Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
David Cronenberg offre un film pour notre temps. (...) Une figuration définitive du capitalisme-monde. "Cosmopolis" est un film qui restera.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Cronenberg rend bien cette cohabitation malsaine entre les 1 % et les 99 %, filmée depuis le point de vue d'un des nouveaux maîtres. (...) [Robert Pattinson] file de "Twilight" à "Cosmopolis" avec une incroyable aisance, incarne à merveille ce mélange de jeunesse et de cruauté, de sex-appeal et de déliquescence, de désir et de mort, cette maladie de la win confinant à la pathologie morbide qui irradie ce film et emblématise notre époque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Critikat.com
par Fabien Reyre
Cronenberg embrasse les figures imposées par le roman avec une maestria qui impressionne d'autant plus que le cinéaste ne cherche jamais à en surligner les effets.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Cronenberg prouve avec brio qu'il n'a jamais fait autre chose que se mettre au service de récits mettant son cortex en ébullition.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Excessif
par Romain Le Vern
(...) la mise en scène est un modèle de simplicité et d'invention (...). Elle traduit sans effets tarabiscotés une vérité vertigineuse. (...) Robert Pattinson, à l'aise dans chaque scène et dans tous les registres, [est] convaincant d'un bout à l'autre.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Obs
par François Forestier
Déconcertant, agaçant, étonnant, excitant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Point
par Florence Colombani
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Gérard Lefort
Comme une crise de nerd, le film est un plug enfoncé dans le fameux corps sans organe du capital.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Laurent Duroche
[Pour] Ce gigantesque dérèglement universel sera non seulement cristallisé par le parcours du personnage, mais aussi par une mise en image qui (...) a l'audace d'épouser son sujet sans essayer de plaire.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Marianne
par Danièle Heymann
Le noir se fait. On était bien chez un grand styliste, un grand pessimiste, on était bien chez Cronenberg.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
(...) si le film reprend à son compte la vision du monde qu'offre le roman de DeLillo, le cinéaste a dû adapter la matière du livre pour façonner le superbe objet cinématographique qu'il nous livre aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Mathieu Carratier
David Cronenberg (...) commençait sérieusement à nous manquer. Débouchez le champagne car il habite chaque plan de "Cosmopolis". (...) [Il] s'est assuré que toutes [ses] obsessions jalonnent l'itinéraire, qu'elles soient intellectuelles ou charnelles. (...) Robert Pattinson révèle une profondeur toujours plus fascinante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Fabrice Leclerc
Voir sur le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Pierre Murat
David Cronenberg fait du roman de Don DeLillo un cauchemar quasi métaphysique. Dialogues parfois abscons, mais mise en scène magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Adaptation classieuse de l'oeuvre prophétique de Don De Lillo, "Cosmopolis" entérine le virage classique de Cronenberg, en même temps que l'abandon progressif de sa veine folle et organique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
TéléCinéObs
par François Forestier
Difficile à suivre, différent de tout ce qui se fait aujourd'hui, le film ressemble à une pièce de théâtre volontairement obscure : on ne comprend jamais la succession des actes. Pour certains, c'est génial, pour d'autres, nul. A chacun sa vérité.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Le ton est métallique, sans affect, la forme distanciée. Robert Pattinson (le vampire de Twilight) ne s'en sort pas si mal. Brillant pour les uns, assomant et verbeux en ce qui nous concerne.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
L'Humanité
par Dominique Widemann
Analogies et métaphores ne suffisent pas à faire cinéma, surtout quand la verbosité ne rencontre aucune compensation esthétique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Mad Movies
par Cédric Delelée
[Contre] Ce qui ressort le plus de cet interminable naufrage artistique ne réside pourtant pas dans la paresse de la narration, ni dans la pauvreté de la mise en scène, mais bel et bien dans cette volonté criante d'avoir fait un film qui ne s'adresse à personne sauf à la critique.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Cahiers du Cinéma
David Cronenberg offre un film pour notre temps. (...) Une figuration définitive du capitalisme-monde. "Cosmopolis" est un film qui restera.
Les Inrockuptibles
Cronenberg rend bien cette cohabitation malsaine entre les 1 % et les 99 %, filmée depuis le point de vue d'un des nouveaux maîtres. (...) [Robert Pattinson] file de "Twilight" à "Cosmopolis" avec une incroyable aisance, incarne à merveille ce mélange de jeunesse et de cruauté, de sex-appeal et de déliquescence, de désir et de mort, cette maladie de la win confinant à la pathologie morbide qui irradie ce film et emblématise notre époque.
Critikat.com
Cronenberg embrasse les figures imposées par le roman avec une maestria qui impressionne d'autant plus que le cinéaste ne cherche jamais à en surligner les effets.
Ecran Large
Cronenberg prouve avec brio qu'il n'a jamais fait autre chose que se mettre au service de récits mettant son cortex en ébullition.
Excessif
(...) la mise en scène est un modèle de simplicité et d'invention (...). Elle traduit sans effets tarabiscotés une vérité vertigineuse. (...) Robert Pattinson, à l'aise dans chaque scène et dans tous les registres, [est] convaincant d'un bout à l'autre.
L'Obs
Déconcertant, agaçant, étonnant, excitant.
Le Point
Voir le site du Point.
Libération
Comme une crise de nerd, le film est un plug enfoncé dans le fameux corps sans organe du capital.
Mad Movies
[Pour] Ce gigantesque dérèglement universel sera non seulement cristallisé par le parcours du personnage, mais aussi par une mise en image qui (...) a l'audace d'épouser son sujet sans essayer de plaire.
Marianne
Le noir se fait. On était bien chez un grand styliste, un grand pessimiste, on était bien chez Cronenberg.
Positif
(...) si le film reprend à son compte la vision du monde qu'offre le roman de DeLillo, le cinéaste a dû adapter la matière du livre pour façonner le superbe objet cinématographique qu'il nous livre aujourd'hui.
Première
David Cronenberg (...) commençait sérieusement à nous manquer. Débouchez le champagne car il habite chaque plan de "Cosmopolis". (...) [Il] s'est assuré que toutes [ses] obsessions jalonnent l'itinéraire, qu'elles soient intellectuelles ou charnelles. (...) Robert Pattinson révèle une profondeur toujours plus fascinante.
Studio Ciné Live
Voir sur le site Studio Ciné Live.
Télérama
David Cronenberg fait du roman de Don DeLillo un cauchemar quasi métaphysique. Dialogues parfois abscons, mais mise en scène magnifique.
Les Fiches du Cinéma
Adaptation classieuse de l'oeuvre prophétique de Don De Lillo, "Cosmopolis" entérine le virage classique de Cronenberg, en même temps que l'abandon progressif de sa veine folle et organique.
TéléCinéObs
Difficile à suivre, différent de tout ce qui se fait aujourd'hui, le film ressemble à une pièce de théâtre volontairement obscure : on ne comprend jamais la succession des actes. Pour certains, c'est génial, pour d'autres, nul. A chacun sa vérité.
Le Journal du Dimanche
Le ton est métallique, sans affect, la forme distanciée. Robert Pattinson (le vampire de Twilight) ne s'en sort pas si mal. Brillant pour les uns, assomant et verbeux en ce qui nous concerne.
L'Humanité
Analogies et métaphores ne suffisent pas à faire cinéma, surtout quand la verbosité ne rencontre aucune compensation esthétique.
Mad Movies
[Contre] Ce qui ressort le plus de cet interminable naufrage artistique ne réside pourtant pas dans la paresse de la narration, ni dans la pauvreté de la mise en scène, mais bel et bien dans cette volonté criante d'avoir fait un film qui ne s'adresse à personne sauf à la critique.