Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Monde
par Noémie Luciani
"Ce que le jour doit à la nuit" est une fresque monumentale dans tous les sens du terme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Alain Spira
Malgré une réalisation trop classique, happé par l'histoire (la petite et la grande), charmé par la beauté des décors et séduit par l'excellence des comédiens, vous ne pourrez échapper au souffle romantique de ce film, sans doute le meilleur d'Alexandre Arcady.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TF1 News
par Pauline Penicaud
Un film émouvant où la mise en scène et les jeux de lumières nous projettent vers des images inouïes de symbolisme.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Si le récit, adapté du roman de Yasmina Khadra, articule avec lourdeur l'intime et l'épique, la mise en scène d'Alexandre Arcady retrouve (enfin) ce souffle épique dont il est capable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Michel Cieutat
Ce seizième film d'un réalisateur trop souvent inégal dans ses choix de scénario se laisse voir agréablement et mérite notre respect devant son appel à la tolérance à l'heure où celle-ci, des deux côtés de la méditérranée, tend à disparaître.
La critique complète est disponible sur le site Positif
20 Minutes
par Marilyne Letertre
Hélas, sa fresque romanesque manque de souffle épique et de fièvre et pâtit de la piètre prestation du débutant Fu'ad Aït Aattou.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Malgré la sincérité de son réalisateur, ce film ne séduit pas totalement en raison notamment d'interprétations souvent emphatiques ou plates, d'un récit qui manque de continuité entre une identité initiale complexe et une histoire d'amour empêchée par un serment si dévastateur qu'il en paraît inique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Sur fond de colonialisme, de soleil, d'attentats, d'amitié, de trahison, Arcady signe une longue fresque romanesque bien trop grandiloquente avec ses sentiments qui débordent de partout et une romance inaboutie qui laisse le spectateur agacé.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Dans cette plate adaptation "nostalgérique" du roman de Y. Khadra, A. Arcady ne rend pas plus hommage au baroquisme flamboyant du verbe du romancier qu'au souffle épique de l'Histoire.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Ouest France
par La rédaction
Le propos, exposé sans guère de nuances ni de subtilités, se noie dans les débordements d'une mise en scène ampoulée et surlignée. (...) Une fresque interminable.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Antoine Prioul
(...) ce nanar besogneux, étouffant de lyrisme grumeleux, bascule au bout de trois plans dans une saga estivale très très longue.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Nicolas Didier
Toutes les cinq minutes, on a droit à une trahison amoureuse ou à une mort violente à coups de musique lacrymale, comme s'il fallait pleurer sans cesse durant deux heures quarante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
"Ce que le jour doit à la nuit" est une fresque monumentale dans tous les sens du terme.
Paris Match
Malgré une réalisation trop classique, happé par l'histoire (la petite et la grande), charmé par la beauté des décors et séduit par l'excellence des comédiens, vous ne pourrez échapper au souffle romantique de ce film, sans doute le meilleur d'Alexandre Arcady.
TF1 News
Un film émouvant où la mise en scène et les jeux de lumières nous projettent vers des images inouïes de symbolisme.
L'Obs
Si le récit, adapté du roman de Yasmina Khadra, articule avec lourdeur l'intime et l'épique, la mise en scène d'Alexandre Arcady retrouve (enfin) ce souffle épique dont il est capable.
Positif
Ce seizième film d'un réalisateur trop souvent inégal dans ses choix de scénario se laisse voir agréablement et mérite notre respect devant son appel à la tolérance à l'heure où celle-ci, des deux côtés de la méditérranée, tend à disparaître.
20 Minutes
Hélas, sa fresque romanesque manque de souffle épique et de fièvre et pâtit de la piètre prestation du débutant Fu'ad Aït Aattou.
La Croix
Malgré la sincérité de son réalisateur, ce film ne séduit pas totalement en raison notamment d'interprétations souvent emphatiques ou plates, d'un récit qui manque de continuité entre une identité initiale complexe et une histoire d'amour empêchée par un serment si dévastateur qu'il en paraît inique.
Le Journal du Dimanche
Sur fond de colonialisme, de soleil, d'attentats, d'amitié, de trahison, Arcady signe une longue fresque romanesque bien trop grandiloquente avec ses sentiments qui débordent de partout et une romance inaboutie qui laisse le spectateur agacé.
Les Fiches du Cinéma
Dans cette plate adaptation "nostalgérique" du roman de Y. Khadra, A. Arcady ne rend pas plus hommage au baroquisme flamboyant du verbe du romancier qu'au souffle épique de l'Histoire.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Ouest France
Le propos, exposé sans guère de nuances ni de subtilités, se noie dans les débordements d'une mise en scène ampoulée et surlignée. (...) Une fresque interminable.
Première
(...) ce nanar besogneux, étouffant de lyrisme grumeleux, bascule au bout de trois plans dans une saga estivale très très longue.
Télérama
Toutes les cinq minutes, on a droit à une trahison amoureuse ou à une mort violente à coups de musique lacrymale, comme s'il fallait pleurer sans cesse durant deux heures quarante.