Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Paris Match
par Alain Spira
A travers ce "Clochemerle" israélo-palestinien, le réalisateur dessine avec humour et amertume le portrait contrasté d'une jeunesse palestinienne coincée entre un passé oppressant et un futur oppressé.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Avec beaucoup de finesse, et sans jamais se départir d'une légèreté de ton qui fait le charme de son film, Sameh Zoabi évoque le sort de ces Arabes qui vivent en Israël dans leurs propres villages, qui ne se mélangent pas au reste de la population, dont ils sont tenus à l'écart, mais qui doivent tout de même parler suffisamment l'hébreu pour accéder à l'université et à un métier.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
A la surveillance qu'exerce le portable sur les moindres faits et gestes, Sameh Zoabi oppose une liberté de mouvements recouvrée par le bouche-à-oreille et la distribution de tracts " de la main à la main ".
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Cette comédie à types (...), menacée par le double écueil de la gentillesse et de la désinvolture, est en revanche recommandable pour sa drôlerie et sa finesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Julien Englebert
En fixant son propos sur le sol, Sameh Zoabi tourne en rond et ne lève que trop rarement son regard. La question pertinente de la communication est soulevée, mais n'éclôt jamais.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La rédaction
Tant pis si côté cinéma, le traitement est souvent assez balourd aussi bien dans le propos que dans la mise en scène. [Sameh Zoabi] fait passer des sujets de réflexion, pour mettre en alerte et exprimer une colère.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Antoine Prioul
Cette comédie pataude digne d'un spot SFR des années 90 se double heureusement d'une chronique sociale plus subtile, faisant de Sameh Zoabi une sorte de Stephen Frears oriental qui pointe avec malice les authentiques questionnements d'une communauté tiraillée par l'Histoire.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Une chronique pleine d'ironie et de malice qui évoque en creux les vicissitudes d'une communauté condamnée à se sentir étrangère dans son propre pays. D'accord, les effets comiques sont du genre sommaire, mais on reste preneur de ce ton débonnaire et de ces personnages rafraîchissants.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Sur un ton léger de la comédie, "Téléphone arabe" aborde avec humour les relations intercommunautaires en Israël à travers le personnage de Jawdat, jeune homme qui sert de trait d'union entre Israéliens et Arabes. A trop user d'un humour primesautier pour évoquer des relations conflictuelles, le film tombe souvent dans les bons sentiments et la complaisance.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
Même si elle manque de rythme et d'énergie, cette comédie assez légère de ton jette un regard empreint d'autodérision et de tendresse sur une petite communauté rurale, loin des schémas préconçus.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Jacques Morice
S'il arrive que certaines métaphores — sur la question épineuse du territoire et de la communication difficile entre Arabes et Israéliens mais aussi entre les générations — soient joliment tricotées, le film tourne vite en rond et se complaît dans un babil plus saoulant que bidonnant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Paris Match
A travers ce "Clochemerle" israélo-palestinien, le réalisateur dessine avec humour et amertume le portrait contrasté d'une jeunesse palestinienne coincée entre un passé oppressant et un futur oppressé.
Positif
Avec beaucoup de finesse, et sans jamais se départir d'une légèreté de ton qui fait le charme de son film, Sameh Zoabi évoque le sort de ces Arabes qui vivent en Israël dans leurs propres villages, qui ne se mélangent pas au reste de la population, dont ils sont tenus à l'écart, mais qui doivent tout de même parler suffisamment l'hébreu pour accéder à l'université et à un métier.
Cahiers du Cinéma
A la surveillance qu'exerce le portable sur les moindres faits et gestes, Sameh Zoabi oppose une liberté de mouvements recouvrée par le bouche-à-oreille et la distribution de tracts " de la main à la main ".
Le Monde
Cette comédie à types (...), menacée par le double écueil de la gentillesse et de la désinvolture, est en revanche recommandable pour sa drôlerie et sa finesse.
Les Fiches du Cinéma
En fixant son propos sur le sol, Sameh Zoabi tourne en rond et ne lève que trop rarement son regard. La question pertinente de la communication est soulevée, mais n'éclôt jamais.
Ouest France
Tant pis si côté cinéma, le traitement est souvent assez balourd aussi bien dans le propos que dans la mise en scène. [Sameh Zoabi] fait passer des sujets de réflexion, pour mettre en alerte et exprimer une colère.
Première
Cette comédie pataude digne d'un spot SFR des années 90 se double heureusement d'une chronique sociale plus subtile, faisant de Sameh Zoabi une sorte de Stephen Frears oriental qui pointe avec malice les authentiques questionnements d'une communauté tiraillée par l'Histoire.
TéléCinéObs
Une chronique pleine d'ironie et de malice qui évoque en creux les vicissitudes d'une communauté condamnée à se sentir étrangère dans son propre pays. D'accord, les effets comiques sont du genre sommaire, mais on reste preneur de ce ton débonnaire et de ces personnages rafraîchissants.
Critikat.com
Sur un ton léger de la comédie, "Téléphone arabe" aborde avec humour les relations intercommunautaires en Israël à travers le personnage de Jawdat, jeune homme qui sert de trait d'union entre Israéliens et Arabes. A trop user d'un humour primesautier pour évoquer des relations conflictuelles, le film tombe souvent dans les bons sentiments et la complaisance.
La Croix
Même si elle manque de rythme et d'énergie, cette comédie assez légère de ton jette un regard empreint d'autodérision et de tendresse sur une petite communauté rurale, loin des schémas préconçus.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
Télérama
S'il arrive que certaines métaphores — sur la question épineuse du territoire et de la communication difficile entre Arabes et Israéliens mais aussi entre les générations — soient joliment tricotées, le film tourne vite en rond et se complaît dans un babil plus saoulant que bidonnant.