Avis : Inception - Page 10

Films d'action, effets spéciaux, casting haut de gamme et promo rondement menée, mais film très décevant à la fin

autant le concept du film m'attirai autant j'ai était deçu...ce film est long et les scènes d'action ne sont pas vraiment captivantes.
je ne suis jamais rentré dans le film et j'ai passé 2h30 a me faire chier.

de plus ce n'est pas di caprio et son role super interessant qui m'aurai motivé a rester plus longtemps.

bref je mets une etoile pour helen page toujours aussi mignone et doué et pour ken watanabe l'un de mes acteurs préférés.

Issu de l’imagination de Christopher Nolan, auteur notamment de Memento et de Batman begins, Inception avance comme film hybride et torturé, à l’image de ses tout premiers plans qui montrent une mer agitée et un personnage échoué sur la rive. Le film semble résulter d’un drôle de mélange des genres, comme situé au carrefour de Solaris (Tarkovski et Soderbergh), d’Existenz (Cronemberg) et de Matrix (les frères Wachowski) auxquels on aurait rajouté une petite pincée de James Bond agrémenté d’une pointe de film d’arts martiaux. Inception, derrière un habillage commercial attirant, brille en effet davantage par son envie de grandeur visuelle voire sa prétention cinématographique que par la pertinence de son propos. Le film ne manque pourtant pas de moyens : une pléiade d’acteurs impressionnante, Hans Zimmer pour la musique, une belle photographie et des procédés de tournage à la pointe de la technologie - Inception sort en IMAX dans certaines salles équipées, un procédé de projection de plus en plus répandu qui vaut le détour) - ainsi que des effets spéciaux exceptionnels. Côté acteurs, le contrat est rempli : Di Caprio confirme une fois encore son talent entouré de nombreux seconds rôles auxquels le scénario a fait la part belle. L’image, sophistiquée et travaillée, évoque un monde désespéré et désenchanté, tel qu’il existait déjà dans The Dark Knight, le chevalier noir, précédente réalisation de Nolan. L’intérêt principal du film reste essentiellement visuel, présentant de beaux passages où le cinéaste crée des univers surréalistes et oniriques dans lesquels on retrouve parfois l’esprit du « film noir ». Ralentis séduisants et ostentatoires, gros plans accrocheurs, le metteur en scène filme dans l’excès, à la recherche de l’intensité et de la démesure. On aime parfois. En revanche, difficile de suivre Nolan dans ses scènes d’action filmées caméra à la main durant lesquelles il est presque impossible de suivre l’action. Difficile également de s’intéresser à son scénario d’une complexité incroyable qui demanderait quatre visionnages avant d’en comprendre le sens. Difficile enfin de ne pas s’exaspérer de la musique d’Hans Zimmer omniprésente, tapageuse et assourdissante qui finit par passablement irriter le spectateur.

Cette sorte de grand opéra surnaturel et outrancier, ne permet à aucun moment à la question essentielle d’émerger : celle de la différenciation entre le monde de l’illusion, des rêves et celui de la réalité. La vieille question de Descartes, (« quand je suis éveillé qu’est-ce qui me prouve que je ne suis pas entrain de rêver ? »), est tout juste effleurée par un film préoccupé par sa richesse formelle et son soucis d’en mettre plein la vue. Le cogito de Descartes est ici largement minoré au profit d’un monde d’impression et d’émotions. Dans Solaris, Tarkoski puis Soderbergh, se demandaient comment les souvenirs et les rêves pouvaient être un chemin d’immortalité et de renaissance. Ces grands films abordaient la question de la mémoire de l’autre et de sa vie au-delà de sa mort. Dans Inception, les voyages dans les rêves et le subconscient, servent un scénario axé principalement sur des enjeux économiques et financiers, à l’exception de la relation entre Cobb et Mall, sa femme décédée. Le film parvient très difficilement à prendre un peu de profondeur et d’épaisseur spirituelle. L’univers onirique devient prétexte pour laisser place à un déchaînement d’hyper violence qui, face au puritanisme américain et aux codes de censure, trouve dans le contexte des rêves sa justification. Inception, malgré son aspect formel séduisant, ne peut donc pas dissimuler longtemps sa fascination aliénante pour les grands thèmes du cinéma américain : le pouvoir, la violence, la puissance économique.

J'ai lu quelques critiques au préalable. Beaucoup sont ceux qui ont compris la "trame" de l'histoire sans pour autant s'étendre sur la question. Certains évoquent un film unique alors que là ou Matrix a réussi, Inception a totalement raté (faire un film sur les rêves demande tout de même de la cohésion). Je lis avec stupeur que ce film "d'action" est réussi. Mais était-ce le but recherché de faire un film d'action ? Avant tout, ne fallait-il pas baser le film sur une histoire qui tienne la route ? Qui peut prétendre dans ce foutoir, ce qu'est l'inception après après visionnage du film ? Pour faire oublier la complexité du sujet que Nolan n'a pas réussi à traiter, on essaie de relever le niveau avec une histoire d'amour pour les fans de Di Caprio et Cotillard. C'est bien pauvre...

En anglais, "inception" ne signifie pas du tout "extraction " (quie se dit "extraction), mais "commencement", "orignine", "premices".
Ca vient du latin "incipit".

J'ai détesté. Encore un film d'action qui se prend pour un film cérébral. Et encore avec de la S.F. bas de gamme aux théories fort peu convaincantes.
Ce film m'a bien saoulé avec ces défauts innombrables...
Personnellement, j'ai complètement décroché au 3e niveau de rêve pour attendre vivement la fin, une fin ambigüe forcément, à l'image de ce film, sans réelles certitudes ni intentions.

violent , frénétique , stressant et invraisemblable ; une caricature hollywoodienne bourrée des pires défauts américains : infinité d'effets spéciaux , de meurtres , d'accidents , de casses multiples , de technologies déifiées ,.... avec pour seul but d'impressionner le spectateur par une multitude d'images sophistiquées et quasiment subliminales , tant la rapidité excessive, l'anticipation supposée et le machiavelisme sont poussés à l'extrême

histoire : 0 pointé
effets : le seul intérêt quand il y en a (ok heureusement, il y en a des pas mal...une étoile pour "ça")
pour ceux qui aiment les films faussement romantiques dans un scénario complètement à la ramasse, où genre "ma femme est morte, j'm'en remets pas" cuit, recuit, extra cuit...et en plus pas crédible le tout imbriqué dans une espèce d'histoire tellement tordue que même les scénaristes n'y comprennent plus rien.
en un mot : navrant.

Mouai...Des rêves aussi structurés que le monde réel... Un état de conscience dans l'inconscient ( l'inconscient n'existe donc pas), des rêves dans des rêves (l'inconscient de l'inconscient dans l'inconscient ?). Des lieux que le scénario ne justifie pas vraiment mais qui favorisent le spectacle en mettant en exergue votre home cinéma...
Un film qui tente d'installer, tout le long du film, une atmosphère sérieuse et prenante alors que l'intrigue de base est des plus banales (donc le sort des personnages ne m'intéressait que trop peu). Ca me donnait l'impression de voir des fourmis en guerre contre des mites avec en musique de fond "la chevauchée des walkyries" de Wagner.
Ce film est aussi farfelu qu'un rêve.

Scénario Tro Complexe ... Sa Auré Pu Etre Un Bon Film ...

Le gros problème d’Inception n’est pas en soit le film (un peu quand même), mais le contexte hystérique dans lequel il s’inscrit, critiques élogieuses et exagérés, de ce fait on s'attend à du lourd... Que retenir de ces 2h30 de déluge graphique ? Une réalisation un peu manquée, pourtant, Christopher Nolan fait partie incontestablement du cercle fermé des metteurs en scène les plus brillants de ces vingt dernières années, un beau panel d'actrices et d'acteurs, mais sans excès de génie et un déroulement finalement bien calme. Une vraie déception...

L'idée de base est sympa mais le scénario se complexifie inutilement pour finalement rendre le film ennuyeux au possible. Une étoile pour la prouesse de la toujours compétente Ellen Page.

hier, j'ai vu Inception. Tu sais le film trop bien, que tout le monde adore avec le magnifique Léo et la talentueuse Cotillard.. et bien... résultat des courses... ça se veut intelligent et intellectuellement poussé, avec de la finesse et tout ce qu'on veut.. et bien Non , ça ne marcha pas et dès le début on se doute de la fin qui n'arrivera que deux heurs plus tard... (je suis juste resté pour Léo qui fait une belle prestation) mais l'histoire qui pourrait être interessante arrive avec ses gros sabots et c'est juste sans intérêt..

Sans grand intéret !! j'ai manqué de m'endormir à plusieurs reprises mais j'ai pu tout de même finir de le voir . En conclusion un bon film gros film américan comme tant d'autres !!! perte de temps

J'ai mis une étoile pour: les acteurs qui sont excellents, les effets spéciaux bien évidemment, et aussi les musiques composées par le génial Hans Zimmer. Mais le reste est chiant, long et incompréhensible. Pourtant j'adore l’idée de base: le fait d’être dans un rêve emboité dans un autre etc...
Mais dans INCEPTION, il y a beaucoup trop d'idées pour en faire un seul film, c'est mon avis.
Et la chose qui ma fait le plus détesté le film c'est la fin, vous connaissez ce genre de fins ou le réalisateur laisse imaginer aux téléspectateurs ce qui va se passer. spoiler: En occurrence la c'est si la toupie va tomber ou pas pour savoir si Leonardo DiCaprio est enfin rentrez chez lui, dans le monde réel, et qui peut continuer a vivre tranquillement avec ses enfants.
Voila je déteste rester sur ma faim et c'est ce qui c'est passer avec INCEPTION.