Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Gianni Amelio adapte avec beaucoup de sensibilité le livre posthume d'Albert Camus (...) et rend admirablement les déchirements d'une Algérie où amis d'autrefois sont devenus ennemis. Porté par des interprètes formidables de chaleur et de justesse et par une mise en scène vibrante d'empathie, "Le Premier Homme" est un bel hommage à la douleur des deux camps.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) La maitrise de Denis Podalydès (...) fait merveille. Le film manque peut-être un peu de force et de personnalité, mais il touche souvent juste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
(...) le long-métrage de Gianni Amelio souffre d'une réalisation par trop appliquée, comme paralysée par le respect dû à son sujet [mais] Jacques Gamblin campe superbement le personnage de Jacques Cormery dans un mélange touchant de simplicité, de cordialité et de tourments tus. Denis Podalydès excelle aussi dans le rôle de l'instituteur humaniste.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Ouest France
par La Rédaction
Une reconstitution appliquée et un peu trop sage, mais portée par la prestation émouvante de Jacques Gamblin.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Fabien Baumann
"Le Premier Homme", (...), demeure un film étrange. On est à mille lieues du biopic. On découvre Camus, certes, son enfance si pauvre, le miracle républicain qui fera du fils de femme de ménage un prix Nobel de littérature, mais nul rosebud au bout de la pelote reconstituée.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Frédéric Strauss
Voilà matière à des portraits réussis, les comédiens apportant à la fois une sensibilité et une force à même de faire d'eux les figures marquantes de toute une vie. Le personnage de l'enfant, futur écrivain, convainc hélas moins, mélange de charme simplifié et d'opacité parfois frustrante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
De nombreuses scènes fleurent bon la reconstitution historique consciencieuse, au point de retirer au long-métrage une grande part de spontanéité. C'est d'autant plus dommage que le point de vue du réalisateur sur les évènements d'Algérie est vraiment pertinent.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Sandy Gillet
Malgré l'implication évidente d'un Podalydès et dans une moindre mesure de Gamblin, le film peine à porter à l'écran le roman inachevé et autobiographique d'Albert Camus dont on doute que Gianni Amelio en ait saisi toutes les ramifications historiques et littéraires.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) Le film de Gianni Amelio suit à la lettre les préceptes les plus désuets de la mise en images. Lumière impeccable, interprétation compassée (...) musique de bon goût donnent au moins envie de revenir au texte, sans parvenir à prendre un sens sur l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Patrick Flouriot
Amelio adapte le dernier roman inachevé : le résultat est compassé et scolaire. Mais les acteurs sont excellents.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Il y avait là une story idéale qu'embrasse avec l'académisme d'usage l'Italien Gianni Amelio. Recourant à tous les artifices du genre (reconstitution appliquée, acteurs vieillis grâce à des postiches), il repasse ainsi par toutes les stations de la vie de Camus dans un livre d'images conventionnel et un peu vain.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
Gianni Amelio adapte avec beaucoup de sensibilité le livre posthume d'Albert Camus (...) et rend admirablement les déchirements d'une Algérie où amis d'autrefois sont devenus ennemis. Porté par des interprètes formidables de chaleur et de justesse et par une mise en scène vibrante d'empathie, "Le Premier Homme" est un bel hommage à la douleur des deux camps.
L'Obs
(...) La maitrise de Denis Podalydès (...) fait merveille. Le film manque peut-être un peu de force et de personnalité, mais il touche souvent juste.
La Croix
(...) le long-métrage de Gianni Amelio souffre d'une réalisation par trop appliquée, comme paralysée par le respect dû à son sujet [mais] Jacques Gamblin campe superbement le personnage de Jacques Cormery dans un mélange touchant de simplicité, de cordialité et de tourments tus. Denis Podalydès excelle aussi dans le rôle de l'instituteur humaniste.
Ouest France
Une reconstitution appliquée et un peu trop sage, mais portée par la prestation émouvante de Jacques Gamblin.
Positif
"Le Premier Homme", (...), demeure un film étrange. On est à mille lieues du biopic. On découvre Camus, certes, son enfance si pauvre, le miracle républicain qui fera du fils de femme de ménage un prix Nobel de littérature, mais nul rosebud au bout de la pelote reconstituée.
Télérama
Voilà matière à des portraits réussis, les comédiens apportant à la fois une sensibilité et une force à même de faire d'eux les figures marquantes de toute une vie. Le personnage de l'enfant, futur écrivain, convainc hélas moins, mélange de charme simplifié et d'opacité parfois frustrante.
aVoir-aLire.com
De nombreuses scènes fleurent bon la reconstitution historique consciencieuse, au point de retirer au long-métrage une grande part de spontanéité. C'est d'autant plus dommage que le point de vue du réalisateur sur les évènements d'Algérie est vraiment pertinent.
Ecran Large
Malgré l'implication évidente d'un Podalydès et dans une moindre mesure de Gamblin, le film peine à porter à l'écran le roman inachevé et autobiographique d'Albert Camus dont on doute que Gianni Amelio en ait saisi toutes les ramifications historiques et littéraires.
Le Monde
(...) Le film de Gianni Amelio suit à la lettre les préceptes les plus désuets de la mise en images. Lumière impeccable, interprétation compassée (...) musique de bon goût donnent au moins envie de revenir au texte, sans parvenir à prendre un sens sur l'écran.
Les Fiches du Cinéma
Amelio adapte le dernier roman inachevé : le résultat est compassé et scolaire. Mais les acteurs sont excellents.
Les Inrockuptibles
Il y avait là une story idéale qu'embrasse avec l'académisme d'usage l'Italien Gianni Amelio. Recourant à tous les artifices du genre (reconstitution appliquée, acteurs vieillis grâce à des postiches), il repasse ainsi par toutes les stations de la vie de Camus dans un livre d'images conventionnel et un peu vain.