Derniers Avis sur Amityville, la maison des poupées

Plus rien à voir avec l'histoire vraie d'Amityville, c'est plus la même maison hantée que celle d'Amityville ou Ronald Défléo à fusiller toute sa famille, par des forces démoniques, ce film est une invention total, nul.

Sans doute la meilleure suite depuis le deuxième film, et bien qu’on nous refasse le coup de l’accessoire hanté avec cette maison de poupées il y a de vrais personnages, les enjeux d’une famille recomposée, de quoi retenir l’attention un minimum, constat relatif cependant après la médiocrité des précédents opus, le lien avec Amityville est encore une fois tiré par les cheveux, demeurent quelques clichés horrifiques, des incohérences et surtout le dernier acte est raté.. Mais je dirais qu’on retrouve ce qui a fait le sel des deux premiers films, déjà il arrive par moment à faire peur, ce qui n’est pas rien, il y a aussi ce retour à la thématique incestueuse, même si effleurée, en plus de la connexion à la source du mal, dommage d’ailleurs que ce Dollhouse n’aille pas plus loin en forçant, par exemple, le plus jeune fils via le fantôme de son père à tuer sa famille, ça aurait eu du sens (rien que son demi frère), étrange que le massacre n’ait plus été abordé depuis le 2, surtout pour bricoler des trucs aussi inintéressants les uns que les autres.
Rajoutez à cela une mise en scène paresseuse, des acteurs qui n’ont pas vraiment l’air de croire au projet (on peut les comprendre arrivé au 8ème) ainsi qu’un ou deux personnages inutiles à l’histoire, par contre les maquillages sont pas mal, bref une petite série B très imparfaite mais franchement regardable.

Pour l'instant, je n'ai jamais trouvé un film de la franchise qui vaille vraiment le coup. Celui-là restait pas trop mal, si on met de côté les clichés et les scènes "bouche-trou" de sex. Le début : pas trop mal. Mais la fin... Aïe aïe aïe aïe aïe, quelle cata ! On fonce droit dans le mur, HOH ! Des "effets spéciaux" ridicules, des clichés, de acteurs qui jouent mal, un scénario décousu... On est passé d'un bon de série B à série Z en peu de temps. Pfff... ça ne donne pas envie de découvrir d'autres films de la saga.

Avis bref ;
vu ce huitième volet .. la saga touche à sa fin (ou presque !). Ce volet reste e toujours aussi sympa que dans mes souvenirs.
Enfin bref, il reste bien sympa.

"Amityville, la maison du diable", l'original, est un film d'épouvante sorti en 1979 que l'on doit à Stuart Rosenberg, réalisateur du célèbre "Luke la main froide". Cette histoire basée, si me souvenirs sont bons, sur des faits réels ou tout au moins supposés réels, a comme beaucoup d'autres - "Poltergheist" entre autres - donné lieu à une véritable franchise constituée de remakes, de suites toutes plus improbables les unes que les autres. Steve White est l'un de ceux qui ont le plus tenté d'exploiter la série, tout d'abord en produisant un téléfilm et deux suites poussives ("Darkforce" et "Votre heure a sonné") avant de s'atteler lui-même à la réalisation pour un épisode plus qu'anecdotique sorti dans les salles en février 1997. Le soucis majeur de ce film provient en grande partie du casting composé exclusivement de seconds couteaux dont la plupart sont ici peu inspirés. L'autre grande faiblesse de cet énième volet d'"Amityville" est qu'il conjugue à peu près tous les clichés qui existent dans le genre : sorcellerie, personnage mal perçu qui passe du bourru au sauveur, ambiguïté sexuelle sans oublier le retour de défunts disparus dont l'étendue de la putréfaction symbolise le degré de mauvaise intention. Mais tout ça n'est rien à côté des démons qui torturent le gentil père de famille qui tente de rassembler sa famille et sa belle-famille. Absolument ridicules avec des faux airs d'un Belzébuth de pacotille avec eux on nage dans un torrent de mauvaises idées et dans un scénario de très mauvais goût. "Amityville, la maison des poupées" fait passer "Amityville" de la série B à la série Z et affuble le film initial de Rosenberg d'une autre casserole à traîner. Et le pire dans tout ça, c'est qu'il y a encore eu un autre épisode sorti en 2004. Je ne l'ai pas vu et je ne veux pas le condamner par avance mais il est plus que temps d'en finir une fois pour toutes avec "Amityville" et de ne revisionner que le premier, le seul qui vaille réellement le coup de s'y attarder.

Huitième et denier (avant le remake) film de la saga "Amityville" réalisé par Steve White et sotie en 1996 qui n'est plutôt pas mal et qui surpasse largement les derniers films de la saga. Le scénario est dans le fond assez basique mais il est original et décalé sur la forme. Cette fois-ci, les diables qui hantaient la grande maison d'Amityville habitent maintenant dans la petite maison de poupées découverte par le père de la famille Martin venant d'emménager sur le terrain puis il l'offre ensuite à sa petite fille, Claire pour son anniversaire. L'idée de base est donc plutôt bonne et on peut croire aussi que par moments, le film ne se prend même pas au sérieux comme par exemple avec la scène spoiler: de la souris qui grossi, la scène avec les diables, la scène avec le père mort-vivant etc.
et ça en est parfois, même souvent ridicule mais d'un autre coté ça fait rire, c'est pour ça que ce film se rapproche plus du nanar que du navet comme les autres et c'est ça qu'il a en plus, il a au moins le mérite de divertir par rapport aux précédents films de la saga qui étaient ridicules et ennuyant. Les effets spéciaux sont plutôt bien réalisés et les acteurs ne sont dans l’ensemble pas très crédible mais ça ne choque pas tant que ça. "Amityville : La Maison de poupées" relève les autres films de la franchise et il nous fait passer un bon moment.

"Amityville, la maison des poupées" est un film vraiment très étrange et décalé.

Le sujet du film est annoncé, dès le début, de manière voyante et idiote avec la maquette de la maison d'Amityville bien en évidence et une vieille coupure de journal pour faire plus vrai. Le passé de cette maison, qu'on nous suggère à plusieurs moments, n'a absolument rien à voir avec la vraie tragédie dont s'inspire le film. Il est mêlé à des dons de voyance, des histoires de coucherie spoiler: (avec une belle-mère en transe qui fantasme quand même sur son beau-fils, hein!)
ou autre niaiserie. Le thème de la "famille recomposée" est complètement raté. Il n'y a aucune cohésion entre ses membres, les personnages ont une histoire floue (voire inexistante), certains débarquent de nulle part sans prévenir.

Une foule d'éléments étrangers sont rajoutés pour rendre le film incompréhensible spoiler: , comme un biker, un médium et un type qui a des visions, une cabane lugubre contenant une maquette diabolique, un mort-vivant, des feux qui s'allument tout seul, une araignée en plastique qui prend vie et une souris géante, etc.
On veut nous faire croire...que "tout est lié" à cette maison de poupées!On peut rapidement constater que l'histoire générale n'a pas le moindre sens.

Certains passages du films sont vraiment pitoyables et le décrédibilisent totalement. spoiler: Par exemple l'épisode de l'insecte ressuscité rentrant dans l'oreille d'un des personnages, qui est vraiment navrant et limite burlesque - surtout quand on comprend que ce moment est censé être "terrifiant". Tout comme celui de la fille dont la chevelure s'enflamme comme par magie.
Ce qui est aussi amusant, c'est le look années 90 des personnages qui sont habillés comme des sacs et coiffés comme des clowns.

En dépit d'un tournage propre et intéressant, "Amityville, la maison des poupées" est un film totalement hors sujet qui vire très vite au grand n'importe quoi. Ce n'est pas non plus un film d'horreur car rien ne fait peur (plutôt rire). A regarder simplement pour se taper un bon fou-rire.

Leur rêve ètait typiquement amèricain : une nouvelle maison pour leur famille, une cheminèe qui en jette, de nouveaux amis, de nouveaux jeux...mais les apparences peuvent être trompeuses! Car cette maison protège un terrible secret et la famille Martin ne se doute pas du sort qu'on lui rèserve! Une maison qui va les tourmenter, les envoûter parce que le Mal ne meurent jamais! Quand l'horreur n'en finit pas et que la terreur est votre fidèle compagne, c'est que vous êtes entre de bonnes mains avec une quatrième dimension où tous les cauchemars se rèalisent! Si vous croyez connaître cette histoire, vous allez être surpris car "Amityville : Dollhouse" (sixième volet de la saga) est une suite correcte de la franchise, en tout cas supèrieure à "Amityville 3D" et "Amityville 4", et ce même si tous les personnages du film sont stèrèotypès! Guêpes tueuses, monstres et incendies sont au menu! Notons que le maquillage du papa zombie est rèussi (on pense au soldat zombifiè du premier "House") et que le jeune Allen Cutler a des faux airs de Rafael Nadal! Saluons pour finir les dècorateurs du film pour la confection plus vraie que nature de la maison de poupèe...

le 8ème opus de la saga Amityville, le dernier avant le remake de 2005, a un scénario qui laisse un peu à désirer mais le film est divertissant, voir efficace, même si l'ensemble manque de subtilité.

Amityville, Amityville machin, Amityville truc, Amityville 3D... assurément dans le pâté de maisons Amityville le "home staging" ne suffira pas à sauver le quartier... seule la première maison mérite qu'on s'y attarde un peu.

"Amityville : la maison de poupées" est un film d'épouvante américain, sorti en 1996 est réalisé par Steve White (dont c'est le seul film). Le but de ce film est de respecter, le mythe "Amityville" en proposant un opus original et stressant. Mais a t'il réussi ce pari ? Est-ce un bon film ?

Le scénario sur le script aurait pu faire un bon opus, original finalement. Mais ce "Amityville : la maison des poupées" part dans tout les sens et devient vite ridicule, l'interet biensur ne suit pas. Pas un soupson de peurs ou de stress, on rigole meme des effets spéciaux déja biens mauvais pour un film de 1996. Le script : La famille Martin construisent une maison autour d'une cheminée. Le pere, Bill (Robin Thomas), trouve une vieille maison de poupée qu'il offre à sa fille pour son anniversaire. Seulement, cette maison est la retranscription de la maison d'Amityville, théatre de meurtres. La réalisation bien kitch et trés série Z et le rythme lent au possible ne sauveront pas ce scénario déja minable.

Le casting n'est pas vraiment prestigieux. On peut juste y voir l'actrice Lisa Robin Kelly (populaire pour son role dans "That 70's show" et "Payback"). Le charisme suit-il ? Comment dire ? Non ! Les acteurs sont tout droits sortis des pires séries Z. Aucuns charisme, ridicules, ils en deviennent limite droles.

La bande-son est aussi mauvais que le reste. Des musiques style "Harry Potter" dans l'ame, essayant de faire monter le suspens, mais bien-sur ca ne prend pas et c'est encore une fois plus drole et minable qu'autre chose ! Le compositeur ce nomme Ray Colcord, à l'origine des musiques de "Casper" ou "le déshonneur d'Elizabeth Campbell".

La fin est encore une fois minable. Un rebondissement qui sonne creux, et une scène finale pathétique, servie par des dialogues hilarants tellement c'est minable ! Le film à voulu installer une mythologie à deux balles qui devient un pétard mouillé lors de la dernière "d'action" de cet opus. La réaction du telespectateurs pourrait ce resumer à "Hein ?!".

Heureusement (ou malheureusement), on ne s'ennui pas. C'est tellement drole de ridicule que pendant toute la durée de film on ce prend à de grandes crises de fou rire devant la mise en scène, la réalisation et le jeux des acteurs médiocres mais tellement drole ! Le rapport durée de film (1h30)/Longueurs, a vrai dire on s'en fiche ! On suit l'histoire en pensant plus à ce moquer du concept.

Que dire finalement de "Amityville : la maison de poupées" ? Un bon gros nanard qui ce veut effrayant. Si son coté "série Z" serait assumé, cela aurait été un vrai chef d'oeuvre (ou pas). L'histoire de base plutot attrayant desservi par une réalisation et une mise en scène pathétique, des effets spéciaux nazes ce qui donne un film ininteressant. Des acteurs pas charismatiques du tout, une bande-son qui n'a aucun rapport avec l'ambiance voulue, une fin minable. Mais on ne s'ennui pas, c'est tellement drole ! Certaines critiquent disent que pour un film de 1996, cet "Amitiville", la maison des poupées a rien à ce reproché et reste bon pour son époque. Je voudrais juste dire "L'exorciste", "Evil Dead", "Amityville" premier du nom, "Poltergeist" ou encore "Carrie". Bref, il n'y a rien a sauver, tout a jeter. Mauvais.

Cet ultime épisode d’Amityville est pour moi le meilleur depuis les deux premiers opus. Les acteurs sont assez bons dans l’ensemble et le scénario est légèrement plus subtil que celui des 5 derniers films. Le réalisateur s’inspire visiblement de « Shinning » et s’amuse avec la tension sexuelle qui sous-tend son intrigue. Dommage que la fin du film et les effets spéciaux soient bâclés.

si vous avez aimer amityville 1 ou bien meme le 2,alors je vous deconseille ce film.
il est naze,sa s'eloigne completement du sujet (c'est juste une petite maison de poupees et ils appels sa amityville).
et en plus il fait pas du tout peur.
a eviter

Ce qu'il y a de fort impressionnant parfois, c'est le talent qu'ont certaines personnes pour faire de la merde. Mais là, quand je dis de la merde... Je manie l'euphémisme avec brio ! Comment diable (waoh, trop fort !) peut-on réaliser des bandes aussi nullISSIMES que celle-ci ? Qu'est-ce qui pousse éthiquement un Homme à se dire : "Tiens, si je concentrais tous mes efforts pour faire de la fientasse ?" ... En tout cas, c'est exactement ce qui s'est passé avec Amityville, la maison de poupées. Déjà, pour virer toute sa crédibilité à la franchise, c'est pas mal, que de la transformer en maison de poupées... Ouais, parce qu'on est plus dans la célèbre maison maintenant. Les forces du mal sont concentrées dans une maison de poupées offerte à une enfant. Et de cette maison de poupées proviennent les emmerdes qui vont se répercuter sur la maison qui l'abrite.

Mais qu'en est-il du film lui-même ? Une longueur abrutissante, des acteurs moins convaincant que l'illustre Derrick, mais avec un jeu tout aussi lourd, des costumes absolument ridicules (ouh qu'ils font peur les démons !) desquels même Uwe Boll ne voudrait pas (tiens, ça commence à faire avec lui !), des décors pompeux et chiants de banalité, un scénario que même Uwe Boll a refusé (encore ?!) et une réalisation qui me donne envie d'aller larguer un immonde étron pendant que j'écris cette critique. Et ces personnages... Mon Dieu qu'ils sont bêtes ! Mon Dieu qu'ils sont lourds ! Bref, là on a un concurrent à très grand potentiel pour le nanar du siècle ! Ninja Terminator, c'est du Kubrick à côté !

Moue... Un mauvais volet, loin derrière l'original ! Là on s'éloigne trop du mythe d'Amityville. En effet, la maison du diable apparait dans le film uniquement en maison de poupée... Sinon, les acteurs sont mauvais, ainsi que la mise en scène et les effets-spéciaux. On dirait plus un téléfilm qu'autre chose ! A éviter ! Je lui accorde une étoile pour quelques passages bien trouvés.