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Un visiteur
0,5
Publiée le 15 janvier 2018
un film réalisé pour se la raconter . insondable . La palme de la réplique la plus débile à la fin dans la déclaration du héros à sa femme ( je t 'aime dans toute ton imperfection
je mets au défi même les plus ardents défenseurs de me dire qui est qui dans la bataille sur neige ...on n' y pige rien ... Et puis cette voiture qui tombe tombe .....j' en tombe d' ennui . effrayant de prétention ...
Un film globalement très bien noté et apprécié. Le problème c'est que je n'ai absolument rien pigé de l'histoire. Et le fait que ce film dure assez longtemps et j'ai fini par décrocher complètement et je me suis forcément ennuyé à mourir. Un vrai bazar ce film. Bref j'ai pas aimé.
Quelle est l'origine de ce film? Une équipe a découvert un logiciel avec lequel on peut faire joujou avec les images. Et hop on fait un film. Il n'y a pas d'histoire, ce truc est nullissime. C'est juste une démonstration de technologie
Je ne comprends pas les louanges faites à ce film. L'histoire ne tient pas debout. Les scènes de rêves sont des effets spéciaux peu réussis et sans intérêts. A la fin du film, ça tire dans tous les sens. C'est un peu du James Bond mais en moins bien. On était deux et on a eu le même avis. On a trouvé le temps très long
Il y a une chose que je ne peux pas reprocher à ce film, c'est de cacher la manière dont il a été conçu. C'est même un cas d'école de ce qu'il ne faut pas faire au cinéma : 1. Partez des scènes que vous voulez voir dans le film, car vous avez enfin les ordinateurs capables de les générer. 2. usez et abusez des ralentis pour justement étirer les scènes impressionnantes et réduire leur coût de production. 3. Justifiez tout cela ça par une histoire. 4. ça ne semble pas crédible ou cohérent ? Assommez le spectateur sous une tonnes d'explications, inventez des mots. 5. vous peinez à remplir deux heures avec ça ? utilisez le principe de boites gigognes (une histoire, dans une histoire, qui elle même ...) et des "méchants" qui excellent dans l'art de de tirer à côté. 6. Cela manque d'esprit ? Rajoutez quelques questionnements bidons sur la mort, l'amour, la conscience, ça passe toujours. 7. Choisissez des acteurs, mauvais certes, mais qui rempliront la salle assurément. TADAMMMMMMMMMMMM !
Incohérences, fausse complexité scénaristique, mis en scène ratée.
Inception est une déception et un navet incroyablement surcoté qui ne tend qu'à manipuler les moins avertis d'entre nous.
D'ailleurs, quelques années plus tard, en 2015, nous avons enfin la réponse à spoiler: la grande question de la toupie. Nolan a déclaré que rien dans le film ne pouvait tendre vers une solution ou une autre. Et oui !! En clair, ne cherchez pas dans le film, des histoires de bagues, ou autres indices, car il n'y en as pas ! Et oui, plusieurs années de masturbation intellectuelle entre fans qui tombent de haut... Nolan nous dévoile que ce qui est important c'est que le héro se détourne de la toupie et prend ses enfants dans ses bras, peu importe la réalité, c'est sa réalité qui est importante, la où il se sens bien... En bref, il aurait pu vivre toute sa vie avec sa femme dans un rêve, et être heureux, depuis le début et arrêter de nous casser la tête avec des fausses bonnes idées. Tout est un enchevêtrement de bêtises pseudos intellectuelles , pour une fin tout aussi mauvaise qu'inutile.
Un déluge visuel mais où l'esthétisme semble absent, une histoire incompréhensible, des acteurs pachydermiques, une réalisation nombriliste et surtout un ennui mortel. (Mais en dire du bien dans les soirées parisiennes, ça vous classe !)
Le film le plus surcote de ces dernières années. Un scénario qui se veut réfléchi et innovant alors qu'il n'est que prétention intellectuelle, tordu à n'en plus être cohérent, histoire de donner cet aspect réfléchi.
Inception est extrêmement rigolo car il joue sur plusieurs niveaux de flatulences qui s'imbriquent entre elles jusqu'à former une épaisse couche puante au fumet particulièrement savoureux pour tous les amateurs de grand n'importe quoi.On a donc droit aux discours éructés de différents personnages inintéressants qui tentent de nous faire croire que leur quête du code caché enfoui dans l'esprit d'un milliardaire a un quelconque intérêt.On suit de looooooonngues scènes d'action mal filmées qui remettent en perspective les records récents du pet le plus long.On s'endort face à un scénario qui complique inutilement une histoire très banale et aux réactions idiotes d'une bonne partie du casting. Au final, on espère que les rémanences nauséabondes du film n'imprègnent pas trop durablement nos nasaux sensibles en ces périodes de disette.
Je regarde « Inception » pour la deuxième fois et ma conclusion reste la même que celle de la première fois, à savoir: mais comment ce film a-t-il pu avoir le succès monumental qui fut le sien? Franchement, je suis dans l’incompréhension la plus totale ! Pourquoi un tel succès, une telle réputation? Parce que c’est Christopher Nolan derrière la caméra? Cependant, je suis le premier à admettre sans sourciller ne serait-ce qu’une fraction de seconde que l’idée de départ était des plus inventives et audacieuses. Mais à part ça? Là franchement, j’ai beaucoup de mal à trouver des mots justes pour rédiger ma critique étant donné qu’ « Inception » ne m’a pas emballé du tout. Je vais même dire que je me suis profondément emmerdé. Pourtant, au début, cette histoire de pénétrer dans le rêve de quelqu’un, bordel ça c’est de l’idée, c’est tout simplement génial, reste plus qu’à espérer que la suite sera du même acabit. Et bien non, le soufflet retombe très vite et même très brutalement. A aucun moment je n’ai été dans la capacité de m’intéresser, ne serait-ce qu’un petit peu à ce qui se passait sous mes yeux. J’ai bien du mal à trouver mes mots. Je m’attendais à un objet vraiment unique, puissant et retentissant. J’ai plus eu l’impression d’assister à un méga bordel cinématographique plutôt qu’à un film. Je suis vraiment stupéfait. Et pour moi, à part l’idée de base, il n’y a absolument rien à sauver. Et encore moins le casting. J’épargnerai Léonardo Di Caprio étant donné qu’il fait ce qu’il peut pour sauver ce qui peut encore l’être. En revanche, pour le reste c’est la cata complète. Entre une Marion Cotillard inutile et complètement à côté de ses pompes et un Joseph Gordon-Levitt bidon, on n’est pas du tout gâtés. Pour moi, le seul (éventuel) mérite d’ « Inception », c’est d’avoir ouvert la voie à un nouveau style de science-fiction.
Inception est extrêmement rigolo car il joue sur plusieurs niveaux de flatulences qui s'imbriquent entre elles jusqu'à former une épaisse couche puante au fumet particulièrement savoureux pour tous les amateurs de grand n'importe quoi. On a donc droit aux discours éructés de différents personnages inintéressants qui tentent de nous faire croire que leur quête du pet caché enfoui dans l'esprit d'un milliardaire a un quelconque intérêt. Le tout accompagné de pétarades bien senties, notamment certaines au ralenti, qui remettent en perspective les records récents du pet le plus long. Il y a malheureusment fort à parier que les rémanences nauséabondes du film imprègnent durablement nos nasaux sensibles en ces périodes de disette. Au final, un pet mouillé.
L'idée de départ ne serait pas mauvaise mais le film est mauvais. Au lieu de me trouver dans un univers de rêve, je me suis trouvé dans un univers prosaïque, froid et stéréotypé où chaque scène semblait la photocopie de l'autre. Un univers où des acteurs jouant le minimum syndical sans trop y croire (jamais vu un Di Caprio aussi nul) nous expliquent d'un air suffisant et prétentieux des règles bizarres comme si nous étions des gosses débiles. Des règles qui essaient de d'étoffer l'idée première - le limbes, le temps qui ralentit, les niveaux, le subconscient qui déteste l'architecte des rêves - mais arrivent seulement à sembler ridicules. Toute proportion faite, c'est comme écouter des trucs de curé: fumeux, tordus et arrogants. Ce qui est pire, ce film construit sur les rêves n'a rien d'onirique malgré les efforts millionnaires de la production pour nous offrir des décorations époustouflantes. La poésie, l'atmosphère, les fantasmes, l'émotion sont aux abonnés absents. A propos d'onirisme poétique, la branche d'arbre nue filmée en noir blanc à contrejour par Ingmar Bergman dans "Les Fraises Sauvages" est plus dense d'émotion que tous les effets spéciaux du blockbuster américain.
Film prétentieux sans grand interet. Jeu d'acteur médiocre à part Dicaprio. Le voir une fois est largement suffisant si vous n'avez vraiment rien d'autre à faire. Si vous desirez voir des films sur le theme du reve qui sont vraiment de grandes experiences cinématographiques je vous conseil les derniers Lynch.