Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Metro
par Rania Hoballah
Un thriller percutant (...) un film engagé, fiévreux qui séduira les amateurs de cinéma transalpin.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Brazil
par Éric Coubard
Un film essentiel à l'ère Berlusconi pour ne pas reproduire les mêmes erreurs et décimer la Bête avec d'autres armes plus efficaces que celle de la terreur aveugle.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Critikat.com
par Anne-Violaine Houcke
Grâce à un dispositif narratif remarquablement maîtrisé, le cinéaste tient ensemble l'histoire de l'Italie des années de plomb, racontée du point de vue d'un ex-terroriste, et une belle histoire d'amour.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Positif
par Jean A. Gili
Porté par Giovanna Mezzogiorno (...) et par Riccardo Scamarcio (...) le film de Renato De Maria s'inscrit dans la veine féconde du cinéma d'interrogation historique.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Marcelle Padovani
De Maria insiste sur le caractère dissocié, le délire d'omnipotence qui avait saisi son personnage, comme des centaines, voire des milliers de jeunes à l'époque. Et ne cède jamais à la tentation romantique d'en faire le héros d'un "roman criminel".
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
La Prima Linea est un film à charge qui perd en ambiguïté ce qu'il gagne en audace.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Impact
par Gilles Esposito
En revanche, et même si les personnages possèdent un certain relief, on a du mal à ressentir émotionnellement ce qui reste le moteur de l'histoire.
La critique complète est disponible sur le site Impact
L'Humanité
par Vincent Ostria
Malgré quelques conventions romanesques et un montage parfois déroutant (...) Renato De Maria se sort honorablement de l'exercice rétro-politique.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si la diversité des temps (...) complique le récit, il l'enrichit également pour faire de ce film un excellent témoignage des années de plomb.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Hubert Lizé
Réalisée avec l'intensité d'un polar, cette chronique des "années de plomb" s'inscrit dans la tradition du film politico-romantique italien.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Il développe ainsi une distance réflexive, parfois subtile, parfois trop clignotante, qui exclut toute forme d'héroïsation douteuse pour mettre le doigt sur la dépossession de soi et le gâchis engendrés par cette implication extrême.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La rédaction
Mais le scénario se laisse plus souvent envahir par les discours existentiels et sentimentaux d'un couple auquel Riccardo Scamarcio et Giovanna Mezzogiorno peinent à apporter ce qu'on attend de chair et de présence.
Première
par François Cardinali
Malgré des séquences spectaculaires et le jeu nuancé des acteurs, la mise en scène linéaire de La prima linea avec le recours classique aux flash-back, montrant Sergio revenu de ses idéaux, ne parvient pas à donner un vrai souffle à ce récit trop carré.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Les associations de victimes d'organisations craignaient du film qu'il sublime les gauchos sanguinaires des Brigades rouges, mais c'est plutôt la repentance qui domine sans partage, martelée à longueur de plan.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Malheureusement, l'intrigue très linéaire et le recours incessant aux flash-back ne passionnent pas.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télérama
par Juliette Bénabent
Dialogues explicatifs, plans fixes sur Scamarcio en repenti débitant ses souvenirs ; jamais on n'atteint l'intensité, l'ambiguïté bouleversantes de Buongiorno, notte de Marco Bellocchio sur le même sujet.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Le film joue la réalité télévisuelle (...) contre la fiction cinématographique (...) comme il joue l'histoire d'amour (...) contre le combat politique (...). Inacceptable.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Metro
Un thriller percutant (...) un film engagé, fiévreux qui séduira les amateurs de cinéma transalpin.
Brazil
Un film essentiel à l'ère Berlusconi pour ne pas reproduire les mêmes erreurs et décimer la Bête avec d'autres armes plus efficaces que celle de la terreur aveugle.
Critikat.com
Grâce à un dispositif narratif remarquablement maîtrisé, le cinéaste tient ensemble l'histoire de l'Italie des années de plomb, racontée du point de vue d'un ex-terroriste, et une belle histoire d'amour.
Positif
Porté par Giovanna Mezzogiorno (...) et par Riccardo Scamarcio (...) le film de Renato De Maria s'inscrit dans la veine féconde du cinéma d'interrogation historique.
TéléCinéObs
De Maria insiste sur le caractère dissocié, le délire d'omnipotence qui avait saisi son personnage, comme des centaines, voire des milliers de jeunes à l'époque. Et ne cède jamais à la tentation romantique d'en faire le héros d'un "roman criminel".
Charlie Hebdo
La Prima Linea est un film à charge qui perd en ambiguïté ce qu'il gagne en audace.
Impact
En revanche, et même si les personnages possèdent un certain relief, on a du mal à ressentir émotionnellement ce qui reste le moteur de l'histoire.
L'Humanité
Malgré quelques conventions romanesques et un montage parfois déroutant (...) Renato De Maria se sort honorablement de l'exercice rétro-politique.
La Croix
Si la diversité des temps (...) complique le récit, il l'enrichit également pour faire de ce film un excellent témoignage des années de plomb.
Le Parisien
Réalisée avec l'intensité d'un polar, cette chronique des "années de plomb" s'inscrit dans la tradition du film politico-romantique italien.
Les Inrockuptibles
Il développe ainsi une distance réflexive, parfois subtile, parfois trop clignotante, qui exclut toute forme d'héroïsation douteuse pour mettre le doigt sur la dépossession de soi et le gâchis engendrés par cette implication extrême.
Ouest France
Mais le scénario se laisse plus souvent envahir par les discours existentiels et sentimentaux d'un couple auquel Riccardo Scamarcio et Giovanna Mezzogiorno peinent à apporter ce qu'on attend de chair et de présence.
Première
Malgré des séquences spectaculaires et le jeu nuancé des acteurs, la mise en scène linéaire de La prima linea avec le recours classique aux flash-back, montrant Sergio revenu de ses idéaux, ne parvient pas à donner un vrai souffle à ce récit trop carré.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Chronic'art.com
Les associations de victimes d'organisations craignaient du film qu'il sublime les gauchos sanguinaires des Brigades rouges, mais c'est plutôt la repentance qui domine sans partage, martelée à longueur de plan.
Le Journal du Dimanche
Malheureusement, l'intrigue très linéaire et le recours incessant aux flash-back ne passionnent pas.
Télérama
Dialogues explicatifs, plans fixes sur Scamarcio en repenti débitant ses souvenirs ; jamais on n'atteint l'intensité, l'ambiguïté bouleversantes de Buongiorno, notte de Marco Bellocchio sur le même sujet.
Cahiers du Cinéma
Le film joue la réalité télévisuelle (...) contre la fiction cinématographique (...) comme il joue l'histoire d'amour (...) contre le combat politique (...). Inacceptable.