosses bases d'économies, cour de la bourse et j'en passe. Bref de longs discours sans trop savoir au final ce que l'on recherche en regardant ce film. Je m'attendais à avoir un minimum d'action mais il n'en est rien, on suit un personnage qui passe de sa voiture à un autre endroit sans aucune compréhension. Plus le temps passe et plus l'ennui augmente... totalement d'accord avec la critique de Boub971
N'était la vulgarité des deux scènes d'accouplement gratuites (avec, évidemment, dans l'une des deux, une actrice française) qui gâche l'ensemble, j'avais été surprise dans le bon sens par la prestation de Pattinson. Il reste que le film est mauvais.
Ici, on retrouve du pur Cronenberg, et c'est plutôt bon ! En effet nous sommes à moitié dans un huis-clos racontant la journée dépressive d'un milliardaire qui l'est aussi, incarné par Robert Pattinson qui a su trouvé, ici, un rôle correspondant à son jeu peu expressif. Ce qui est intéressant c'est la psychologie de chaque personnage au fur et à mesure du film qui est à la fois sombre, très réaliste et choquante. De plus, on ne peut même pas considérer ce qui lui arrive comme improbable car ce n'est pas parce que c'est rarement montré que ça n'existe pas. En fait, nous sommes ici dans une vision objective d'une société qui s'écroule lentement dans une folie destructrice.
quelques réflexions en vrac sur ce film que j'ai moi-même vu en trois fois (c'est pas bien) parce que j'avais commencé à m'endormir.. grossière erreur !
- l'ennui existentiel d'un nouveau roi du pétrole - jusqu'au crime gratuit (on touche là à une figure intemporelle et à un fatum éternel)
- la solitude du jeune homme beau riche et intelligent - également un héritier, thème rebattu mais l'idée de filiation est là, alimentant la complexité de cet anti héros omni-conscient (question : ce type fait-il envie ou pitié ?)
- un final théâtral dans un face à face avec son opposé, un loser middle class - réellement une pièce de théâtre, il faut que quelqu'un l'adapte, j'irai voir la pièce (le dialogue est digne d'un Shakespeare contemporain, j'ai adoré)
- une allégorie : la limousine comme espace virtuel du siège social version 2010, délocalisé jusqu'à l'inexistence physique (selon moi, on est clairement dans l'allégorie, presque dans la fable)
Le reste : réflexions sur le capitalisme monétaire, considérations poussives sur la technique financière (un peu court, cronenberg manque visiblement de conseillers un peu pointus), une présence féminine assez déplorable, servant uniquement de prétexte à l'évocation du mariage arrangé et de l'authentique muse délaissée, déjà vu.
Un film nul, tres long avec de grands discours sur le capitalisme.... Au moins ca n a pas du leur revenir cher en decor l essentiel dufilm se deroule dans la limousine.On a tenu les trois quarts du film puis avons abandonne .....TRES DECEVANT !
Mauvais mauvais mauvais, déroulement sans queue ni tête (quoique les apprentis philosophe en herbe qui trouveraient du sens à tout et n'importe quoi puisse en penser), déroulement lourd et monotone, Robert Pattinson joue très bien les robots à dérouler son texte comme un gentil petit ordinateur bien formaté, toujours au même rythme, toujours avec le même ton et alors surtout, n'abordons pas le contenu lui-même de ces dialogues car nous irions droit au naufrage !
Un des films les plus nul que je n'ai jamais vu de ma vie, j'ai essayé de le regarder plusieurs fois mais ce n'est pas possible je n'y arrive pas et j'ai été rassuré de savoir que d'autre personne de mon entourage avait le même avis car j'ai rarement des opinions aussi tranchées!
Bien que très différent, ce film se place à mon sens dans le sillage de Fight Club en ce qu'il traite d'un certain nihilisme contemporain. Il y a un véritable début de réflexion philosophique. Soit on en sort au bout de 20 minutes, soit on n'en sort pas indemne. On peut aimer et reconnaitre la grande qualité de ce qui deviendra sans doute un film culte, on passe quand même un moment difficile devant son écran.